La Distanciation Dans Fin De Partie De Beckett

............................................................................................ 9 Les caractéristiques du texte théâtral L’action et les personnages Chapitre 2 > Le théâtre, miroir du monde : Petite histoire du théâtre à partir de quelques scènes d’exposition A B C D E ........................................................................................................................................................... 31 La tragédie grecque Le théâtre classique

modernité est une notion difficile à définir car elle n’a pas de limitations. En effet on peut se demander quand celle-ci commence. Trois évènements jalonnent la modernité : - La révolution française à la fin du XVIIIème siècle incarne, dans la réalité politique et moderne, les idéaux modernes. - A la fin du XIXème siècle c’est la remise en cause de ces idéaux (progrès, rationalité, libéralisme) par la montée des passions collectives qui se traduisent par l’arrivée du fascisme, des nationalismes, du socialisme…

(dont Un formidable bordel, transposé ensuite au théâtre), de nouvelles + divers écrits théoriques : Entretiens avec C. Bonnefoy ; Notes et contrenotes ; Journal en miettes ; Présent passé, passé présent etc. Présentation de l’œuvre écrite : (Notes à partir de la Pléiade) Dans « notes sur le théâtre », Ionesco confie « j’ai toujours été obsédé par la mort. Depuis l’âge de quatre ans, depuis que j’ai su que j’allais mourir, l’angoisse ne m’a plus quitté. C’est comme si j’avais compris tout à coup qu’il

LITTERAIRES Du Moyen-âge à nos jours. 1623060508000 Français Mme DemonteilPARTIE I: Aperçu sur les mouvements littéraires français. Dans cette première partie, je vais vous présenter les différents courants littéraires du Moyen-âge à nos jours. Un courant littéraire, ou mouvement littéraire, est une expression qui fait référence aux similitudes qui peuvent exister entre plusieurs auteurs ou plusieurs œuvres

mouvementé (Théophile de Viau), elles sont très fréquentes dans le drame romantique (qui privilégie les drames historiques recréant une époque et multiplie les gestes théâtraux ; cf. Hugo) ou dans le mélodrame et dans certaines pièces contemporaines (Beckett). CORRIGÉ DE LA QUESTION • Les didascalies sont nombreuses dans ces deux scènes et donnent des indications précieuses pour la représentation. Il s’agit de deux scènes dont l’intérêt repose presque autant sur ce qu’il y a à voir – le cadre, les

la Poétique d'Aristote, est d'aider les dramaturges à la mettre en pratique - seul Corneille dans ses Discours ce souci d'élargir les perspectives aristotéliciennes - dans Poétique, question de la comédie jamais examinée - notion d'action : la fin [la tragédie] « représente non des hommes mais des actions » - la représentation ne se fonde pas sur le réel (ce qui a effectivement eu lieu), mais sur le possible (ce qui pourrait avoir lieu) - la notion de possible est délimitée par le vraisemblable

aussi pour elle-même, pour exister en tant que liberté. Si bien que progressivement on a le sentiment qu’Antigone résisté pour résister, que c’est sa résistance elle-même qui devient une fin en soi : « Non, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas » « Mon acte c’est pour personne. Pour moi. » A la fin de l’œuvre elle finit par douter du sens de ses actes : Sa quête de liberté a un prix : la mort. Ex 2 : Racine. Britannicus. Il y a une lutte intrinsèque entre Néron et Agrippine

du théâtre : " Scène comme au premier acte. Willie invisible. Winnie enterrée jusqu'au cou, sa toque sur la tête, les yeux fermés [...]. Sac et ombrelle à la même place qu'au début du premier acte. Revolver bien en évidence à droite de la tête " (Beckett) ; on la trouve aussi dans le texte romanesque, avec le même rôle de notations descriptives : " La chambre à coucher du couple Deume [...]. Une odeur composite de camphre, de salycilate de méthyle, de lavande, et de naphtaline. Sur le dessus de la

sa chaque domaine : la poesie, le theatre et les romans : La littérature française du xixe siècle s'inscrit dans une période définie par deux dates repères :1799, date du coup d'État de Bonaparte qui instaure le Consulat et met d'une certaine façon fin à la période révolutionnaire, et 1899, moment de résolution des tensions de l'affaire Dreyfus et de la menace du Boulangisme et où s'imposent finalement les valeurs de la IIIe République. La modernité littéraire s'affirme dans ce siècle à l'Histoire

également trois façons d'imiter : comme les choses sont, comme on les dit et comme elles devraient être. L'imitation est à la base des différents arts et notamment de la tragédie, qui est définie comme "l'imitation d'une action noble, conduite jusqu'à sa fin et ayant une certaine étendue". Suscitant pitié et crainte dans l'esprit du spectateur, la tragédie "accomplit la purgation des émotions de ce genre (catharsis)" Sa définition de la comédie (il ne l’évoque plus par la suite, on suppose qu’il n’a pu