La Decolonisation De L Afrique Cas De L Algerie

soit moins facile de chuter le gouvernement. Art. 49: la question de confiance Art.50: la Motion de censure La volonté des constituants est que la responsabilité ne puisse pas intervenir que dans deux cas: question de confiance ou mention de censure. Plu sur une loi. Dans les deux cas on procède à une vote et donc est susceptible de faire chuter le gouvernement mais juste dans ces deux cadres. La chute du gouvernement suppose à un vote à majorité absolu des députés. -rep habilité le droit

Université de Lund Centre de langues et de littérature VT 2012 La conception de la femme dans la trilogie « Algérie » de Mohammed Dib Aïcha Aïdat Directrice de mémoire : Margareth Wijk Table des matières Table des matières ................................................................................. 1 1. Introduction ........................................................................................ 2 2. But et méthode .......................................................

personnalité africaine » par l’Antillais Aimé Césaire et le Sénégalais Léopold Sédar Senghor) et politique (lutte pour l’indépendance). L’idée de panafricanisme est relancée en 1945 lors du cinquième congrès panafricain et avec l’amorce de la décolonisation dans les années 1950, à partir d’une vision plus continentale que raciale. Kwame Nkrumah (premier chef d’Etat de la Côte-de-l’Or, futur Ghana, après l’indépendance de la colonie britannique) s’impose sur la scène internationale comme le leader

différents modes. Au 18ème siècle, ce n’est pas le degré de civilisation qui faisait la supériorité des Européens sur d’autres cultures de part le monde, mais la puissance militaire reposant sur quelques inventions comme les armes à feu. C’était déjà le cas à la fin du 15ème siècle, quand Colomb débarqua sur les rives des caraïbes. Le sabre et le goupillon, l’épée et la bible : apporter la parole de Dieux à ses sauvages païens était le devoir invoqué pour justifier les incursions - Aujourd’hui, nous apportons

africaine et le processus d'intégration sous-régionale par Makhtar Diouf IFAN- Université (UCAD, Dakar Dakar. Août 2001 Introduction Le point de départ: le panafricanisme L'union africaine est le tout dernier projet d'intégration né en Afrique. Au cours des deux ou trois décennies d'après les indépendances, il n'a été question que d'intégration au niveau sous-régional. Ce qui pourrait laisser croire que l'intégration au niveau continental prônée par l'union africaine est la suite logique

mesure ? Il y a d’autres paramètres à prendre en compte : toutes les économies parallèles ne sont pas prises en compte, les inégalités ne sont pas prises en compte, l’autoconsommation… Le PIB mesure des flux de production mais pas de destruction : le cas des questions environnementales (on mesure une activité polluante et sa production et en même temps on ajoute dans les PIB les coût de cette production). IDH (Indicateur de Développement Humain)  C’est un indicateur statistique composite : il comprend

monuments aux morts n’existent quasiment pas avant le xixe siècle : les monuments commémorent les victoires militaires et portent rarement les noms des soldats morts, à moins qu'il ne s'agisse de personnalités. Une exception notable est cependant le cas de la porte Désilles à Nancy, édifiée entre 1782 et 1784 pour commémorer l'indépendance de l'Amérique et qui rend également hommage aux Nancéiens morts durant la bataille de Yorktown. Un projet de Lucien Bonaparte avait cependant prévu en 1800 que

obligatoire d’hydrocarbure. Risques naturelles : séismes, tsunamis, etc. Iles > isolement éco pdt très lgtemps. Espaces maritimes immences donc compléter l’alimentation. Iles donc dvlpt construction navale : ports et commerces intern et isolement en cas de guerre (2nd GM) Espace gagné sur la mer > terre pleins indus portuaire. Tunnels et ponts pour relier les iles Ligne du shinkanzen qui relie nord au sud Habitants : 2x la France : 127M Pop vit sur la cote sud de Honshu Apparit° de gdes agglos

Selon l'hypothèse de Daniel Don Nanjira, le mot latin Africa pourrait provenir soit du nom Afridi, une tribu qui vivait en Afrique du Nord près de Carthage, soit du terme phénicien Afar signifiant « poussière »3. Une autre explication rapprocherait le mot Africa du berbère Taferka signifiant « terre », « propriété terrienne ». Selon d'autres chercheurs, le mot Afrique provient de la tribu des Banou Ifren (tribu Amazigh)4,5,6,7, dont l'ancêtre est Ifren appelée aussi Iforen, Ifuraces ou Afer8

séjour en métropole, on les renvoyait chez eux, truqués. Ces mensonges vivants n'avaient plus rien à dire à leurs frères ; ils résonnaient ; de Paris, de Londres, d'Amsterdam nous lancions des mots « Parthénon ! Fraternité ! » et, quelque part en Afrique, en Asie, des lèvres s'ouvraient. : « ... thénon ! ... nité ! » C'était l'âge d'or. Il prit fin. Les bouches s'ouvrirent seules ; les voix jaunes et noires parlaient encore de notre humanisme mais c'était pour nous reprocher notre inhumanité