La Conscience Rend Elle Malheureux

Paul Verlaine, Romances sans paroles, « Ariettes oubliées », VII, 1874 « L’amour véritable n’est jamais malheureux «  nous dit Louis Scutenaire. Cependant Verlaine nous démontre le contraire lorsqu’il publie n 1874, un recueil de nouvelles Romances sans paroles dans lequel il inclut un groupe de neuf nouvelles intitulées les « Ariettes oubliées ». Verlaine est connue comme étant un poète maudit et en effet, la tristesse et l’échec sont un des caractéristiques du poème étudié dans cette analyse

La conscience est-elle le privilège de l’homme ? INTRO Le mot « Conscience » vient du latin « cum scientia » qui signifie « avoir le savoir ».En effet, la conscience désigne la connaissance plus ou moins claire que nous avons de nos sentiments ou de nos actes, mais également de la connaissance de leur valeur morale : il convient de distinguer l’aspect strictement psychologique de l’aspect moral de la conscience. La conscience psychologique est la faculté de se représenter sa propre existence

être diverti de penser à ce qui rend malheureux et donc de détourner son esprit de pensées insupportables. ( ligne 3-4: “ … le divertissement et l’occupation au-dehors, qui vient du ressentiment de leurs misères continuelles ) Sur la base de ces considérations, le divertissement peut être perçu, non pas comme un simple “ masque “ d’ennuis quotidiens, mais comme une évasion qui libère l’esprit. En fait, le divertissement permet à l’homme de ne pas avoir une conscience aiguë de sa situation misérable

fonctionner la machine du corps. Mais pourtant, même si la vie est une partie de l’existence, il existe peut-être quelque chose de supérieur qui rend l’existence humaine si unique. Il existe différentes caractéristiques qui font que l’homme est un être à part entière dans le règne animal. L’homme est un être qui a conscience de soi, qui a conscience de sa propre existence. C’est en effet ce que traduit le « Cogito ergo sum » de Descartes (1596-1660). Pour Descartes, sa seule existence, en tant

soutiendra point, il tombera par nécessité dans les vues qui le menacent, des révoltes qui peuvent arriver, et enfin de la mort et des maladies qui sont inévitables; de sorte que, s'il est sans ce qu'on appelle divertissement, le voilà malheureux, et [plus] malheureux que le moindre de ses sujets, qui joue et qui se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. Ce n'est pas qu'il y ait en effet du bonheur ni qu'on s'imagine que

moyens technologiques et scientifiques développés ou sous peine de sanctions. III. Pour finir, le désir n'est jamais que du côté de l'imagination ni de la réalisation. Pour commencer, le désir permet de cultiver l'espoir. En effet, si la conscience de ce désir est impossible, alors ce phénomène créé un sentiment de souffrance chez l'Homme. L'espoir peut rendre un désir possible. De plus, le désir est considéré comme un moteur de vie car il permet d'espérer même s'il ne se réalise jamais. Le

Autour du mot: le désir - l'action *Comme le désir la passion est un mouvement de la conscience qui fait apparaître un objet comme promesse de plénitude, de satisfaction complète et durable ou comme menace de douleur, de souffrances, de malheur: C'est l'amour ou la haine. Mais, dans la passion, la structure de la conscience se fixe sur un objet en fonction d'une ressemblance avec un passé heureux ou malheureux et s'épuise dans une vaine tentative de reflux vers ce qui n'est plus pour accéder à

 DISERTATION DE PHILO N°1 « SOMMES-NOUS IMPUISSANTS À ETRE HEUREUX » *En quoi le bonheur mène t-il a l'impuissance? *Qu'es-ce qui nous rend puissant ? *L'impuissance face au bonheur n'exprime t-il pas notre refus de mourir ? *Qu'es-ce qui nous rend malheureux ? Nous cherchons le bonheur et la satisfaction dans la consommation, le sexe, les distractions licites et illicites. Rechercher l'âme sœur, accumuler les richesses, partir en aventures, faire des exploits, atteindre le pouvoir et

Oreste s'adresse au Ciel. - Situation classique du héros tragique qui accuse les Dieux car la passion fait obstacle à la raison qui lui permettrait de prendre conscience de ses fautes. - Le héros tragique conserve la maîtrise de son style pour s'adresser au ciel qu'il personnifie et il ironise sur l’acharnement qui fait du malheureux Oreste un modèle accompli des infortunes qui peuvent frapper l'humanité. - Sa passion le pousse à une provocation puisqu'il veut parfaire l'ouvrage des Dieux par

nous verrons la nécessité d’apprendre à nous détacher de nos désirs pour ne plus être atteints par la souffrance due au manque. Dans un deuxième temps nous verrons la positivité du désir qui doit se libérer de toutes les formes d’égocentrisme de la conscience pour vraiment s’éprouver comme plaisir, contentement et pur amour. Enfin nous essaierons de nous demander s’il vaut mieux désirer être un Socrate insatisfait qu’un porc satisfait. Première partie - Si désirer revient à nécessairement souffrir