La Fontaine De Marcel Duchamp

ready-made est une autre facette du « déjà vu », un deuxième volet étant une traduction plus artistique du premier. L'attitude du ready-made consiste, initialement, à choisir un objet manufacturé et à le désigner comme œuvre d'art. Initiée par Marcel Duchamp, cette démarche a donné naissance à une grande partie des pratiques artistiques actuelles, qu'elles s'en réclament ou s'en défendent. Le ready-made a remis en question un certain nombre de certitudes sur lesquelles reposait l'art, comme les notions

the 1950s Duchamp created a series of four small-scale ‘erotic objects’: Not a Shoe (1950, Jedermann Collection), Female Fig Leaf (1961 bronze cast, Tate Gallery), Dart Object (1962 bronze cast, Tate Gallery), and Wedge of Chastity (1963 bronze and dental plastic edition, Tate Gallery). Not a Shoe is thought to be an early version of the wedge section in Wedge of Chastity. After Duchamp’s death, these pieces were found to be connected with Etant donnés, or Given, the piece on which Duchamp worked in

diable, les pauvres en ont, les riches en ont besoin, si on en mange, on meurt ? » Dans l'Art moderne et dans l'Art contemporain[modifier | modifier le code] Les artistes du XXe se sont risqués à « rien ». Marcel Duchamp ouvre la voie en 1917 à New York, en proposant d'exposer sa Fontaine, un objet sur lequel il n'a rien fait. Yves Klein organisera en avril 1958 à la galerie Iris Clert à Paris une exposition où il n'y aura rien à voir. Les artistes Hauser, Aloïse, Van Genk, Wölfi, Borneyvski travaillent

dune autre façon. Francis bacon Les impressionnistes Les surréalistes Autrefois, on faisait scandale sans le vouloir, le savoir. L’artiste, d’aujourd’hui, certain en tout cas cherche le scandale, la provocation. Marcel Duchamp Fontaine Piero Manzoni Merde d’artiste n°31 1961 III. Le scandale, à l’origine de notre histoire de l’art Les révolutions esthétiques se sont toujours imposées par des luttes, des conflits avant d’être acceptées. « Le public n’aime

beaucoup de films surréalistes ‘’Le chien Andalou’’ de Buñuel et Dali, ‘’L’âge d’or’’ de Luis Buñuel,…  Littérature et peinture Cubisme  était aux peintres surréalistes au départ  Dadaïsme, ils veulent provoquer :  Marcel Duchamp  LHOO Q, l’urinoir qu’il appel fontaine  René Magritte  Pipe, ceci n’est pas une pipe  D’autres font des collages avec des allumettes, journaux,…  Objet du quotidien mais déformé

démoralisation de toutes les valeurs admises sont pour nous d’indiscutables directives. Le mouvement ne dure pas très longtemps puisqu’il n’a pas vraiment de ligne directive (avec sens), désorganisé, se référé à rien. Marcel Duchamp et le ready-made (déjà fait) Fontaine, 1917 ( Urinoir à l’envers) C’est une œuvre d’art qui est faite à partir d’un objet fabriqué en industrie, choisi par l’artiste, Doté d’un titre, signé par l’auteur, parfois modifié, transformé ou assemblé, parfois déposé sur

bon marché de l’East Village, à Manhattan, que l’artiste dispose sur des plaques de miroir ou de Plexiglas. Koons raconte s’être arrêté de peindre pour acheter des objets, ayant à cœur de rejouer le «readymade », geste clé de la modernité dont Marcel Duchamp est l’initiateur. Les objets choisis par Koons véhiculent une esthétique fortement liée à la culture populaire, rappelant le pop art. À travers l’usage des miroirs, les Inflatables citent ostensiblement le vocabulaire plastique minimaliste de

premier est le jeu : il faut se moquer, dédramatiser et chercher la liberté sous toutes ses formes. Duchamp, « L.H.O.O.Q. » (1930)L'œuvre de Marcel Duchamp bouleverse radicalement l'art du 20e siècle. Avec l'invention, dans les années dix, du ready-made - une pièce que l'artiste trouve « already-made », c'est-à-dire déjà toute faite et qu'il sélectionne pour sa neutralité esthétique. Après Duchamp, il devient possible d'utiliser n'importe quel objet, avec ou sans transformation.Fontaine, 1917/1964

achat et n’ont plus la « naïveté de la possession » comme elle a pu être revendiquée auparavant (culte de la marchandise : ex. de la publicité minimaliste aujourd’hui et de celle des années 1950s). Il faut aussi distinguer : * le « potlash » (Marcel Mauss : la fête dépensière dépenser pour avoir l’air) * la consommation (Le bonheur des dames de Zola et personnage Mouret ; Le bon marché de Boussico) * le simple désir d’amélioration du niveau de vie (Bel-Ami de Maupassant) b.

les sphères artistiques du dadaïsme. * Le Dada et l'érotisme sont très liés l'un à l'autre. En ce sens, l'américaine Clara Tice, peintre caricaturiste et poétesse, stupéfie le chaste peuple américain en publiant sa propre version des Fables de La Fontaine. Cette version choque puisqu'elle contient les illustrations habituelles mais, de façon érotique. Bien entendu, ses oeuvres furent confisquées par les autorités. > Cette volonté d'incongruité était en fait causée par la jubilation d'être encore