La Fin de l'histoire et le Dernier Homme

dans son ouvrage intitulé La clef des contes, le premier conte de fées au sens propre du terme a été écrit en 1690. C’est Mme d’Aulnoy qui en est l’auteur. Successivement, le genre acquiert une autonomie dans différents pays et fleurit au long de l’histoire. En matière de contenu, le conte de fée est élaboré par un mélange de la « multiplicité des emprunts, des héritages ou des réminiscences littéraire »1, et témoigne d’un « passage de l’oral à l’écrit, d’un style populaire à mondain, du folklore à

Sujet L’Étranger Albert Camus : En quoi la phrase « on n’est jamais tout à fait malheureux » peut-elle, selon vous être ou pas un bon résumé de l’œuvre ? Publié en 1942, l'Étranger  retrace l'histoire de Mersault, ,un homme ordinaire soumis à l'absurdité de l'existence . À travers ce récit, nous suivons le parcours de Meursault, de l'annonce du décès de sa mère jusqu'à sa condamnation à mort pour homicide. C’est parce que Le bonheur se conjugue au présent lorsque

 Émile Zola est un très grand écrivain français. Il est né à Paris le 02 Avril 1840. Il a passé son enfance à Aix-en-Provence. Le jeune homme est déjà passionné par la littérature et conçoit très tôt le projet d’écrire à titre professionnel. Son père meurt lorsqu’il n’a que sept ans et sa mère et lui sont confronté à des difficultés financières. Boursier au lycée d’Aix-en-Provence, Emile a pour camarade Paul Cézanne le futur peintre. En 1858 Émile Zola déménage à Paris. Après avoir

méditation sur l’histoire et l’avenir du monde à l’instar de Marguerite Yourcenar : qui dans ses Mémoires

Proposition de plan Introduction I. Qu’est-ce que la culture générale ? 1. La notion de culture générale telle que définie à partir des idéaux humanistes de la Renaissance 2. Vers la fin du XIXe siècle, apparition de la distinction entre culture « scientifique » et culture « littéraire » 3. Jusqu’à la fin du XXe siècle, la culture littéraire comme outil de sélection des élites II. Peut-on faire l’économie de la culture générale ? 1. La culture générale est essentiellement littéraire : les

dont le niveau d'érudition pour en saisir tout le sens est très loin du mien. Ce niveau de langage m'écrase et je me sens ignare devant ce flot d'éléments qui m'échappent. Bilan, mon esprit s'égare souvent, au risque de rater des passages clés de l'histoire… Passages noyés sous ces pesants étalages, parfois pédants ou moralisateurs, où l'auteur par ses personnages qui discourent de manière si savante mais si peu naturelle, déverse à la louche l'étendue de ses connaissances sur le pauvre lecteur étouffé

Introduction Le but de ce dossier est de présenter une version écrite et plus étayée de ma présentation orale du 11 juillet dernier visant à établir une comparaison du film français La Femme Infidèle de Claude Chabrol datant de 1969 et de son remake américain Infidèle (Unfaithful en version originale) d’Adrian Lyne datant de 2002. La réalisation, tant du powerpoint m’ayant servi de support lors que ma présentation orale que du présent dossier m’a permis de partir à la rencontre d’un univers que

Malandain,l'évocation des ressentiments de chaque personnage pour l'autre. Les péripéties: De:"la nouvelle s'était répondue." à:"il en fut maladetoute la nuit:" La propagation de la nouvelle de l'accusation de Maitre Hauchecorne,les tentatives de ce dernier de convaincre ses accusateurs de son innocence,les plaisanteries t l'incrédulité des interlocuteurs… constituent la tarme de l'action déclenchée par l'accusation. Il y a une mise en abyme:c'est Maitre Hauchecorne qui,en racontant son histoir,semble

d’Alexandre Dumas a de multiples visages ; dessiné maintes fois par des illustrateurs talentueux puis incarné sur scène et au cinéma par des acteurs très différents, il correspond à l’image que chaque lecteur pourrait se faire de lui. Le d’Artagnan de l’histoire n’a pas de visage. Aucun portrait qui nous soit parvenu, ne permet de l’identifier avec précision. Seule, une gravure en noir et blanc, sans preuve d’authenticité, laisse imaginer l’homme qu’il a peut-être été… Le buste cuirassé, les cheveux

En effet, deux des acteurs étaient assis autour d’un rétroprojecteur. Ils jouaient avec des petites figurines dont l’image était projetée sur un écran. Ils faisaient bouger leurs personnages en même temps que le narrateur racontait l’histoire. Mais aussi comme l’histoire se déroulait à divers endroits (par exemple le palais, puis dans une chambre…), ils avaient des plaques noires qui étaient découpées pour former une scène et qui, placées sur le rétroprojecteur, projetaient à l’écran une image de la