La Fuite Du Temps Alcools Apollinaire

l’inspiration poétique » : – Boileau : « Art poétique », p. 195 ; – Fourcade : « Cache-toi objet », p. 237. • Un groupement sur « la femme dans le poème » : – Malherbe : « Sonnet à Caliste », p. 194 ; – Baudelaire : « L’Invitation au voyage », p. 208 ; – Apollinaire : « Poèmes à Lou », p. 220 ; – Aragon : « Cantique à Elsa », p. 247 ; – Senghor : « Il a plu… », p. 234 ; – Bonnefoy : « Le Myrte », p. 235. 2. Une séquence construite autour d’un recueil et d’une forme ou d’un registre Dans ce cas, il peut paraître

pas en tout. Augmentation de l’hypocrisie dans l’hypocorisme « mes enfants » Reprise anaphorique de l’impératif « approchez, approchez » Il feint une grande faiblesse par ruse  périphrase ironique « ce bon apôtre » Adverbe « aussitôt, en même temps »  révélation de la cruauté « croquant » B/ La question du droit et de la justice La société du 17eme est évoquée à travers cette fable. Dans la monarchie d’ancien régime, les lois étaient multiples et contradictoires. On avait une opposition

d’un sonnet élégiaque Page 7 Diaporama 2 Dominante : Lecture Je vis je meurs, de Louise Labé Rappel des règles de versification Analyser un sonnet élégiaque : la contradiction des sentiments Séance III- Deux thèmes lyriques : le temps et l’eau Page 9 Diaporama 3 Dominante : Lecture Le lac, de Lamartine Travailler sur les thèmes lyriques Travailler leur représentation symbolique Séance IV- Lyrisme et romantisme Page 14 Diaporama 4 Dominante : Lecture de l’image

médecin. Il essaya vainement de convaincre de son utilité dans la recherche poétique Valéry et Apollinaire, à qui il écrivit sa première lettre. Il rencontra en 1916 Jacques Vaché, qui le détourna définitivement de la carrière médicale où sa famille souhaitait le voir s'engager, refus qu’il assuma non sans difficultés matérielles. Il fut ainsi l’un des derniers correcteurs de ‘’À la recherche du temps perdu’’ dont la première édition lui doit donc, selon toute vraisemblance, quelques-unes de ses

déjeuné, il allait à l’église, et on lui portait dans un grand panier un gros bréviaire emmitouflé qui pesait tant en graisse qu’en fermoirs et parchemin plus ou moins onze quintaux six livres. Là il entendait vingt-six ou trente messes ; pendant ce temps venait son diseur de prières attitré, emballé comme une huppe et ayant très bien antidoté son haleine avec force de sirop de vignoble. Avec lui il marmonnait toutes ces Kyrielles et il les épluchait si soigneusement qu’il n’en tombait pas un seul grain

médecin. Il essaya vainement de convaincre de son utilité dans la recherche poétique Valéry et Apollinaire, à qui il écrivit sa première lettre. Il rencontra en 1916 Jacques Vaché, qui le détourna définitivement de la carrière médicale où sa famille souhaitait le voir s'engager, refus qu’il assuma non sans difficultés matérielles. Il fut ainsi l’un des derniers correcteurs de ‘’À la recherche du temps perdu’’ dont la première édition lui doit donc, selon toute vraisemblance, quelques-unes de ses

séances sur la poésie Titre et dominante Séance I- Qu’est-ce que le lyrisme Page 3 Diaporama 1 Dominante : Lecture Séance II- Versification à partir d’un sonnet élégiaque Page 7 Diaporama 2 Dominante : Lecture Séance III- Deux thèmes lyriques : le temps et l’eau Page 9 Diaporama 3 Dominante : Lecture Séance IV- Lyrisme et romantisme Page 14 Diaporama 4 Dominante : Lecture de l’image Séance V- Un poème en prose Page 17 Séance VI – Une fenêtre sur l’intérieur : Rédaction Page 20 Eugénie Grandet, de

passe le plus clair de son temps avec les pêcheurs, sur la plage noircie de goudron, parmi les mouettes et les barques. IIJ' ai grandi. sur les rivages de la mer grise et froide du Nord, dans une petite ville de pêche toujours battue par le vent, par la pluie et les embruns, toujours pleine d'odeur de poisson séché, dans la maison brune coiffée de cheminées de briques dont la fumée portait au loin, sur la campagne, des odeurs fortes de harengs." (2 ) Enfermé quelque temps dans une austère pension

les gémissements en disant : « Cher époux, tu es mort à la fleur de ton âge, et tu me laisses veuve dans ton palais ! Ce fils si jeune, que nous fûmes assez malheureux pour mettre au monde, ne parviendra jamais jusqu’à l’adolescence ; car, avant ce temps, notre ville sera précipitée du haut de son faîte. Hector, tu n’es plus, toi le défenseur d’Ilion, toi le protecteur de notre belle cité, toi le sauveur des Troyennes et de leurs jeunes enfants ! Bientôt, sans doute, nos ennemis nous entraîneront sur

les gémissements en disant : « Cher époux, tu es mort à la fleur de ton âge, et tu me laisses veuve dans ton palais ! Ce fils si jeune, que nous fûmes assez malheureux pour mettre au monde, ne parviendra jamais jusqu’à l’adolescence ; car, avant ce temps, notre ville sera précipitée du haut de son faîte. Hector, tu n’es plus, toi le défenseur d’Ilion, toi le protecteur de notre belle cité, toi le sauveur des Troyennes et de leurs jeunes enfants ! Bientôt, sans doute, nos ennemis nous entraîneront sur