La Flèche

capable : Sens 1 Qui possède les qualités pour, apte à. Sens 2 Qui possède la compétence pour. temps : Milieu indéfini et homogène, analogue à l'espace, dans lequel se déroulent les événements. Temps objectif: Mouvement continu et irréversible (« flèche du temps ») par lequel le présent rejoint le passé. Temps subjectif: Sentiment intérieur de la temporalité, telle qu'elle est vécue par le sujet (synonyme : durée). moral : Moral: 1) qui concerne la morale. 2) qui est conforme aux règles de la morale;

le progrès. Aujourd'hui, les risques du progrès ne feraient-ils pas peser une lourde menace sur la poursuite de ce projet ? Cette idée est résumée dans une citation de Teilhard de Chardin qui décrit le progrès comme « une fusée qui monte suivant la flèche du Temps, et ne s'épanouit pas que pour s'éteindre, un remous montant au sein d'un courant qui descend, telle serait donc la figure du monde » (Cf Le phénomène humain, Teilhard de Chardin). Le progrès a une contre-partie : celle qui proclame la

de frayeur, de terreur. Comme nous le savons, la durée de vie d’un homme est misérable. La conscience du temps est une dimension évidemment essentielle de la condition humaine. L’homme peut se heurter à l’irréversibilité du temps, il sait que la flèche du temps le conduit inéluctablement à la mort. C’est pourquoi la conscience du temps est solidaire du désespoir, de l’inquiètude ou de l’angoisse, traduit par une jouissance intense de l’instant présent. Or, le bonheur suppose que l’on pense la

mouvement, et de causalité. Avec la notion d’espace/temps d’Einstein, on voit que nier le temps à nier l’espace. C’est l’abolition de toutes réalités. C’est-à-dire que l’on ne serait qu’un point fixe, perdus dans un « rien ». En niant le temps, la flèche du temps est réduite à un simple point. Sans directions ni sens. Une personne dans le coma se retrouve en situation de nier le temps, en se retrouvant « hors temps ». Elle n’a plus conscience d’être. Un regard extérieur voit quelqu’un figé dans

mais tout aussi paradoxale de la condition humaine, car en elle, l’Homme se saisit à la fois comme un être impuissant et précaire, et comme une puissance libre et créatrice. Désarmé et fragile car il se heurt à l’irréversibilité, sachant que la flèche du temps le conduit inéluctablement vers la mort, faisant parfois naitre en lui ces sentiments de désespoir, de remords et d’angoisse. Par ailleurs, il se saisit comme une force libre et créatrice, le futur pouvant lui apparaitre comme la promesse

permet de définir le temps. Ces concepts sont apparus chez les Grecs. Le Chronos est le tout du temps, relatif au présent :« Hier était le jour précédent et demain sera le jour suivant parce que je suis aujourd’hui. ». Il est un point mouvant sur la flèche du temps qui définit les infinis à ses deux bornes. La notion de temps est un corollaire de la notion de mouvement : le mouvement se fait dans la durée et si le temps venait à s’arrêter plus rien ne bougerait. Ainsi, selon Aristote, le temps est

l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu. * *temps* : Milieu indéfini et homogène, analogue à l'espace, dans lequel se déroulent les événements. Temps objectif: Mouvement continu et irréversible (« flèche du temps ») par lequel le présent rejoint le passé. Temps subjectif: Sentiment intérieur de la temporalité, telle qu'elle est vécue par le sujet (synonyme : durée). *Introduction.* — Le laudator temporis acti a peu de crédit auprès des

fait dire à Sartre dans L’Être et le Néant que la cs ou le moi est un être qui « n’est pas ce qu’il est et qui est ce qu’il n’est pas ». Le moi est un projet de soi qui donne un sens à sa propre vie. Le moi est une temporalité en 3 dimensions où la flèche du temps par du futur pour aller vers le présent en englobant le passé : - passé : facticité - présent - futur : projet Le moi ne vit jamais vraiment au présent, il ne coïncide jms avec lui-même, sf au moment de la mort : « la mort transforme

sont femmes sur trois sont veuves. Le âge biologique ne suffit plus, pour apprécensés partager le dyna- psychologue ajoutera que la perte et âge social hender la vieillesse, de misme ou à celui des vieux du conjoint oblige à un travail de suivre la flèche du temps qui en fai- avec lequel ils partagent le fait deuil qui passe par différentes sait l'automne de la vie où, après d'être retraités ? C'est l'âge où le phases…[…] Le vieux lui parle du de longues années de travail, cha- «ne plus»» précède et

une période de gestation (mise au point, négociation), une naissance officielle (signature), une vie plus ou moins facile (exécution), peut-être une (des) renégociation(s), des conflits, puis une fin, brutale ou non. On peut le représenter sur la flèche du temps: Il ne s'agit là, bien sûr, que d'une représentation très simplifiée. Si la signature reste généralement un moment isolé, les deux périodes extensives de négociation, mise au point (ou période pré-contractuelle) et d'exécution (ou période