La Délinquance Féminine

SOCIOLOGIE La délinquance féminine en France Autrefois, la croyance populaire voulait qu’on associe la délinquance, c’est-à-dire un ensemble d’infractions commises, au sexe masculin. La femme faisant figure de fragilité, de pureté, de douceur, elle ne pouvait tout simplement pas être conçue en tant que délinquante. Depuis, la société doit maintenant concevoir la délinquance comme unisexe. Mais la soudaine hausse de la criminalité chez les femmes inquiète. L’augmentation de 15.5% de femmes mises

Dossier Documentaire La délinquance féminine comparée à celle des hommes Plan du dossier : Nous verrons dans un premier temps les raisons les plus fréquentes de l'incarcération féminine, en les comparant à celles des hommes. Ensuite nous étudierons leurs conditions de vie en prison en les reliant à leur rôle dans la vie en société. Enfin, nous nous pencherons sur les comportements des femmes en prison. Tout cela sera fait au travers de plusieurs documents pris sur différents sites internet

La délinquance des filles peut-elle être expliquée uniquement par le milieu défavorisé (autrement dit la crise économique) ? | La délinquance est un phénomène qui touche de plus en plus la jeunesse féminine. Les atteintes aux personnes commises par ces mineures ne cessent d'augmenter depuis 5 ans. L'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) a publié une étude sur la délinquance chez les filles. Selon cet organisme officiel, le nombre de mineures mises en cause

criminologues n’ont pas encore pleinement exploré la diversité des types de délinquance féminine. Notre examen des causes et des conséquences de la délinquance féminine s’appuie sur trois postulats de base : 1) la population délinquante est hétérogène 2) l’existence de types distincts de délinquantes est le produit de processus causaux qui sont à la fois communs et distincts et 3) les conséquences à long terme de la délinquance varient selon le type de délinquantes. Les données autorapportées ont été

d’agression sexuelle. En effet, plusieurs personnes trouvent que cette pratique est athéorique donc à sa sortie, aucune autre étude expliquait comment les facteurs de risque se développent au cours de la vie et comment cela cause et maintient, ou non, la délinquance sexuelle. Tout d’abord, les auteurs ont sélectionné un échantillon de 613 hommes ayant été reconnus coupables d’agression sexuelle de 1995 à 2000 au Québec. L’échantillon représente très bien la population puisqu’elle correspond à 93,5% de tous

involontaire : réaction pénale forte atteinte a l'environnement suscite des réactions fortes aussi. Inversement on observe un déplacement de seuil émotionnel. Sur les biens, la sensibilité au vol est moins forte que dans le passe. Banalisation de cette délinquance. Affaiblissement de la réaction sociale par rapport a certains comportement. La perception de ces déplacements est rendu délicate par le fait que les réactions profondes populaires sont difficile a saisir car elles sont souvent marquées, déformes

toujours en 2009, 54 % des médecins de moins de 40 ans sont des femmes. Les femmes représentent également 58 % des magistrats et la moitié des avocats. En 1995, il est dit que « 70 % des femmes s'engouffrent dans 30 % des professions, dites féminines, et du même coup supposées sous-qualifiées et médiocrement payées ». Au deuxième trimestre de 2011, on compte 226 000 chômeuses de plus de 50 ans contre 226 000 hommes, 728 000 chômeuses entre 25 et 49 ans contre 728 000 hommes et 291 000 chômeuses

des Lumières occidentale a posé, au moins dans ses principes, et par certains de ses membres, l'égalité entre hommes et femmes, appartenant au même genre humain : François Poullain de La Barre dans De l’égalité des sexes considère que l'infériorité féminine résulte d'un simple préjugé ; Claude-Adrien Helvétius dans De l'esprit, défend l'idée d'un cerveau égal pour les hommes et les femmes, et préconise, aux antipodes d'un Jean-Jacques Rousseau, une éducation identique pour les deux sexes ; en 1790, Nicolas

Mlle WEISS Kelly DECESF Mémoire Dans cet écrit, nous allons étudier les comportements violents chez les filles âgées de 16-25 ans. Je pense qu’aujourd’hui, on assiste à une progression significative d’actes violents féminins. On nous parle de plus en plus de ce phénomène, et pourtant je ressens comme une envie de la part de notre société d’étouffer le sujet. Serait-ce pour ne pas casser l’image, le statut de la femme ? Les conséquences de ces actes sont souvent mises en avant, mais

L’hypersexualisation de la société un cadre favorable au passage à l’acte de délinquance sexuelle ? Table des matières I. Introduction et méthodologie 3 II. L’hypersexualisation de notre société 4 a. De quoi s’agit-il ? 4 b. L’agir sexuel à l’adolescence 5 c. Le stéréotypisme 6 d. La pornographie 6 e. Quelques exemples du phénomène d’hypersexualisation 7 1) La publicité 7 2) La presse féminine et masculine 8 3) La musique 8 4) Les jeux vidéos 8 III