La Consommation Responsable

du calendrier observé et décrivant la démarche suivie par le candidat ; • Les documents et les informations sélectionnés ; • Les conclusions rédigées de l’étude (1 page). La fiche de travail synthétique est signée par le professeur responsable de la formation, certifiant que l’étude présentée a bien été réalisée par le candidat lui-même. Pour plus de précision, il est possible de consulter les documents officiels sur le site www.eduscol.education.fr . 2-Méthodologie de l’étude

Méthodologie : 1 - Choisir un point de vente facile à observer. 2 - Rédiger une fiche d'entretien téléphonique afin de prendre contact avec le responsable du point de vent. 3 Rédiger une fiche d'entretien dans le but d'interviewer le responsable du point de vente sur les techniques de vente utilisées dans le point de vente. 3 - Prendre contact avec les responsables du point de vente pour demander l'autorisation d'assister à une vente. 4 - Faire une grille d'observation de la vente : * Lieu, jour et

autrichienne qui fabrique et vend des jus de fruits Premium. J’y occupe la fonction de Responsable de secteur CHD (Consommation Hors Domicile), regroupant entre autres le CHR, dans la région annécienne (74) et les Alpes. Afin de vous présenter le CHR, je vais procéder de la manière suivante. Nous nous pencherons dans un premier sur une définition générale du CHR. Enfin, nous mettrons l’accent sur la fonction de Responsable de secteur en CHR, quels sont ses rôles, ses missions, les compétences qu’il doit

CONSOMMATION ET CONSOMMATEUR ETHIQUE : UNE ETUDE QUALITATIVE EXPLORATOIRE CONSUMPTION AND ETHICAL CONSUMER : AN EXPLORATORY QUALITATIVE RESEARCH Jean-Louis MOULINS1 Jean-François TOTI2 Résumé : Cette recherche met en évidence les aspects éthiques fondamentaux de la consommation, en s’appuyant sur une étude qualitative exploratoire. Quatorze entretiens semi-directifs ont été menés pour faire le lien entre l’éthique dans la consommation, la consommation éthique et l’éthique du consommateur. Une analyse

MOULARD Thibault Les consommateurs sont-ils critiques envers leur consommation ? Lionel Sitz MK 111 – Consommation alternative, déconsommation et résistance des consommateurs, 2011. Introduction D’après l’article de latribune.fr Prix alimentaires, faut-il imposer un régime à la grande distribution ? datant du 27 juin 2011, les marges des distributeurs en France sont toujours remises en question. Des marges brutes croissantes allant jusqu’à plus de 100% pour certains produits, comme les

les préparations culinaires à base de denrées alimentaires d'origine animale ou végétale, dont la consommation est susceptible d’être différée au minimum au lendemain du jour de leur préparation et de leur cuisson (consommation différée dans le temps) ou des plats qui, bien que consommés le jour de leur préparation ou cuisson, le sont dans un bâtiment différent de celui où est la cuisine (consommation différée dans l’espace). Sommaire 1 Déclaration des établissements 1.1 Types d’établissements

recueillons des informations pour pouvoir prendre une décision. Les informations que nous recueillons sont utilisées pour améliorer le service à la clientèle en améliorant la qualité des décisions en matière de gestion. Les SIGL permettent aux responsables de la logistique de collecter les informations nécessaires pour effectuer des choix en connaissance de cause. Si les informations ne sont pas utilisées pour prendre une décision, alors il ne faudrait pas les collecter. . Données essentielles à

d’envergure pour la protection de l’environnement, une pléiade de nouveaux  produits bio, des arguments écologiques à foison,…     D’un  côté,  les  consommateurs  modifient  leurs  comportements  et  tendent  à  devenir  les  acteurs  principaux  d’une  consommation  positive.  Un  nouvel  acte  d’achat  qui  place  le  consommateur  en  position  de  force,  le  rendant  exigeant  sur  les  dimensions  primordiales  que  sont  l’engagement  social,  l’écologie,  la  santé, le bien‐être et l’éthique.  De l’autre

son ensemble à passer au durable. Le défi est loin d’être relevé tant sur le plan social qu’environnemental » (Huteau, 2008). 2Malgré un rôle économique indéniable, le secteur touristique a une empreinte écologique négative (émissions de CO2, consommation d’eau et d’énergies, déchets…) (Camus et al., 2010). Avec une progression du nombre des touristes d’une année à l’autre, les externalités négatives du secteur risquent de devenir de plus en plus importantes et difficiles à gérer. Ce constat rend

s’investir dans l’éducation, la santé et la protection de l’environnement.  Impliquer les différents groupes socio-économiques comme les entreprises privées et publiques, les ONG, les associations et les citoyens, car l’Etat ne peut pas être le seul responsable dans le développement durable. Pour arriver à atteindre les objectifs de développement durable, il faudra agir en commun. Plus concrètement, le développement durable poursuit l’objectif de maintenir et d’améliorer la qualité de l’environnement