La Dyarchie

gardiens des clés des temples, fêtes civiques). Si l’assemblée vote à l’encontre du choix de la gérousia. La gérousia peut ne pas tenir compte du vote de l’assemblée. 4) Des magistrats en nombre réduit : éphores et rois. Sparte est une dyarchie, deux rois règne en même temps et sont issus de deux familles complètement différentes. Entre ces deux familles, aucun lien familiale ne peut être établi. Quelles sont les fonctions des rois ? Celui qui succède à sont père roi n’est pas l’aîné

organisation, le mouvement social n’est pas totalement spontané, les émeutes sont rarement des mouvements sociaux, il n’y a pas forcément de statut bien définis, officiel, mais il y a une certaine répartition des rôles. Il y a un risque de tomber dans une dyarchie comme dans les partis. 1) Pourquoi les mouvements sociaux. Progressivement, les chercheurs ont conduit une entreprise de réhabilitation théorique et politique du mouvement social. De nos jours on en est venu à penser que les mouvements sociaux

1814-1848; prpe mon et prpe representatif se font équilibre. Régime parlem = dualiste. caractéristiques: 2 pv (roi et parlement) st en présence, collaborent par l'intermédiaire d'un cab min, qui est resp politiqmt dvt les 2: véritable dyarchie: exécutif dyarchie. Pas qu'un exécutif bicéphale. Chef de état = rôle actif, pv significatif. 2 fortes tetes au sein de l'exéc. Cq: * D de dissolut° appartient véritablement au chef de état. Pv discretionnaire du chef de état, peut aussi l'exercer en dehors

pour laisser place à l'autorité parentale un ensemble de pouvoirs conditionnés par des devoirs en vue d'une certaine finalité (l'intérêt de l'enfant) et confiés aux deux parents qui l'exercent de concert, en principe sur un pied d'égalité (dyarchie). acisse (tous droits dréservés) 120 II.Les II. Les mineurs La puissance paternelle peut être appréhendée à travers: L’attribution de la puissance paternelle; Les conséquences de l’exercice de la puissance paternelle. acisse

l’assemblée et fonctionnent de manière collégiale. Il y a la pratique du serment mutuel entre les 2 rois et les éphores, renouvelé tous les mois ; les rois prêtent serment de régner conformément aux lois et les éphores de respecter la royauté ; dyarchie (pouvoir à 2 têtes). Même si leur pouvoir est allé en augmentant, ils sont tout de même encadrés : collégialité et durée de fonction brève (1 an) ; ils ne sont pas rééligibles et même leurs successeurs peuvent les mettre en accusation. Equilibre

la nation. B. Dans la pratique : un régime mixte à fonctionnement alternatif 1. La concordance des majorités : la prépondérance présidentielle Conférence de presse 31.1.64 : « on ne saurait accepter qu’une dyarchie existât au sommet de l’Etat. Mais justement il n’en est rien » [Dyarchie = terme qui renvoie à l’idée d’une concurrence entre les 2 têtes de l’exécutif] 2. La cohabitation : un centre de gravité situé au niveau du gouvernement Vocabulaire - rappel Concordance des majorités = période

1999 ; H. Portelli, Droit constitutionnel, Dalloz, 3e éd., 1999 ; D. Breillat, G. Champagne et D. Thome, Droit constitutionnel et Institutions politiques (Annales corrigées, DEUG), Gualino éditeur, 1999 ; Annales 1999, Dalloz. V. Constitution. DYARCHIE – Bibliographie. P. Jarreau, « ChiracJospin : La bataille du temps », Le Monde, 19/20-9. I. Ordre interne. La cohabitation s’installe dans la durée, le chef de l’État s’étant affirmé décidé à conduire sa mission « jusqu’à son terme » (v. Président

l'héritier du prés du Conseil de la IVè Rép. - 2ème distinction : entre les prés du Conseil IIIè et IVè et le premier ministre au regard du président de la Rép. Pb délicat de la dualité du pouvoir exécutif. Dyarchie : le fait que le pvr exécutif est divisé en deux et que 2 ind se partagent le pouvoir. Dyarchie toujours inégalitaire. Ss les IIIè et IVè rép, le Président du Conseil était le véritable chef de l'exécutif. Ss la Vè Rép, la dualité du pvr exécutif est tjrs inégalitaire mais en faveur du Président

première fois dans e l’histoire institutionnelle de la V République, la majorité parlementaire ne coïncide pas avec la majorité présidentielle. Cette situation contraint le président de la République à la cohabitation. En introduisant une véritable dyarchie au sommet de l’État, cette expérience répétée en 1993 et 1997, remet en cause l’orientation présidentialiste du régime engagée depuis 1958. Mais elle montre aussi la capacité d’adaptation des institutions. La volonté collective de redonner au pouvoir

gouvernement. Le régime redevient moniste. Le PM en cohabitation est indéboulonnable B – La répartition des rôles et pouvoir entre les deux têtes de l’exécutif 1 – l’absence de « dyarchie au sommet » « Deux rois ». CDG, au cours de sa conf de presse connu de 64, déclare qu’il ne saurait y avoir de dyarchie au sommet. En effet, sa conception est claire, le PdR est le seul à détenir l’autorité de l’État. Le PM, il a pour rôle de seconder le chef de l’État. Il est le lieutenant, vassal, assistant