La Dyarchie

grande famille, il faut avoir eu une vie de citoyen parfait. Une fois élue c’est le conseil qui dirige la cité, car ce sont eux qui font les propositions de lois, et si nécéssaires ils forment la cour de justice de la cité. Les deux Rois, (une dyarchie) c’est deux Rois sont les membres héréditaires de 2 familles royales qui s’appellent la famille des Agiades et des Euryppotides. D’après la légende Spartiate il serai tous deux descendant d’Héraclés, et ils n’ont pas pu choisir entre les deux.

prérogatives distinctes. Ces deux rois président les séances du conseil et les réunions de l’assemblé. L’un des deux rois devait assurer le commandement militaire, les deux rois peuvent intervenir dans les affaires civiles = dyarchie. II Le système politique athénien a) La participation des citoyens aux prérogative politiques L’assemblée et le tribunal du peuple sont accessible à tout les citoyens même si les historiens constatent

du pouvoir Evènements d’Algérie = renforcement du pvr du pdt centre du pouvoir : Elysée. DG se créé un « domaine réservé » : ts les gds pb qu’il souhaite régler. Les ministres apparaissent comme des exécutants pr DG le 1M est l’h° du pdt, pas de dyarchie au sommet de l’Etat. Allocutions, conf de presse gdes annonces du pdt. Ref = liens directs ac le peuple. ≠ ministres qui le critiquent sont renvoyés DG impose SA lecture de la constitution 2) L’opposition parlementaire AN : considérée par DG comme

le pouvoir (et donc le politique) n’existerait plus (H. Marcuse « L’homme unidimensionnel » 2. La monarchie : un seul décideur, c’est le régime le plus logique. Simplicité théorique de l’autorité hiérarchique. (Dante J. « Du pape »). 3. La dyarchie : deux décideurs, c’est trop ou pas assez, l’état a deux têtes. La république romaine était dirigée par le Sénat aristocratique et par le Peuple représenté par des tribuns. (SPQR). Régime de « cohabitation » en France sous le septennat de la

institutions 1. la vassalisation du 1er ministre Le 1er ministre a tendance à s’effacer devant l’autorité du président mais le gouvernement dans son ensemble est doublé par une administration présidentielle. Il existe une impossibilité de dyarchie pour de Gaulle ou Mitterrand, lors d’une différence de vue majeure, le renvoi était immédiat, alors que Sarkozy a passé un contrat moral avec Fillon laissant le président donner le mot en toute matière malgré la répartition des tâches. Le 1er ministre

situé sur le même plan que le président de la république ne serait-ce que parce qu'il est nommé par le président (Art. 8 alinéa 1 C). C'est en fait la pratique constitutionnelle qui a peu à peu définit le rôle et les prérogatives de chacun dans cette dyarchie. En ce qui concerne le Parlement, on observe un abaissement de son rôle pour plusieurs raisons : → il ne dispose plus d'un monopole d'édiction de la loi. La loi peut en effet intervenir par le {text:soft-page-break} biais d'un référendum législatif

d’un autre parti (l’UDR gaulliste ralliée à Chirac) que le sien. Si le président n’est pas gaulliste, le parlement et le premier ministre le restent. Dès lors un bras de fer s’engage entre Chirac et VGE. En position de force, Chirac entend mener une dyarchie : l’exécutif a deux têtes. Le pdt de la République est une nouvelle fois menacé de perdre ses prérogatives. Pourtant VGE tient son rôle avec force, et contraint Chirac à nommer un gouvernement avec seulement cinq ministres de l’UDR. Le président

et sa représentativité va conditionner son autorité. Cette prééminence du chef de l’E participe de la restauration plus générale de l’ensemble de l’exécutif qui était souhaité par les constituants en 1958. Clairement la 5è Répu met en place une dyarchie, qui sera composée du chef de l’E et du chef du Gvnt. En vertu de l’art 5 de la C° , le Pdent a la charge de veiller aux intérêts supérieurs de la nation au bon fonctionnement des institutions et à la continuité de l’E. De son côté le Gvnt avec

vie. Leur vie doit être exemplaire et ils doivent appartenir à l'une des meilleures familles de Sparte. Ils vont devoir faire des propositions de lois. Il s'agit aussi de la plus haute cour de justice de la cité. Les deux rois. Il s'agit d'une dyarchie (double royauté) ce qui est original. Ces deux rois appartiennent aux deux familles royales : famille des Agiade et l'autre à la famille des Eurypontide. Ces deux familles descendraient d'Héraclès et comme les spartiates n'ont pas pu choisir, ils

puissance gouvernante dans la personne du président de la République, désormais à l'abri d'un désaveu populaire via les élections législatives _ et donc d'une « cohabitation » _, posant dès lors la question de la place du Premier ministre au sein de la dyarchie gouvernante et, par voie de conséquence, dans un régime qui reste parlementaire, de la relation du président avec le Parlement. En d'autres termes, avec le quinquennat, le président serait devenu trop puissant. C'est Nicolas Sarkozy lui-même qui