La Demande Effective De Keynes

------------------------------------------------- L’épargne est elle favorable à la croissance ? Introduction Dans la « Théorie générale de l’emploi et de l’intérêt de la monnaie » publiée en 1936, Keynes donnait cette définition de l’épargne : « L’épargne constitue tout ce qui, dans le revenu, échappe à la consommation ». Mais si sa définition est universellement acceptée au sein des économistes, l’épargne est loin de réaliser le consensus quant à ses effets sur la croissance. Les déterminants

entreprise plus une personnes sera a une tâche précise plus il sera performant, productif = division du travail (DIT) Concept de la main invisible = Le marché s’autorégule tout seul plutôt bien. Ex : boucher qui veut s’enrichir en prenant en compte les demandes de ses clients : en étant égoïste on s’entend plutôt bien puisqu’on concourt pour avoir le plus de clients. D.R : (Juif, née Portugal) chassé du Portugal il s’est donc réfugié à Londres. Son papa était traideur Il a eu des difficultés

Cheyban - Mr J-S Kouassi N° DES SEANCES : Toutes les séances DISTRIBUTION : semaine du 26/01 /2015 UTILISATION : semaine du 02/02/2015 au 13/04/2015 THEMES DES SEANCES Séances 1 et 2 : Introduction à la macroéconomie, Consommation et épargne chez Keynes Séances 3 et 4 : Diagramme à 45° et multiplicateurs keynésiens Séance 5 : Interrogation écrite + début du cours sur l’investissement Séance 6 : L’investissement Séances 7, 8 et 9 : Le modèle IS/lM en économie fermées et politiques économiques Séances

flexibilité, ne laisse pas présager un retour durable à l’équilibre sur le marché du travail. Il semblerait qu’elle soit plus une réponse à un chômage de type classique (lié à une insuffisance de rentabilité) que Keynésien (lié à une insuffisance de la demande). C’est donc une réponse adaptée à certaines causes du chômage, mais elle ne résout pas tous les déséquilibres sur le marché du travail. 1 – La flexibilité permet de lutter contre le chômage …  Du coté des salariés, les formes particulières d’emplois

premier lieu, il convient de distinguer les équilibres généraux et les équilibres partiels. Il y a un équilibre général quand tous les marchés sont en équilibre et, pour qu’il y ait un équilibre sur un marché, il faut que l’offre soit égale à la demande. Le cadre spatio-temporel se limitera à la France et aux États-Unis de 1929 à nos jours. En ce qui concerne l’équilibre des marchés, il y a deux grandes oppositions théoriciennes. Tout d’abord, il y a les keynésiens qui préconisent une intervention

depuis une certaine période, un des instruments essentiels de la politique économique. Cette théorie repose sur les principes suivants : 1. La nature exogène de l'offre de monnaie, qui est décidée par la banque centrale. 2. Le processus de la demande de monnaie est stable ; 3. L’inflation et de nature exclusive monétaire et représente le résultat de l’accroissement de la masse monétaire 4. Les acteurs économiques font des anticipations adaptatives qui ont un effet de diminution d’importance

INTRODUCTION : Grands déséquilibres macroéconomiques : écart en l’offre/ressources et la demande/emploi de ces ressources. Depuis le début des années 70 (30 Glorieuses) sont apparues dans les PDM des déséquilibres macroéconomiques qui touchent la société et qui entrainent la fragilisation sociale et on a peur que la croissance soit compromise. Sur le marché des biens et services : Il y a un déséquilibre entre l’offre et la demande et en générale depuis les 30 Glorieuses ces déséquilibres ont entrainé de l’inflation

économique. La première solution proposée est d’effectuer un plan de relance selon les idées de Keynes (Economiste britannique. Selon lui, l’Etat doit mener une politique de relance afin d’augmenter la demande effective. La demande effective est, selon Keynes, la demande globale (composée de la consommation et de l’investissement) anticipée par les entreprises). Cette solution est inadaptée, car elle est effective seulement sur un court terme juste pour éviter la faillite des grandes firmes. Seulement

L'approche microéconomique : Valeur-Utilité et équilibre général bref rappel sur la valeur -utilité et utilité marginale concept de base : biens, préférences et relation échange la logique de l'équilibre général Keynes et l'approche macroéconomique La logiqueWalrasienne La demande , une variable clé de la logique keynésienne Réaffirmation de la théorie de la valeur utilité sur la théorie d la valeur du travailler => Concept d'utilité marginale Utilité marginales : supplément d'utilité

économistes vont s’intéresser à la question de la richesse des souverains car il faut des ressources pour entretenir une armée. Le 1er économiste à avoir publié un ouvrage « Traité d’économie politique » en 1616 est Antoine de Montchrestien. Il se demande comment faire pour enrichir le souverain car richesse = puissance. Montchrestien va créer une des premières écoles de pensée, les Mercantilistes. La caractéristique fondamentale des économies d’alors est que ce sont des économies sans industrie où