La Fontaine

verbes d’action participent aussi au dynamisme de la scène, en effet l’auteur décrit la scène grâce à ses verbes, par exemple, au vers 3 « ils l’avalent des yeux, du doigt ils se la montrent ». Il y a encore le discours direct, permettant à De La Fontaine d’accentuer son but, nous faire participer. Pour finir, il y a la morale, qui est au présent de vérité générale et qui nous fait réfléchir grâce a une métaphore »Et ne laisse aux plaideurs que le sac et les quilles » V.25. Cette fable est donc efficace

La Fontaine, biographie. Jean de La Fontaine, né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, est un poète français appartenant à la période classique. Après avoir commencé sa carrière comme avocat, Jean de La Fontaine s'installe à Paris et décide de se consacrer à la littérature. La publication du poème L'Adonis (1658) lui vaut la protection de Nicolas Fouquet, surintendant des finances. Mais en 1661, Fouquet est disgracié, arrêté et enfermé par le roi. La Fontaine n’a donc plus de protecteur, et décide

Le corbeau et le renard Dans cette fable la Fontaine critique deux grands acteurs de la scène française du 17eme siècle. Le courtisan, qui flatte et dit tout ce que les personnes de pouvoir veulent entendre. Et les personnes hautes placées – comme le corbeau bien haut perché sur sa branche – qui les écoutent, et finalement, qui les font vivre. Tout d’abord, regardez comme Jean de la Fontaine personnifie ses animaux en leur donnant des qualificatifs humains : “maître”, “monsieur du Corbeau”‚ “mon

Ceci ressemble fort aux débats qu’ont parfois, Les petits souverains se rapportant au roi » Dans sa morale, Jean de La Fontaine critique la justice et le pouvoir. Le roi est injuste, il se fiche de ce qui se passe à la cour, et pour être débarrasser des courtisans qui se plaignent et font appel à lui, il les exécute. L’attitude du Chat est associée à celle de Louis XIV. La Fontaine dit explicitement dans sa morale que cette histoire se rapporte aux humains. Les courtisans devraient régler leurs problèmes

La fable a été publiée en 1685 dans le recueil Ouvrages de prose et de poésie des sieurs de Maucroix et de La Fontaine. L’Amour et la Folie figure dans le douzième livre des Fables, c’est-à-dire le dernier livre. Ce texte fait donc partie du dernier moment de la carrière du fabuliste. Les derniers textes des Fables sont généralement beaucoup plus longs (plusieurs centaines de vers), et d’un sujet beaucoup plus « haut » (souvent mythologique, ou inspiré d’Ovide). La fable 14 du livre XII, L’Amour

texte de Phèdre (livre IV, 7), présent dans le recueil Nevelet, traduit également par Sacy au XVIIème, avec le titre : Phèdre contre les censeurs de son livre, surmonté de la maxime Les sots ne trouvent rien de bien que ce qu'ils font eux-mêmes. La Fontaine va justifier ici par diverses raisons et divers procédés le choix du genre auquel il a décidé de se tenir : la fable, dont il fait l'apologie. Dans le début de la fable est exprimée toute la modestie du poète. Ensuite, un dialogue avec des "censeurs"

son œuvre porte la marque. Son père, également Maître des Chasses, avait épousé en 1617 une veuve de bonne maison poitevine, Françoise Pidoux. Il est peu enclin aux études et à devenir prêtre, seule la littérature l'intéresse. Les études de La Fontaine restent mal connues. Probablement les commence-t-il vers 1630, au collège de Château-Thierry, un établissement assez réputé. Cependant, peu enclin à la vie active et aux affaires, sa famille décide vers 1635, de l'envoyer dans un collège parisien

vu le jour pendant l'été 1995. Mes enfants découvraient alors l'Internet et je leur ai suggéré de travailler en commun sur un site qui leur appartiendrait. Ce site devait être utile, ludique mais aussi instructif. Un livre des fables de Jean de la Fontaine trainait dans la chambre et c'est tout naturellement que nous avons sauté dessus pour commencer à nous partager le travail. Pendant que deux d'entre eux taperaient les textes, un autre les intégrerait sur le Web alors que le dernier se chargerait

e Texte 7 : Les Animaux malades de la peste Introduction générale Introduction : Situation de la fable : 1ère fable du livre VII et elle ouvre le recueil de fables et dans l'avertissement de ce second recueil, La Fontaine prévient le lecteur qu'il va proposer des fables un peu plus différentes des autres fables habituelles à la fois pour varier les sujets et susciter l'intérêt du lecteur e proposant des sujets plus sérieux, plus graves. Il élargit ses sources d'inspiration par exemple

Jean De La Fontaine Le Lièvre et la TortueRien ne sert de courir ; il faut partir à point.Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage.Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez pointSitôt que moi ce but. - Sitôt ? Êtes-vous sage ?Repartit l'animal léger.Ma commère, il vous faut purgerAvec quatre grains d'ellébore.- Sage ou non, je parie encore.Ainsi fut fait : et de tous deuxOn mit près du but les enjeux :Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,Ni de quel juge l'on convint.Notre Lièvre n'avait que