La Dimension Fantastique

appartenu au mouvement surréaliste, Desnos a su, à travers son œuvre poétique, peindre un monde nouveau, irréel et fantastique, grâce aux pouvoirs de l'inconscient prônés par le surréalisme, mais aussi grâce aux pouvoirs de la poésie. Ainsi, le poème «Un jour qu'il faisait nuit» est une parfaite illustration de ces pouvoirs : reposant sur une antithèse, ce poème semble alors atteindre une dimension étrange, voire absurde, car il paraît dépourvu de sens et de logique. Sous cet aspect absurde et illogique

personnage ou d'une histoire en fixant son attention de façon soutenue sur un détail en apparence anodin. Certains de ses récits sont donc construits autour d'un objet pour ainsi une obsession: le réalisme y rejoint alors le fantastique en ce que la réalité se charge d'une dimension expressionniste et presque magique. Extrait : Les jours, les semaines, les mois,les saisons, les années s’étaient ressemblés.A la même heure, chaque jour, il se levait, partait, arrivait au bureau, déjeunait, s’en

écrivains majeurs du XIXème siècle, au même titre que ses amis Zola et Flaubert. Auteur de contes, de romans et de nouvelles, son écriture le situe dans le mouvement réaliste et naturaliste. Il est également connu pour avoir su introduire une dimension fantastique à plusieurs de ses récits. Parmi les auteurs classiques, il est actuellement le plus vendu en France. Parce qu’il a écrit des œuvres universelles, des textes profonds et faciles d’accès où se mêlent émotion, intelligence et passions.

que la poésie donne comme première apparence le but de divertir son lecteur. En effet, de nombreux poètes inventent des histoires tirées d'un monde fantastique, certains des épopées, ou d'autres tout simplement qui se servent du registre épique pour donner un côté captivant et héroïque. Terreur de Guy de Maupassant fait parti des poésies fantastiques. Elle est qualifiée de telle du à son fort vocabulaire de la peur , de l'étrange (« peur, épouvante , terrible, atroce,...»)ce qui suscite chez le lecteur

de ceux qui, en alerte, chassent le Loup (« nos couteaux »). Or ce chasseur même ne cache ni son émotion quand son regard croise celui du Loup qui le « regarde » (v. 37, 41), ni son admiration et sa compassion lorsque la bête meurt. 2. Un cadre fantastique émouvant La mise en place du décor nocturne contribue à rendre le récit émouvant. La « lune au milieu des bruyères », l’« arbre » auquel s’adosse le Loup, « le sable » où il « s’assied », « le gazon » teinté de son sang composent un cadre naturel à

qualifiant est déjà capable de s’exprimer de manière correcte et efficace, dans des situations de communication complexes. Il est appelé, durant ce cycle, à consolider ses acquis, à se perfectionner en vue d’une appropriation élargie et progressive des dimensions culturelles, discursives et linguistiques de la langue française. 1. Entrée par les valeurs et entrée par les compétences 1.1. Entrée par les valeurs A l’instar des autres disciplines, le français contribue au développement des valeurs nationales

cinéma ou à la télévision chaque année. Le problème, c’est que ces adaptations sont critiquées par certains lecteurs qui y trouvent trop de changements. J’espère montrer ici aux derniers réticents que nos nouvelles technologies apportent une autre dimension à l’histoire, que plusieurs films témoignent de la qualité de l’adaptation et enfin qu’adapter c’est un art à part entière. Tout d’abord, les avancées technologiques permettent de voir l’histoire d’une autre façon. Grâce aux effets spéciaux entre

description de la serre, faite par Renée, le personnage principal. Nous nous demanderons quels sont les liens évoqués par Zola entre la serre et le désir. Nous nous interrogerons donc tout d’abord sur la description réaliste de cette serre, puis sur sa dimension symbolique. Pour commencer, nous allons montrer que cet extrait décrit précisément la serre grâce à des termes qui, en évoquant les sens et en précisant chaque détail, en font une description sensuelle qui donne l'illusion du réel. En effet

l'oxymore « charte lugubre ». Le décor est immense, et il le qualifie alors de « magnifique amas d'écroulements », un autre oxymore. On apprécie également la puissance des adjectifs que il utilise : vaste, immense, magnifique, lugubre, qui donnent une dimension épique au château, et le magnifie encore plus. Puis soudain, au milieu du décor surgit la tour fendue. Partir de ce moment-là, Hugo décrit le château à travers un point de vue interne, et les verbes de perception la véritable métamorphose qui lui

mieux cerner la réalité. Après avoir montré que le roman, en tant qu'écrit fictionnel, s'inspire de la réalité, nous verrons qu'en plus de s'en inspirer, il la cerne en lui donnant une nouvelle image. Qu'il soit historique, autobiographique, fantastique, policier..., le roman est une œuvre d'imagination écrit en prose qui présente et fait vivre des personnages donnés pour réels. Il est donc avant tout le fruit de l'imagination de son auteur et sans cette imagination, le roman ne serait pas un