La Coutume Selon Montesquieu Et Rousseau

contrat social A. Jus omnium in omnia (droit de tous sur tout) B. La marche chaos (due à la violation des principes du droit naturel) II. L’objet du contrat social A. La renonciation au droit naturel au nom de la sécurité et de l’égalité (Hobbes et Rousseau) B. l’inaliénabilité du droit naturel au service de la propriété (Locke) Sujet 2 : le code civil de 1804, un compromis ? I. L’égalité : le changement dans la continuité A. La consécration civile de l’égalité naturelle des hommes (isonomie)

C'est Rousseau qui remporte ce concour ce qui lui apporte une certaine célébrité. Pour lui,les sciences et les arts ont corrompu l'homme car ils sont liés au luxe, alors que l'homme est fait pour vivre dans la Nature. Malgrés son premier prix les autres philosophes se lèvent contre lui;. Sa seconde œuvre écrite en 1753 est une réponse au sujet posé par la méme académie: "Quelle est la source de l'inégalité parmis les hommes et si elle est autoriser par la lois naturel?". Cette fois-ci Rousseau n'aura

et l'ensemble des règles de la société sont régies dans le cadre du Léviatan. L'Egise ne tire son pouvoir que dans son lien avec l'Etat. Le souverain est étranger au contrat qu'il fait respecter. Tout au plus, Hobbes pense qu'il doit respecter des coutumes et ne pas trop aller à l'encontre de la société. Hobbes prône donc l'idée d'une souveraineté absolue. C/ Les deux essais sur le gouvernement civil : Locke (1690). La critique ne tarde pas à venir et deux essais de John Locke naissent. Locke

IV/Le Code Civil Le Code Civil pour le droit privé est le pendant de la DDHC pour le droit public On retrouve dans le Code Civil toutes les idées juridiques de la Révolution : la souveraineté de la loi (Autrefois et jusque la Révolution c’est la coutume qui prévalait), l’idée de l’individu (Dans le droit des anciens royaumes, les acteurs du droit étaient les ordres, les communautés… Le droit était conçu pour des groupes sociaux. Avec la révolution, c’est l’individu qui est l’objet du droit.), la

abstraite, avec autorité abstraite - Constitué d’une population unis par la volonté du vivre ensemble, (caractère volontaristes) , de lié leur objectif, avenir en commun, elle est donc de fait tourné vers l’avenir (caractère objectif) . - chez Rousseau ( le pacte Social) cette volonté de vivre ensemble est un caractère premier de l’Etat de Nature. L’Etat de nature est une forme idéale de l’état dans lequel celui-ci n’a nullement besoin de faire entendre son autorité et de régir des limites aux

individus, en doctrine chez Locke, Montesquieu et les encyclopédistes le pouvoir est vu comme un moyen de garantir les droits naturels et d'assurer leurs développements. Montesquieu fait une autre constatation, c'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est tenté à en abuser. L'objet de l'esprit des lois, c'est de trouver des moyens qui vont permettre de faire rester le pouvoir dans des bornes pour garantir les droits individuels. Pour Montesquieu, pour limiter le pouvoir il faut

une élite avancée œuvrant pour un progrès du monde. Le philosophe est un homme qui s’engage et propose des solutions pour réformer le système politique, car la réflexion critique permet de libérer l’homme de croyances reposant sur l’autorité ou la coutume. La tyrannie est ainsi pensée comme indissociable de l’ignorance. Contexte historique et social des Lumières : Au XVIIIè siècle, la France vit encore sous une monarchie absolue de droit divin. Après les famines du début du siècle, une certaine

loi doit imposer des limites de comportement aux hommes et ainsi former la justice (Montesquieu, Sophocle) b) cette loi est imposée par le législateur, qui peut rendre la loi plus égale pour quelqu’un (Orwell) 3) La loi n’est que codification/reflet de la justice humaine a) mais la loi doit être le reflet de la coutume et ne devrait donc pas provoquer d’injustices (Montaigne) b) vu que les coutumes évoluent, les lois aussi doivent être modifiées 4) En réalité, la loi est un mélange

la Monarchie, la jurisprudence = source de loi ; les proches du Roi voulaient donc supprimer la jurisprudence. SECTION 1 – La souveraineté de la loi J. Bodin «  Les Cycles de la République » en 1573 (même force que « Esprit des Lois », Montesquieu 1758). Caractères de la Souveraineté : - Pouvoir originaire - Pouvoir suprême - Pouvoir un et indivisible - Pouvoir absolu Ordonnance : expression de la volonté du souverain, commandement, qui vise à organiser la société. La

Chapitre 2 : La loi expression de la volonté générale Dans chaque cité la loi est une déclaration solennel de la volonté du souverain sur un objet d’intérêt commun ; définition de la loi selon Portalis. D’abord la forme de la loi, la loi revêt une forme particulière, une origine et la finalité. La définition de Portalis n’a rien d’original, elle est simplement reprise de la doctrine des juristes d’AR. Pratiquement jusqu'à la fin du XXe siècle, la doctrine juridique française a été celle de l’ancienne