La Conscience Sensible Et Intelligible

: le cercle est une idée abstraite, générale, et il englobe tous les cercles concrets, c'est-à-dire perçus, les cercles sensibles et matériels. Le "vert" est une idée générale qui englobe toutes les nuances de vert perceptibles. Etc. On peut dire que l'intellect, l'entendement, produit des formes pures. C'est ce qu'avait en vue Platon quand il parlait de ses "Idées intelligibles", dont les réalités matérielles n'étaient que des copies plus ou moins parfaites (car aucun cercle réel n'est parfait, n'est

qu'il faut au sens moral, la chercher? Peut-on passer d'une nécessité à la morale? Ce sujet nous incite à interroger et critiquer la volonté de vérité qui nous apparait comme évidente. Tout est fait en nous de sorte à ce qu'une loi morale ou une conscience morale nous oblige à chercher la vérité et a rejeter le faux. Dans un 1er temps, nous traiterons du devoir de véracité selon Kant et de celui de chercher la vérité. Puis dans un second temps nous parlerons de la vérité d'après Nietzsche au travers

permet, ou auxquelles renvoie, l’idée. Mais qu’entendre au juste par idée ? Ne doit-on pas déjà distinguer les idées de l’architecte et l’idée qui sous-entend un édifice? (Il ne s’agit pas de donner une définition de l’ « idée », mais bien de prendre conscience que produire un bâtiment nécessite un travail intellectuel). Les idées de l’architecte sont à comprendre comme des convictions générales, des croyances, des engagements ou, plus simplement, des opinions. Il s’agit aussi d’influences diverses, souvent

parvenons est celle de notre propre conscience : « Je pense, je suis » ; l’égo cartésien constitue donc notre première certitude, avant celle même de notre corps, qui ne peut être que déduite : en cela l’homme ne saurait d’abord être défini comme animal, c’est à dire comme être doué d’un corps. L’homme est sa propre conscience, il est un « moi ». Néanmoins, l’homme n’est pas seulement sa conscience, mais en même temps son corps ne peut être saisi directement par la conscience immédiate : la définition de

médium de cette réalité, la sensation. Une apparition (épiphanie en grec ce qui, de Dieu, devient visible ) implique une réalité, même si je n’en comprend pas la nature ; l’origine latine apparentia assez douteuse, signifierait présence ou aspect sensible. Celui qui sauvent les apparences, ne laisse rien voir de ses malheurs et de même le sujet pose la question de savoir si l’on peut sauver les apparences de leur superficialité en leur accordant quelque vérité, comme Socrate, dont le premier mot d’ordre

l’origine de malentendus, il n’est pas fidèle à la pensée. Nous voici donc confrontés à un problème : le langage, est-ce qui permet à la pensée d’exister ou au contraire la déforme-t-il ? La vrai pensée est-ce la pensée formulée ou l’intuition sensible et particulière ? Le langage est une manifestation de la pensée de l’homme. Ses outils sont les mots. Le mot, est l’union d’un signifiant et d’un signifié (Ferdinand de Saussure). Le signifiant, c’est la forme graphique, sonore du mot, le signifié

{text:list-item} {text:list-item} On peut choisir l’irrationnel : {text:list-item} {text:list-item} ->Les sciences humaines nous expliquent que nous sommes déterminés par une multitudes de facteurs dont nous n’avons pas clairement conscience. sociologie : Pierre Bourdieu : Les héritiers « capital culturel » Avoir accès à un certainb degré de maitrise du langage Acces a des habitus ( comportements ou modes de jugement intériorisés sous l’effet de la pression

monde, le monde et le mal, il ne peut en être expiré : Seule solution ascétisme. Kant : *Ne prend aucune des deux solutions, il va plutôt s'interroger sur ce qu'est le monde et sur le concept de métaphysique. Il va distinguer la connaissance sensible qu'on peut avoir du monde d'un concept métaphysique qui n'a aucun lien avec l'expérience ordinaire du monde. Il va faire du monde une idée et non plus un concept. Concept : sert à appréhender, c'est une catégorie servant à déterminer ce qu'est

L’expérience : savoir objectif ou phénomène subjectif Subjectif : qui relève du sujet, du « je », de ce qui est interne au « je » Ex : mes goûts sont subjectifs Objectif : qui relève de l’objet, de ce qui est extérieur à ma conscience, indépendant de ma volonté et de ma pensée Ex : le savoir On distingue souvent, pour parler de la vie mentale humaine, trois axes principaux : l’action, la pensée, l’expérience. Discours de premier ordre : Discours de second ordre : discours qui cherche

le monde sacr qui donne un sens au monde primitif. Le sacr est la source de la signification de la vie de lhomme. -le rite de purification il signifie quil faut se dpouiller du profane pour tre digne afin de se mettre en prsence du divin. Il y a conscience du bien et du mal et du fait de possder une dignit surnaturelle. -le rite festif il rompt avec le temps ordinaire. Cest un temps ou tout est possible. Ce qui est ordinaire correspond lordre. Admettre un dsordre cest par consquent admettre un ordre