La Femme en blanc

Eleanor, Chicago est une photographie prise par le photographe américain Harry Callahan en 1947. Il s’agit d’un portrait de sa femme, Eleanor, un de ses sujets favori avec sa fille Barbara. D’une part nous verrons qu’il en ressort une fermeté et un caractère très prononcés. D’autre part nous montrerons que cette femme est pleine d’une douceur féminine dans son quotidien. De cette photographie ressort une grande fermeté de la part du mannequin. Tout d’abord dans son regard très direct et froid

la notion de mal. IMAGE 2 : L'attitude des européens Cette gravure montre la supériorité que croit avoir l'homme blanc sur le sauvage. Celui-ci est accroupi, le dos courbé alors que l'européen est assis sur un tabouret, le dos droit, vêtu d'un costume blanc immaculé. Cela montre la soumission des tahitiens aux colons alors que ceux-ci les empêchent d'être heureux. L'homme blanc, alors qu'il est sur un territoire qui ne lui appartient pas, n'a pas modifié ses habitudes ( habits, posture…). Il exige

l’Amérique blanche. ...................................... 10 Montesquieu : Petit traité de racisme français .................................................................... 13 Appel de la Ligue de l’Impératrice à participer à la Marche d’Un Million de Femme 1er Août 2011 (Jour de l’émancipation) à Kingston ............................................................................ 15 Délivre-nous du mal - Le Sabbat......................................................................................

symbole de l'horreur de la guerre en général. Il est exposé au musée de la reine Sofia à Madrid. Guernica est d'une taille imposante (349,3 x 777,6 cm). C'est une peinture à l'huile, globalement vue en noir et blanc (en fait aux couleurs peu nombreuses : du gris-noir barré de jaune et blanc). Elle représente une scène de violence, de douleur, de mort et d'impuissance dont la cause n'est pas représentée explicitement dans la série des études préparatoires du premier jour (le 1er mai 1937) conservées

étaient très pauvres étant donné le très petit salaire qu’elles perçoivent, et pour survivre, elles mendiaient, volaient, se prostituaient ou se réfugiaient dans un monastère. Là-bas elles pouvaient lire, chanter, filer et tisser. Dot* : biens qu’une femme apporte en se mariant. Le commerce : Dans les villes, de nombreuses femmes s’adonnaient aux petits commerces de marchandises qu’elles fabriquaient elles-mêmes, qu’elles achetaient et qu’elles revendaient. C’étaient les boutiquières, les mercatrices

peinture à huile sur toile Le tableau représente une femme nue, vue de dos, coiffée d'un turban et assise sur le rebord d'un lit. Elle constitue le sujet unique du tableau, encadrée par des tentures dont les plis verticaux mettent en valeur la sinuosité des lignes de son corps. Aucun mouvement ni aucune temporalité ne se dégagent de cette scène figée. Il dégage du tableau une impression de simplicité ainsi qu'une sensualité. On peut penser que cette femme sort du bain ou qu'elle va y aller. Le décor est

plus importants de sa génération. Lanalyse : La scène représente Vénus au centre de la toile, sur une coquille St Jacques posée sur les flots agités par le souffle de Zéphyr. À gauche, Zéphyr est enlacé par une jeune femme. À droite, une jeune femme blonde tend, depuis la rive, un voile à Vénus. Des roses flottent dans l’espace ; un arbre boise la terre. L’illustration est fidèle à la description de l’oeuvre d’Apelle et au récit mythologique rapporté par Hésiode et par l’Hymne

Le tableau se « lit » d'abord comme une frise, de gauche à droite. Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Puis on distingue une organisation en triangle. A la

et du blanc. Dramatisation de la scène L’artiste travaille à partir de coupures de presse Formes représentées : Formes géométriques, Les visages sont distordus, coupés, fragmentés mais toutes les figures représentées restent identifiables. C’est donc une œuvre que l’on peut qualifier de figurative (définition) Traitement pictural (définition) : Traitement en aplat (définition) Repérer quelques éléments du tableau et leur donner du sens De gauche à droite : une femme avec un

moins un, même tout petit, même caché derrière un réverbère, ce serait comme de demander à un photographe de prendre une photo sans lumière.» Bernard-Marie Koltès Quelque part en Afrique de l’ouest, un chantier français enclos et gardé. Deux blancs y résident : Horn, 60 ans, chef de chantier, Cal, 30 ans, ingénieur. Léone, une parisienne invitée par Horn qui veut l’épouser, vient d’arriver. Alboury, un Noir, introduit mystérieusement dans cette enclave, vient réclamer le corps d’un de ses