La Conférence De Brazzaville

qui a pris en charge la logistique de ces évènements et qui a assuré de nombreuses permanences sur nos stands. ᗌ Conférence à la Catho le 5 novembre avec OIKOCREDIT, SIDI et COFIDES : « Comment la finance solidaire peut-elle lutter contre la pauvreté » Elena Lassida, directrice du Master Développement Durable à l'Institut Catholique de Paris a bien voulu accueillir la conférence dans cette prestigieuse université. Actu FA n°13 - novembre 2010 - page 2 Après un exposé de Hélène Giacobino

Le début de la guerre d'Indochine L'accord Leclerc-Sainteny-Hô Chi Minh devient cependant inapplicable, dès lors que le Commissaire Thierry d'Argenlieu proclame de son côté au sud, une République de Cochinchine. Après l'échec de la conférence de Fontainebleau, Thierry d'Argenlieu devenu Haut Commissaire pour toute l'Indochine, fait bombarder le port d'Haiphong au nord. Ce bombardement, bientôt suivi d'une attaque du Vietminh sur Hanoi, à la fin de l'année 1946, marque le début

1960. A – La Conférence de Brazzaville La conférence fut convoquée en janvier 1944 à Brazzaville (capitale de l’A.E.F) par le C.F.L.N (comité Français de libération Nationale) Installé à Alger et dirigé par le général De Gaulle. Le commissaire aux colonies René Pleven présidait la conférence à l’absence de représentants africains. Avant d’aborder ses travaux, la conférence avait écarté toute possibilité d’évolution des colonies vers l’autonomie. Dans son acte final, la conférence décida, ce pendant de

du gouvernement provisoire (GPRF) I- Les illusions perdues (1945-1958) 1- Le héros de la Libération* Redonner à la France sa place parmi les vainqueurs- Le GPRF à Alger (3 juin 1944) : acquérir une légitimité aux yeux des Alliés- Discours de Brazzaville : restauration de l’ascendant de la France sur son Empire colonial* Le libérateur- Reconquête de chaque préfecture à la suite du débarquement des Alliés (1944)- « Paris libéré …» par la France libre, garantie de figurer dans le camp des vainqueurs

politique du continent ont fini par miner son efficacité et sa crédibilité. I- L’UA avait vocation à relancer le panafricanisme après l’échec de l’OUA A- L’OUA a échoué à créer une unité africaine a. L’idée panafricaine naît au début du XXe siècle (conférence de Londres de 1900) : revendication du « self governement » et d’une amélioration des conditions de vie des Noirs. Dans les années 1930, la revendication s’accentue sur le terrain culturel (affirmation d’une « personnalité africaine » par l’Antillais

la main d’œuvre. Le ministre prévoit enfin (« dans une mesure légitime et convenable ») une certaine participation politique. Les "Indigènes" doivent être des citoyens (mais des citoyens de seconde zone). En 1944, Lors de la conférence de Brazzaville (doc. 3) , la politique d’assimilation et d’administration directe sont réaffirmées. Toute idée de self-government est écartée. 3. Dans quelle mesure ces réformes sont-elles appliquées ? Montrer les ambiguïtés, voire les contradictions

Elle se fait au prix d’une guerre en Algérie (1954/62) - En Afrique noire la paix l’emporte : après la conférence de Brazzaville de De Gaulle en 1944 les mouvements de libération se multiplient. Il faut attendre la loi cadre Deferre en 1956 pour que l’indépendance soit accordée. Ex : Sénégal (Léopold Sédar Senghor) 2) Une nouvelle force internationale : le Tiers monde ? a) En 1956 la conférence de Bandoeng évoque le « non alignement » des jeunes États d’Asie nouvellement indépendants (ni choisir

balkanisation de l'Afrique occidentale française, (préface de Léopold Sédar Senghor), 1979 * L'Église catholique et la naissance des nouvelles nations en Afrique occidentale francophone, 1981 * L'Afrique occidentale française de la Conférence de Brazzaville (1944) à l'indépendance (1960) (préface de Amadou Mahtar Mbow), 1982 * Les missionnaires catholiques du Soudan français et de la Haute-Volta entrepreneurs et formateurs d'artisans, 1983 * Colonisation et évangélisation, 1985 *

Aussi a-t-elle permis aux colonisés de se rendre compte de la vulnérabilité du colonisateur (démystification du blanc). Par ailleurs elle a permis aux colonisés d'obtenir des promesses de changement à la conférence de Brazzaville. En effet tenue du 30 Janvier au 8 Février 1944, cette conférence permet l'amélioration des conditions de vie et de travail aux indigènes (création de route, de syndicats, de l'accroissement des emplois.) Avant la fin de la guerre 1939-1945, les populations encore inorganisées

Introduction[1] Le but du mémoire de ce séminaire est celui de décrire le rôle de la langue française et des langues africaines dans deux pays francophones : le Gabon et le Congo – Brazzaville. Avant d’aborder cette thématique, nous donnerons une introduction sur le statut de la langue française en Afrique francophone, pour donner une idée générale du thème. De plus, nous n’aborderons pas seulement la question de la langue dans ces deux pays africains, mais nous présenterons leurs caractéristiques :