La Dispute Anouilh

Jean Baptiste Poquelin) Jean Racine Voltaire Beaumarchais Comedia del Arte Marivaux Victor Hugo Alfred Musset André Antoine Maurice Maeterlinck d) Les importants metteurs en scène contemporains Guillaume Apollinaire Jean Cocteau Jean Giraudoux Jean Anouilh Eugène Ionesco Arthur Adamov Paul Claudel René de Obaldia Armand Gatti Bernard Marie Koltès Jean Luc Lagarce Joël Pommerat Bertolt Brecht Samuel Barclay Beckett Johan August Strindberg VI. Les grands auteurs dramatiques a) Sophocle Sophocle (en

siècle est marqué par la place croissante du metteur en scène. Au début du siècle Claudel continue dans la voie du symbolisme tandis que Jarry se livre à des provocations (Ubu Roi). Durant l’entre-deux-guerres, de nombreux dramaturges, Cocteau, Anouilh, Giraudoux, retournent aux mythes antiques et tentent de les actualiser. D’autre part, à partir de la seconde guerre mondiale, Sartre et Camus proposent un théâtre de réflexion. Après la guerre le sentiment de l’absurde triomphe : Ionesco et Beckett

Alphonse Allais ] "La source désapprouve presque toujours l'itinéraire du fleuve." [ Jean Cocteau ] "Pour qui n'ambitionne rien, le monde est à portée de la main." [ José Maria Peman ] "Les apparences suffisent largement à faire un monde." [ Jean Anouilh ] "Aujourd'hui, je suis reine. Autrefois, j'étais libre." [ Victor Hugo ] "La folie, c'est se comporter de la même manière et s'attendre à un résultat différent." [ Albert Einstein ] "Quoi d'imprévu pour qui n'a rien prévu ?" [ Paul Valery ] "Un homme

privé, répondu à toutes les critiques, bonnes ou mauvaises, ce qui l’installe dans une position dépassionnée, quasi impartiale ; il ajoute qu’il n’entend pas répondre à toutes les critiques dans l’espace public du paratexte. Il faut se limiter à la dispute, ne répondre qu’aux articles négatifs et ne pas épiloguer sur les bonnes critiques : Vian ne se pavanera pas. Impartial et modeste, il s’élève au-dessus de la jalousie mesquine des critiques, brocardée dès l’introduction du volume28. La riposte vengeresse

son père est enterré. Larmes de dépit : cette mort l’a empêché d’avoir avec son père la conversation qui lui aurait promis de faire part de sa souffrance, cachée depuis son jeune âge. La situation tendue entre les trois protagonistes d’«Art», les disputes et les malentendus, menacent une longue amitié ─ ce qui amène également Yvan à pleurer plusieurs fois devant les autres, notamment quand il découvre qu’il leur est devenu indifférent : Yvan. Vous savez que je peux pleurer... Je peux me mettre à

voile-t-il pas d’une secrète mélancolie : l’impossible passion n’appelait-elle pas à une autre vie ? Ce retour aux vieux amis, aux anciens défauts n’a-t-il pas les accents du désespoir ? 174 Les repères de l’action théâtrale Exercice 6** 1. Anouilh a recours à ce qu’il appelle un « décor vague ». C’est ensuite un rideau qui permet de passer de la cathédrale à la chambre du roi. Le changement de lieu est souligné par un changement d’éclairage et de costume : Becket passe des vêtements religieux

malheurs pour la dissuader de quitter ce lieu où elle « est en sécurité », lettre où elle explique qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage. Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant

Roger Lemelin, découvert la richesse de son propre milieu géographique et humain, ayant vu Gratien Gélinas inaugurer un théâtre véritablement québécois avec ‘’Ti-Coq’’ en 1948 (qui provoqua un fort effet d’identification), ayant trouvé chez Jean Anouilh un certain type de personnages, surtout féminins, qui semble l'avoir hanté longtemps, et qui rappelle ‘’La sauvage’’ ou ‘’Antigone’’, il commença, en 1950, avant même la fin de ses études au collège, à écrire des textes pour la radio, qui étaient

Gabrielle Roy et Roger Lemelin, dcouvert la richesse de son propre milieu gographique et humain, ayant vu Gratien Glinas inaugurer un thtre vritablement qubcois avec Ti-Coq en 1948 (qui provoqua un fort effet didentification), ayant trouv chez Jean Anouilh un certain type de personnages, surtout fminins, qui semble lavoir hant longtemps, et qui rappelle La sauvage ou Antigone, il commena, en 1950, avant mme la fin de ses tudes au collge, crire des textes pour la radio, qui taient diffuss sur les ondes

quelques comédies en un acte qui constituent la quintessence de sa pensée et de son art théâtral, qui allaient être jouées uniquement à la Comédie-Française : _________________________________________________________________________________ ‘’La dispute’’ (1744) Comédie en un acte Pour savoir qui, de l’homme ou de la femme, avait «Ie premier donné l'exemple de l'inconstance et de l'infidélité en amour», comme les documents manquent, le souverain «philosophe» d’un royaume imaginaire, et sa