La Conscience Rend Elle Malheureux

Penser rend-t-il heureux ? « Croire que l’être supérieur n’est pas plus heureux que l’être inferieur, c’est confondre les deux idées très différentes de bonheur et de satisfaction » comme le dit Mill dans son œuvre L’utilitarisme. Est-ce que la conscience, une condition essentiel afin d’être sujet de ses pensées, permet t’elle d’obtenir le bonheur ? Ou, nous fait-elle nous rendre compte de notre fragilité, nous rendant par la suite malheureux ? C’est la question que l’on peut se poser. C'est-à-dire

cultures » en transposant leurs ressentis pour savoir si ils auraient été plus heureux ou plus malheureux avant. Je trouve cela presque gênant finalement de concevoir la misère objectivement puisque il n’existe pas une seule misère. Il est vrai cependant que savoir qu’auparavant l’école n’était pas obligatoire me rend presque envieuse puisque l’école est une charge et qu’elle me fatigue plus qu’elle ne me rend heureuse. Toutefois, Freud me répondrait que ces enfants qui avaient le droit de ne pas aller

ambiguïté ce que nous entendons par « je suis heureux » ou « je suis malheureux ». Le plus souvent, nous répondrions plus par une explication que par la définition : nous dirions ce qui, à notre sens, nous fit nous sentir (ou peut nous rendre) heureux ou malheureux, plutôt que de nous étendre sur l'expérience vécue et que nous souhaiterions rapporter et communiquer par l'un de ces mots.     L'expérience de l'état « heureux » ou « malheureux » ressemble, de ce point de vue-là, à l'expérience de la couleur

dire que ce que l'on désirs des choses impossible à atteindre? Ou que ce que l'on a n'est pas à la hauteur de nos attentes. Cela nous rendrais frustrer; triste; et à terme malheureux...néanmoins; il semble à première vue que le bonheur provient du fait que l'on a ce que l'on désir. Or il est vrai que désirer peut rendre malheureux au sens ou on atteint jamais l'objet convoité. Faut il alors désirer l'extinction du désir pour parvenir au bonheur? mais qu'elle est cette extinction des désirs qui nous

Dissertation : « La conscience de ce que nous sommes peut-elle faire obstacle à notre bonheur ? » D'après Descartes, la conscience est la connaissance de ses pensées, de ses actes, de ses sentiments. Aussi, elle s'oppose à l'illusion et à l'ignorance de soi, et permet à l'homme de mieux se connaître par le biais d'un retour sur lui-même, une analyse et un jugement. La conscience est donc une qualité qu'à l'homme. Pascal écrit d'ailleurs dans ses Pensées que « l'homme n'est qu'un roseau, le plus

jouissance infinie de l’être ». Les épicuriens disaient qu’il s’agissait d’une disposition de l’être visant à atteindre l’ataraxie de l’âme et que le bonheur résiderait dans le simple fait d’exister. L’expression « sans le savoir » signifie sans en avoir conscience, sans se rendre compte que l’on est heureux. L’avis différent de ces philosophes sur le bonheur montre bien que la notion de bonheur a beaucoup été controversée. La question « Peut-on être heureux sans le savoir » amène à se demander si l’on peut

entre l’objet idéalisé et l’objet réel • De surcroît il s’épuise dès qu’il est satisfait - cf. le tonneau des danaïdes ; citation de Pascal ou de Montaigne : il est plus plaisant de désirer que de jouir de ce qu’on a désiré. Ce qui finalement ne nous rend jamais heureux. • D’un point de vue philosophique, il dérègle notre raison – cf Othello, Belle du seigneur • D’un point de vue pragmatique, il dérègle notre vie – économiquement, socialement….. Transition : Il appraît que dans sa nature le désir

les êtres qui pensent différemment de nous comme les animaux, l’imbécile heureux ou les nourrissons. Tout d’abord, en première partie, évoquons le lien entre la pensée et ce qui nous rend heureux. Si nous avons des pensées heureuses, par exemple, un projet avec des amis ou la famille, cela nous rend heureux. « Le bonheur est un idéal non de la raison mais de l’imagination » d’après Kant. En ayant des pensées heureuses, nous nous rapprochons de cet idéal heureux et nous sommes heureux. Mais

FICHE PHILO CHAP 1 : L’Homme se définit-il par la conscience ? Chapitre 1 Introduction- thèmes principaux : conscience, devoir et inconscience¤ Définir homme par ma conscience = idée neuve (XVIIe siècle → siècle du rationalisme)Descartes : premier à affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le

douloureusement l’absence des jouissances et des joies, et nous les regrettons aussitôt. Par conséquent, l’homme doit perdre cette sensation de bonheur pour comprendre sa valeur. Nous comprenions que nous étions heureux au moment où nous sommes malheureux selon Rousseau. Donc, quand les jouissances augmentent, le plaisir que nous éprouvons devient habitude, et nous n’éprouvons plus le plaisir comme tel. L’homme va vouloir désirer quelque chose d’autre pour remplir ce manque. De manière générale