La Ddhc 1789

Liberte et egalite sont deux des principes de la Republique Francaise. Le principe d'egalite se retrouve a l'art. 1 de la constitution francaise de 1958 "la France assure l'egalite devant la loi de tous les citoyens", mais egalement a l'art. 6 de la DDHC. Il s'agira ici de s'interesser a l'egalite de tous devant le service public, principe erige en valeur constitutionnelle par le conseil constitutionnel et en PGD apr le conseil d'etat. La liberte est un autre grand pricnipe de la republique francaise

Les idées libérales et nationales en Europe (1789-1848) L’Europe connaît entre 1789 et 1848 des bouleversements politiques et sociaux majeurs. La plupart des Etats européens étant des régimes autoritaires, les revendications des peuples portent sur les libertés politiques et la souveraineté nationale. A ces revendications s’ajoutent celles des peuples qui demandent le droit de disposer d’eux-mêmes et aspirent à constituer un Etat indépendant. Nourries par les révolutions anglaises du XVIIe-XVIIIe

citation dites par Mirabeau, Au cours d'une séance des Etats généraux ouverte le 4 mai 1789, le marquis de Dreux-Brézé, grand maître des cérémonies du roi, veut faire sortir le tiers-état de la salle. Le comte de Mirabeau, député du tiers état d'Aix-en-Provence, lui rétorque ainsi cette phrase et s'impose dès lors comme l'un des principaux orateurs du tiers état, puis de l'Assemblée nationale. | Le 27 juin 1789 Louis XVI invite les deux ordres privilégiés, le clergé et la noblesse, à se joindre

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 1) Introduction : La Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) est un des textes fondamentaux de la Révolution française, qui expose un ensemble de droits naturels individuels et collectifs. Elle est adoptée définitivement le 26 août 1789[1]. Elle comporte un préambule et 17 articles qui mêlent des dispositions concernant les droits des Hommes (Français, étrangers ou ennemis)[2] qui reprennent des dispositions du

Un royaume sans constitution : l'article 16 de la DDHC énonce les composantes d'une constitution : « toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs n'est pas déterminée, n'a point de constitution ». Les révolutionnaires disent qu'une constitution doit être rédigée, et elle doit émaner de la Nation. En suivant cette logique, la France de l'Ancien Régime n'avait pas de constitution. Le 20 juin 1789, serment du Jeu de Paume ; le 9 juillet, l'Assemblée

compris le Congrès et le président des États-Unis. Aux USA, cette évolution ne s'est jamais démentie. En France, cette évolution fut différente. En effet, dans le cas français, en 1789, n'a pas été établi un nouveau système juridique contrairement aux USA où il y a pratiquement eu la naissance d'une nation. En France, en 1789, a été fait le choix de protéger les institutions et les citoyens, non pas par la Constitution, mais par la loi. L'idée qui s'est imposée à l'époque est la suivante : parce que

fin à de longues incertitudes s’agissant de la valeur juridique des déclarations et préambule. Ces documents soit précèdent un texte C (préambule) soit sont indépendants d’un texte C (déclaration). Certains de ces documents sont célèbres : DDHC 26/08/1789. Ce texte proclame un certain nombre de liberté individuel, légalité, droit de propriété, liberté d’expression … On ne connaissait pas la valeur de ces texte précédant la C, 2 possibilités : soit on considère qu’ils n’ont pas de valeur juridique

La Constitution (1958): * + DDHC (1789) * + Préambule (1946) En France, trois pouvoirs: * Pouvoir exécutif: Président de la République + Gvt * Pouvoir législatif: Assemblée nationale + Sénat * Autorité judiciaire: Juges, cours d'assise.... I – La hiérarchie des normes a) Les sources du droit * La Constitution se situe au sommet de l'ordonnancement juridique; en conséquence, toutes les normes juridiques doivent respecter le texte constitutionnel. La constitution en vigueur

vont motiver notre existence -souvent avec une connotation religieuse- et ce sans contraintes ni influences extérieures. Cette idée émerge au siècle des Lumières puis est succinctement évoquée dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) à travers ‘la libre opinion religieuse’ pour ensuite être consolidée dans la Constitution, c’est à dire l’ensemble des textes qui régissent un Etat, organisent les pouvoirs.Ce droit est souvent associé à la laïcité et à la liberté de religion. En

exposé à l’Assemblée Nationale Constituante lors d’une séance tenue le 4 septembre 1789. La nature du texte est politique, l’auteur annonce sa thèse quant à la sanction royale, reconnue ici comme un droit de veto détenu par le roi. Cet énoncé de Mounier se contextualise à la suite de la proclamation de l’Assemblée Nationale Constituante le 9 juillet 1789, se substituant à l’Assemblée Nationale du 17 juin 1789, cette fois-ci constituée des représentants de tous les ordres (clergé, noblesse et