La Danse macabre

seigneur des moissons. J’ai fait le choix de ce poème car il évoque très clairement l’un des thèmes et principaux centre d’intérêt de Charles Baudelaire : la mort. Comme dans le précédents poème on la retrouve cela dit le décor est beaucoup plus macabre car l’on retrouve le froid ainsi que l’horreur. Ce poème ma tout de suite évoqué cette image car on peut observer que sur cette image que la femme (la femme fait partie des grande thématique de Baudelaire) regarde le squelette (donc la mort) se qui

Le Triomphe de la mort (Les squelettes jouent pour la danse, 1944) Le peintre Félix Nussbaum est un peintre juif allemand du même courant artistique qu’Otto Dix. Pointé considérer comme « artiste dégénéré » par le régime nazi, il est obligé de quitter l’Allemagne en 1933. Il vivra caché en Italie puis en Belgique avant d’être déporté à Auschwitz avec sa femme en 1944. On retrouve chez lui l’influence de Vincent Van Gogh ou de Giorgio Chirico. Description Au premier plan on aperçoit

Qu'importe, si tu rends, […]/ L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?  » (poème XXI «  Hymne à la beauté  », p.46 deux dernières strophes). Dans «  Le Serpent qui danse  » (poème XXVIII, p.53) la strophe 3 indique que la chevelure de la femme, devenue un océan parfumée, donne au poète accès à l'évasion : «  Mon âme rêveuse appareille / Pour un ciel lointain

ces aveugles ? » (« les aveugles » l14). « Le sommeil promis n’est pas sur » (« Le squelette laboureur » l23). Il sont aussi provocateur car l’auteur critique les femmes allant au bal : « tu répond grand squelette, à mon gout le plus cher ! »(danse macabre =, l20) « viens-tu troubler, avec ta puissante grimace » (l21) 4) Baudelaire tisse un lien avec le lecteur et montre qu’ils partagent la même fascination pour le mal car dans son poème il s’exprime a la première personne du pluriel « nous », « nos »

poète du XIXème siècle, au moment du réalisme. Ce poète s’est rendu célèbre par plusieurs de ses écrits comme « le parfum exotique » ou « le serpent qui danse ». Ce contemporaine rejet le réalisme car il cherche à atteindre la vérité humaine de l’univers en faisant de nombreuses comparaisons entre hommes et animaux comme dans « le serpent qui danse » où le serpent ou plutôt ses mouvements sont les comparants d’une femme. Il fera d’ailleurs la même chose avec le poème que nous allons étudier où des

subissant une évolution permanente, en pleine rénovations haussmanniennes. Cette métamorphose de la ville est l’illustration de la mouvance de la ville, de ses activités, de ses hommes, et cette instabilité est décrite comme propre à Paris. Le titre Danse Macabre induit également cette mobilité éternelle et constante, image de la capitale. Ainsi, cette idée de mouvement physique perpétuel se retrouve dans Le Crépuscule du Soir et Le Crépuscule du matin. En effet, à des périodes de la journée ou l’immobilité

‘un beau jaune doré il avait raison ils dansaient. 5 5 Il portait un pantalon noir et une veste de la même couleur. Il avait une grosse moustache et roulait des yeux effrayés son expression était celui d’un homme terrorisé. C'était une danse macabre telles qu’on en voit dans quelques églises. Si le fou avait rodé autour du village ce n'était pas en quête d’un chien a étrangler mais pour observer ses gens et les peindre. Il finit de découvrir l’homme dans sa deuxième main il tenait une roue

sol, qui témoignent d’un passé artistique, culturel et d’une vie quotidienne pacifique. Ce tableau se place aussi dans l’histoire de l’art européen par le lien avec deux thèmes de la tradition occidentale chrétienne: le Jugement dernier et la Danse macabre. Le triomphe de la mort est donc à la fois le testament artistique de Nussbaum mais aussi celui d’une civilisation qui s’écroule. C’est aussi le témoignage d’un homme observateur, acteur et victime de la tragédie européenne qu’a été le génocide

Mortel, pense quel est dessous la couverture » Jean-Baptiste ChassignetJean-Baptiste Chassignet (1570? - 1635?)Le Mépris de la vie et consolation contre la mort.Mortel pense quel est dessous la couverture D'un charnier mortuaire un corps mangé de vers, Décharné, dénervé, où les os découverts, Dépoulpés, dénoués, délaissent leur jointure : Ici l'une des mains tombe de pourriture, Les yeux d'autre côté détournés à l'envers Se distillent en glaire, et les muscles divers Servent aux vers goulus d'ordinaire

moment : la nuit et sa lumière étrange : flamme, lune ; éclairage mystérieux ; mystère des nuits de pleine lune -Chiffre magique sept -Magie inquiétante  Des cheveux trop longs (un hémistiche entier pour les évoquer)  De couleur étrange (lueurs macabres sous la blancheur de la lune, peuvent faire penser à des algues)  De ce mouvement violent et dément, tordre. -Impression de magie corroborée par le rythme lent.  Longueur de l’alexandrin renforcée par le double enjambement (v 2-3-4), et nombreuses