La Corrida

gauche (le taureau). Le taureau regarde le spectateur. La lecture du tableau se fait de droite à gauche, à l’inverse de sens normal de lecture. Le tableau est donc aussi renversé que le monde qu’il représente. Les symboles : Symbole de l’Espagne (corrida) et des Nationalistes (Faranco = la brutalité). Représente le monstre (minotaure) La mère est en larmes (yeux), elle crie (langue pointue qui représente le cri strident). Elle incarne le peuple qui souffre. La poitrine dénudée : symbole de la maternité

l'époque en noir et blanc. Ce découpage du tableau intensifie toute l'horreur de la guerre. L'oeuvre peut etre découper en 3 parties : au centre, il y a un triangle qui est former par la lumiere de la lanterne -Le taureau symbolise l'espagne (la corrida), les nationaliste (la brutalité), mais aussi le monstre : le minautore -une mere en larmes, elle cri (langue pointu qui signifie un cri strident) elle incarne le peuple qui souffre . - l'enfant, il a les yeux vide, la tete pendante, on comprend

conquète de l'ouest, les travaux agricoles, à la guerre, et aussi pour le dressage que l'on appelle l'équitation . Quel sport est pratiqué par le cheval ? Le cheval pratique plusieurs sports d'équitation ,comme:le dressage, le polo, le rodéo, la corrida, les courses, le tiercé et les spectacles équestres . Le pansage Avant de monter sur les chevaux, il faut leur faire un pansage. Les brosses du cavaliers sont: le bouchon, l'étrille, la brosse douce, le peigne et le cure-pied. Après avoir brosser

elle est le symbole d’espoir, de renaissance. Elle est dessiné très finement. Entre le cheval et le taureau, un oiseau apparait. Il est à peine visible. Il pourrait s’agir d’une colombe symbole d’espoir et de paix. Le Taureau est le symbole de la corrida. Dans ce tableau, il est représenté imperturbable et serein au milieu de ce carnage. Nous pouvons voir également une mère tenant dans ses bras son enfant mort. Ses yeux et ses narines sont en forme de larmes. On peut lire sa douleur, et entendre ses

tourisme. Juchée à 600 mètres d'altitude, c'est la ville des palais, des grandes avenues et des jardins. Elle fait penser à tous les grands nom d'Espagne: La plaza Mayor fut le théâtre de grands événements: couronnements, mariages royaux et même corridas! Ou encore le Musée Prado, le Musée Thyssen-Bomemisza, et le Musée Reina Sofia qui sont les musées les plus visités au monde. Barcelone Barcelone et ses 1,6 millions d'habitants est la capitale économique du Nord. Son port en a toujours

bras levés au ciel, tête renversée, bouche ouverte sur un cri. III- Analyse Le tableau est divisé en 2 parties. La partie gauche représente un groupe enchevêtré exprimant le combat entre la bestialité et l'humanité. Le taureau rappelle la corrida synonyme de sauvagerie contre le groupe mère-enfant évoquant le thème de l'iconographie religieuse : la Piéta ( représente la Vierge Marie tenant dans ses bras son fils mort ). D'autres éléments de la partie gauche du tableau montre aussi que la

Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation, aux formes torturées, du Minotaure, annonçant une tension qui se terminera deux ans plus tard dans Guernica.

victimes et la mort de la civilisation. Cela donne une vision d’ensemble apocalyptique. [pic]Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et symbole de l’Espagne (Corrida) et le cheval c’est le peuple. [pic]Les corps sont disloqués et les visages expriment la douleur. [pic]Construction du tableau en pyramide : notre regard est porté vers la lampe et la bougie (symbole de l’espoir). [pic]La figure centrale du tableau

est composé de couleurs monochromes symboliques, ce qui accentue l’impression de mort. C’est une lutte révolutionnaire par la peinture. c) analyse de l’œuvre : Le cheval blessé : Il est placé au centre incarne la victime innocente de cette corrida. Les différentes figures de l'animal traduisent la terreur, la douleur. Ce cheval représente le peuple opprimé. La douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la

jusqu'à sa mort sa plus grande confidente. C'est d'elle et d'un voyage dans le sud qu'il tiendra le sujet de Carmen. Il trouve donc de solides attaches en Espagne. Là-bas il est fasciné par les paysages espagnols, les basses classes qu'il côtoie, la corrida, l'architecture mauresque. Il aimait d'ailleurs dessiner certains détails ou certains lieux. De retour à Paris fin 1830, il publie des Lettres d'Espagne. Très attaché au pays, il y séjournera cinq fois encore: en 1840, 1845, 1853, 1859, 1864. Son