La Fonction De Consommation Keynesienne

capitaliste contemporaine ne fonctionne pas selon les principes de la théorie classique. Le pleinemploi n'est pas la règle, l'offre ne crée pas sa propre demande. L'erreur du raisonnement classique tient au rôle induit attribué à la demande alors que celle-ci joue un rôle inducteur. Cependant, chez Keynes les entrepreneurs gardent le statut d'agent déterminant, car le facteur d'induction est celui de la demande effective correspondant à leurs prévisions relatives à la consommation et à l'investissement

vertu ? Aujourd’hui le débat est posé et il oppose les économistes entre eux ; d’un côté certains pensent que l’épargne constitue un moteur de la croissance en permettant l’investissement. De l’autre, on trouve ceux pour qui l’épargne réduisant la consommation et les raisons d’investir, constitue un frein à la croissance économique ; c’est-à-dire à l’augmentation de la richesse créée par un pays pendant une période. Suite à ces divergences entre les approches théoriques, nous sommes amenés à nous demander

plus connu du courant monétariste. Partisan du Libéralisme, oppose au courant Keynésien (critique de la courbe de Philips, notion de revenus permanent, de chômage naturel…) : >Dans la "théorie générale" publiée en 1936, John Maynard KEYNES proposa de relancer l'économie par une politique expansionniste faite de création monétaire et de déficits publics finançant grands travaux et soutenant les dépenses de consommation. C'est l'antithèse exacte des positions monétaristes qui connut ses heures de

industriels, et ne pouvaient aider à la consommation des ménages. Cette situation est rapidement devenue hors de tout contrôle, et on s'est retrouvé dans une spirale de récession, à partir du moment ou les banques ne pouvaient plus assurer les crédits, les entreprises ne pouvaient plus produire, ni vendre, et donc elles ont commencé à licencier. À partir du moment ou elles se sont mises à financier, les entreprises ont cesser de distribuer des revenus. La consommation des ménages s'est effondrée, et on

d’une nouvelle discipline. Aujourd’hui en 2010 les références à l’économie font partie de notre quotidien, les médias évoquent continuellement les questions liées à la croissance économique et à ses moteurs comme par ex le commerce extérieur ou la consommation, à l’emploi, au système financier mondial (notamment depuis la crise financière de l’an passé). Le phénomène n’est pas nouveau mais semble parfois s’intensifier. On commente régulièrement les derniers chiffres liés à la croissance et aux prévisions

l’Etat, ce qui limitait les possibilités de mise en œuvre d’une telle politique ; on pensait alors que le budget ne pouvais avoir une fonction régulatrice de l’activité économique. Ce n’est qu’avec la mise en application des théories keynésiennes que la relance économique a pu se faire par l’augmentation des dépenses publiques. La mise en œuvre de cette politique a fonctionné un temps, avant d’être vivement remise en cause dans les années soixante du fait des limites montrées par cette technique. Néanmoins

posées par la comptabilité nationale distinguent : La consommation finale et la Consommation productive . La Consommation finale[modifier] Elle correspond au niveau national à la Quantité des biens et services utilisés qui concourent à la satisfaction directe : * des besoins humains individuels ( consommation des ménages), ( Elle est aussi appelée Consommation privée ) Ainsi ,la consommation finale des ménages ou la consommation privée comprend: L'ensemble des dépenses ayant

* On distingue les besoins selon leur nature besoins de MASLOW (pyramide) Besoin primaire (physiologiques) | Besoin secondaire (de civilisation) | Leur satisfaction assure la survie (ex. : se nourrir, boire, …) besoin vitale | Ils sont fonction du progrès économique et relatives à chaque société voir à chaque individu (ex. : sortir au cinéma, acheter le dernier portable à la mode, …) | Distinction dépassée La rareté et les biens La rareté s’oppose à l’état d’abondance et explique

Ricardo, JB. Say…) -Marxistes : 19ème -Néoclassiques : fin 19ème/ début 20ème (Walras, Pareto…) -Keynésiens : 1ère moitié du 20ème ! Mais l’économie existait déjà avant, à l’antiquité mais il n’y avait pas encore d’école de pensée. ! Qu’est-ce qui différencient les différentes écoles ? ! -Le contexte historique -La démarche scientifique (hypothèse, modes de raisonnement…) L’école keynésienne = raisonnement macroéconomique et néoclassique = microéconomique -l’idéologie (courant libéraux

LES POLITIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES: RELANCE ET STABILISATION   I.  Comment justifier l’intervention de l’Etat ? L’Etat intervient pour compenser les déséquilibres du marché. Il sert d’amortisseur aux crises économiques (c’est la théorie keynésienne : c’est à dire que l’Etat fait en sorte à ce qu’il y ait plein emploi, il régule le marché pour réduire le chômage). Il intervient aussi pour corriger la répartition des richesses. On entend par "intervention" une régulation concernant: * l’affectation