La Fidélité Selon Comte Sponville

monde (elles sont immanentes). qu’est-ce qu’une religion ? selon Durkheim dans le premier chapitre des Formes élémentaires de la vie religieuse : Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c’est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Église, tous ceux qui y adhèrent.[1]Définition de la religion d’André Comte-Sponville :J’appelle « religion » tout ensemble organisé de croyances

Résumé du chapitre 3 «L’amour» d’André Comte- Sponville «Quel sujet, entre amis, plus agréable, plus intime, plus fort? Quel discours, entre amants, plus secret, plus doux, plus troublant? Et quoi de plus passionnant, de soi à soi, que la passion?»[1]. C’est en répondant à ces fameuses questions qu’on réalise que l’amour est le sujet le plus intéressant parce que tout intérêt le suppose. Tout est relié à l’amour. Par exemple, lorsque tu t’intéresses à une activité quelconque, c’est que, forcément

littéraire, A. Comte-Sponville livre un de ses essais et finalement, on y ajoute une aquarelle de C. Felixmüller Les trois documents évoquent des images et des pensées sur la fidelité, la tendresse et les projets partagés entre les deux parties d’un couple. Le bonheur, comment on peut-on atteindre le bonheur dans une relation? On commencera avec la précision de la tendresse que l’on retrouve dans la vie quotidienne d’un couple. Puis, on discutera les éléments partagés dans une relation Selon Schwangz-Bart

défis de l’époque ? Mon idée, à la fois simple et radicale, c’est qu’il faut renoncer à la thèse que toutes les civilisations se valent. Je suis convaincu, pour ma part, que toutes les civilisations ne sont pas égales. Arte-filosofia – André Comte-Sponville : Quelles valeurs pour le XXI° siècle – Cannes 20.12.2003 2 – Toutes les civilisations ne se valent pas. Pour expliquer et justifier cette thèse, permettez-moi de vous raconter deux anecdotes. La première est relativement récente, et relève

s’agit évidemment pas de développer ici ce qu’est la noblesse, cette institution sociale que l’on rencontre dans la plupart des sociétés traditionnelles. Il ne s’agit pas non plus pour nous de venir chercher un titre nobiliaire de prince, duc, marquis, comte, baron ou autre ; mais par contre, nous devons travailler à défendre ce titre de noblesse par notre attitude et notre exemple. Lorsque l’on dit "noblesse oblige", on voit bien que la Noblesse implique surtout des obligations. Les nobles doivent maintenir

Introduction : Selon William Shakespeare, L'amour est une fumée de soupirs, dégagés, c'est une flamme qui étincelle aux yeux des amants, comprimés, c'est une mer qu'alimentent leurs larmes. D'où, l'envie de connaitre l'amour s'intensifie chez les gens, ceux qui ne l'ont jamais expérimenté.  André, Comte-Sponville, s'oppose à cela en disant que par l'amour on connait la souffrance, car lorsqu'on s'aime, on s'attache, et s'attacher, c'est souffrir. Serait-il possible, d'aimer sans souffrir ? Serait-il

de la femme et de la famille dans l’hebdomadaire, La Nouvelle Expression certains lecteurs «ne se sont point donné la peine d’exposer, ni dans l’esprit, ni dans la lettre », l’article 14 . Le titre et le contenu de notre réflexion visent donc, selon le vœu du ministre, à pénétrer l’esprit dudit protocole et, en prolongeant fictivement le dialogue, à déceler, en amont, la philosophie inhérente à ce protocole tout en l’opposant à celle qui nourrit la pensée résolument enracinée dans l’être que propose

préfère cent fois celle proposée par André Comte-Sponville dans son livre7 sur « Une spiritualité sans Dieu », c’est-à-dire fides, fidelis8, autrement dit la Fidélité. Nous savons en effet que depuis saint Paul, les chrétiens retiennent les 3 vertus théologales citées dans le Rituel de Consécration du Chevalier R+C : pour eux elles sont censées avoir Dieu pour objet et qui sont effectivement la Foi, l’Espérance et la Charité, ou la Foi, l’Espérance et l’Amour, selon le sens que l’on voudra donner au mot

Le texte d'André Comte-Sponville porte sur la philosophie. Plus précisément sur ce qu’est la philosophie en tant que tel. Il s'interroge sur le sujet en cherchant à démontrer la fonctionnalité ; ce qu'elle peut nous apporter dans notre vie, ainsi que sa démarche ; comment peut-on faire pour suivre la voie du philosophe. Dans le texte, il aborde différentes facettes de la philosophie et nous démontre les éléments qui la constituent. Le bonheur est le but ultime de la philosophie, ce qu'elle nous amène

consentir à sa demande pour le sauver, comme ils disent, de la mort�? Ce serait absurde et criminel. Mais alors pourquoi serait-il permis de se corrompre l’âme par un mensonge pour qu’un autre garde son corps vivant�?�⁸ » Le deuxième exemple est réglé selon le même principe. Il s’agit du cas où un mensonge est commis pour sauver une autre personne d’un viol : « si un libertin vous fait violence sans que vous puissiez vous en délivrer par la force, la persuasion ou le mensonge, tout le monde conviendra