La Crise Boulangiste

Augmentation de la consommation - Crise en phylloxera révolution - Faillites des - Augmentation de la population - Epuisement de mines d’or Industrielle) entreprises - Période libre-échange 1860 - Résistance des ouvriers - Nouvelles mines d’or - Hausse du chômage - Développement du chemin de fer  Protectionnaire (droits de - Début de la Belle - Crise mondiale - Percement du canal de Suez (1869) douane élevés) Epoque Relance : New-Deal - Découverte de mines d’or c) Etude de la crise de 1929 i. Sa naissance

se conjuguée par des misères économiques et sociale. Critique intellectuelle, mais aussi crise financière grave vont contre la Monarchie, l'Etat français n'a pas d'argent et doit par exemple céder des colonies américaines, il y aura aussi des famines régulières car les hivers seront très rudes, la France est surendettée. Roi va alourdir les impôts Conséquence: la misère du peuple français. Critique + Crise + Misère >>> Révolution. La grande bourgeoisie lutte contre les impôts etc… mais les aristocrates

législatives de 1834. L'abstentionnisme légitimiste déclina rapidement. Lors des élections locales, sur 2045 conseillers généraux, les légitimistes obtinrent 187 sièges en 1833, 215 en 1836, 229 en 1839. Dans les années 1840, le courant légitimiste entre en crise. Cinq tendances entrent en concurrence les unes avec les autres : - une tendance absolutiste modérée acceptant globalement le legs de l'Ancien Régime et privilégiant l'action militaire sur l'action politique, c'est la tendance défendue par le duc

Enracinement et consolidation de la IIIe République A .................................................................................................. 239 Quand les passions françaises se déchaînent : Le temps des crises La République et la crise économique La fièvre antiparlementaire (Panama, Boulanger) La violence politique (les anarchistes) Une affaire française : Dreyfus B Le mythe de la « Belle Époque », la République consolidée Les radicaux au pouvoir Clémenceau et la République

l'Atlantique. Sommaire   [masquer]  1 Déclenchement 1.1 Antagonismes entre puissances européennes 1.2 Systèmes d'alliances 1.3 Stratégies et course aux armements 1.4 Attentat de Sarajevo 2 Entrée en guerre 2.1 Les déclarations de guerre en 1914 2.2 Crise de juillet 2.3 Forces en présence 2.4 Guerre du droit, guerre de propagande 2.5 Buts de guerre 3 Opérations militaires 3.1 Guerre de mouvement (1914) 3.2 Guerre de position (1915-1917) 3.3 Fin de la guerre (1918) 3.4 Derniers instants et armistices

-_L’Italie_ En 1871, l’Italie vient à peine de finir son unité, puisque c’est la chute de Napoléon III défenseur du pouvoir temporel du Pape, qui lui a permis de se donner Romme comme capitale. Mais à peine unifié, le jeune royaume connait une crise de croissance. Sur le plan intérieur : l’Italie connait un profond retard dans me domaine économique et la faiblesse des capitaux ne permet qu’un timide développement de l’industrie. L’unité qui s’est faite autour du Piémont, plus évolué économiquement

républicains ont une majorité confortable dans la chambre des députés. Conformément au principe de responsabilité des ministres devant les chambres, Mac-Mahon nomme à la place de Broglie un républicain Jules Simon. I- La crise du 16 mai 1877 1ère phase : le déclenchement de la crise La crise éclate pour des motifs religieux. C'est l'époque où commence à se développer l'anti cléricalisme, et Mac-Mahon supporte mal ses manifestations des Républicains. Il adresse donc une lettre de blâme à Jules Simon le

notables comme le processus de politisation des individus, le processus de professionnalisation de la vie politique, le parlementarisme, l’apparition de partis politiques, l’instauration du suffrage universel, l’apparition de campagnes électorales, la crise de la représentation, la place de plus en plus importante qu’occupent les médias dans le déroulement de la vie politique, etc. L’étude de la construction du régime démocratique en France est donc complexe et il faut ainsi éviter de donner une analyse

de tous les j oul'n aux, de toules les revues, de totri.cs les agences, jouaient notre jeu même quand ils feignaient de nous résister. Arthur Meyer nous répondait de l'état-major nationali ste comme il nous aVilit r épondu de l'ëtnt,..major boulangiste: inlimidanL les un s, achetant les autres (à nos Crais), les espionnant tous, il nous les livra it à merci. Le parti nationali ste eL la loi Patri e fl'ançai~ se » n'onL pas pesé lourd. L' Egli se ealholique appal·aisso.H comme une force.

« L’entente des Trois Empereurs » 7 La crise franco-allemande de 1875 7 La crise balkanique (1875-1878) 8 Le congrès de Berlin (juin-juillet 1878) 8 Les conséquences du congrès de Berlin et la fin du premier « système » de Bismarck 9 LE SECOND « SYSTEME  BISMARCKIEN » 9 L’alliance austro-allemande 9 Le nouveau traité des Trois Empereurs 9 La Triple-Alliance (1882) 10 La crise balkanique 11 La crise franco-allemande 11 L'élargissement