La Constitution Acte Des Gouvernants Ou Acte Des Gouvernes

d’éloigner de la cité et du pouvoir, les individus susceptibles de mettre en danger la démocratie. En pratique, le citoyen ciblé, était déchu de ces droits de citoyenneté accompagné d’un bannissement de dix ans. En revanche, ne s’agissant pas d’un acte juridique le banni conservait  tous ses droits civils et biens. L'ostracisme était prononcé par l'Assemblée, les citoyens groupés par tribus inscrivaient le nom du citoyen qu’ils voulaient bannir.  Il suffisait une simple majorité pour que le citoyen

1. - Le fondement juridique du pouvoir dans l’Etat : la Constitution §1. - La notion de constitution A- Les constitutions matérielles et les constitutions formelles B - Les constitutions souples et les constitutions rigides C - Les constitutions écrites et les constitutions coutumières §2. L’établissement et la révision des Constitutions A - L’établissement des constitutions B - La révision des constitutions Section 2. - Les manifestations politiques du pouvoir

L’ensemble des institutions publiques : l’Etat * Le droit constitutionnel est historiquement le droit de l’état, le droit qui sait de fondement à l’Etat. * Le droit constitutionnel est récent dans l’histoire de l’humanité. L’existence d’une constitution exige une distinction entre le constituant et l’état. L’existence d’un droit constitutionnel repose sur le principe d’un coté le souverain et d’autre part l’état travaillant pour le souverain. Il existe d’une part le pouvoir constituant et d’autre

encadre le statut de l'état. C'est à dire, que c'est le droit qui va venir encadrer l'ensemble des institutions grâce auxquelles le pouvoir va s'établir, s'exercer ou se transformer au sein de l'état. L'essentiel des règles sont contenu dans une constitution. Le droit constitutionnel est plus récent que le droit privé, car les états ont conçus très tôt le droit privé pour encadrer l'activité des particuliers et les états ne se soumettront qu'ensuite à des règles de droit publiques, ainsi qu'il garantit

l’Etat. Raymond Carré de Malberg (1861-1935) : définit l’Etat-nation l’Etat est la personnification juridique de la nation et possède la souveraineté. Léon Duguit (1859-1928) : L’Etat est une abstraction, la réalité est symbolisée par les gouvernants. Maurice Hauriou (1856-1929) : l’Etat est une institution supérieure aux autres formée à partir de la communauté nationale. Socialistes. Etienne Cabet (1788-1856) : réforme de l’Etat capitaliste et établissement de la démocratie directe

distinction entre droit public et droit privé repose sur trois critères fondamentaux : - le critère organique, en vertu duquel la qualité des personnes en cause permet de définir la nature juridique des rapports qui se créent. Les rapports entre gouvernants et citoyens sont en principe des rapports de droit public, alors que les rapports entre simples particuliers appartiennent au droit privé. - le critère formel qui repose sur le procédé d’édiction (= adoption) des actes juridiques. Dans le cadre

impératif. Parce qu’au fond il y a une égalité entre l’Etat et l’individu. Le D.C est un droit qui protège les libertés, c'est-à-dire les droits fondamentaux. Ces droits reconnus par la constitution même s’ils ne sont pas effectifs, peuvent être l’objet d’usage fait par les citoyens à partir du moment où la constitution reconnait certains principes. Ainsi, ces principes peuvent faire l’objet d’une appropriation par les normes po. C’est un droit qui favorise la participation des individus dans la vie

fait, il est une réalité et une idée. Le droit constitutionnel découle de la constitution. On joue trop avec les lois, plus il y a d’article, plus elle est mauvaise. Bibliographie : Le Favoreu et autre, aux éditions Dalloze Droit Constitutionnel, Rolland Debbasch, aux éditions Texis Plan : 1° partie : Les bases constitutionnelles de l’Etat de droit (nous définirons ce qu’est l’Etat, ce qu’est la constitution, ce qu’est un régime politique et une démocratie) 2° Partie : Les développements

sans loi. Ce principe de la légalité criminelle permet de retrouver un équilibre entre le droit des gouvernants qui ne peuvent plus faire ce qu’ils veulent au niveau législatif et le droit des gouvernés. En effet, procéder à la création d’une loi en plein milieu d’un procès pour pouvoir condamner l’accusé est profondément injuste, il faut que cette loi ait existé avant que l’accusé n’ait commis son acte. Ce principe de légalité criminelle apparait dans la Déclaration des Droit de l’Homme et du Citoyen

social. Le droit est un objet abstrait, un concept, une représentation intellectuelle de ce que l’on prend pour obligatoire. La règle de droit tire sa force du pouvoir et de l’autorité qui sont reconnus à son locuteur. Elle se concrétise dans un acte de langage, le droit est donc l’étude de la règle de droit. C’est aussi un instrument de conduite des comportements humains. Le droit ne s’étudie pas de manière abstraite car il est encré dans la société et il entretient une relation avec elle. C’est