La Fureur De Vivre

Lantier à Paris. Mais il la quitte, elle devient blanchisseuse et se remarie avec Coupeau. Elle finit par sombrer dans l'alcool, avec son mari). Dans cet extrait, le narrateur raconte le mal-être de la jeune femme, par rapport à sa vie misérable, et sa fureur envers les gens aisés de la ville, qui ne remarque pas sa présence et qui ne viendront pas l'aider alors qu'elle est en train de mourir de faim. Les thèmes sont : les ravages dus à la misère, la faim et l'alcoolisme. L' Assommoir a pour thèse les

développé sa théorie de la sélection naturelle, publié dans L'Origine des espèces en 1859. Selon Darwin, les animaux qui étaient les mieux adaptées à leur environnement à vivre plus longtemps et produisent plus de descendants. De cette façon, les espèces évoluent lentement dans les autres comme le temps passe. La théorie a fait fureur quand il a été publié et est toujours considéré comme l'une des idées les plus difficiles de la science moderne. Sur la surface, on ne voit rien. Mais au cours des

& Philinte INTRODUCTION -Dialogue et scène d’exposition -Débat moral qui oppose deux attitudes rendues inconciliables par l’aveuglement d’Alceste -Limite entre comique et pathétique ? Ier AXE: Fureur du Misanthrope et sagesse de Philinte (Alceste en procès / Morale + Art de vivre en société) -Termes forts, excessifs et répétitifs (« haine » + « haïr ») -Hyperbole (v.2) « effroyable haine » démesure d’Alceste -Philinte tente d’amoindrir le mot avec « aversion » (v.4) + diérèse

tous nus ; les ruisseaux tous glacés ; Et les rochers affreux, sur leurs fronts hérissés, Reçoivent cet amas, qui tombe de la Nue. Tout le Ciel fond en eau ; la grêle continue ; Des vents impétueux, les toits sont renversés ; Et Neptune en fureur, aux Vaisseaux dispersés, Fait sentir du Trident, la force trop connue : Un froid âpre et cuisant, a saisi tous les corps ; Le Soleil contre lui, fait de faibles efforts ; Et cet Astre blafard, n'a chaleur, ni lumière : L'Univers désolé

que, lorsqu’il apportait une lettre de ce beau jeune homme, qui avait l’air si triste, il était sûr de voir disparaître l’air distrait et mécontent que la maréchale avait toujours soin de prendre à l’arrivée d’un de ses gens. L’ennui d’une façon de vivre toute ambitieuse d’effet sur le public, sans qu’il y eût au fond du cœur jouissance réelle pour ce genre de succès, était devenu si intolérable depuis qu’on pensait à Julien, que pour que les femmes de chambre ne fussent pas maltraitées de toute une

Dans ses Feuillets d’Hypnos, René Char écrit que « l’effort du poète vise à transformer les vieux ennemis en loyaux adversaires ». Pensez-vous comme René Char que la poésie soit utile et aide à vivre ? Vous nourrirez votre réflexion des oeuvres étudiées en classe ainsi que de votre culture personnelle. Etrange destin que celui de la poésie qui après avoir été longtemps le genre littéraire dominant, le genre noble servant l’épopée d’abord puis le carmen religieux et la tragédie, a peu à peu

d’assassiner Pyrrhus, mais à la suite de l’assassinat elle lui annonce qu’il ne devait pas le tuer et qu’elle éprouve de la haine envers lui. Par la suite, un autre signe de cette confusion serait l’antithèse présente à la fin de l’extrait. « Venez, à vos fureurs Oreste s’abandonne. / Mais non, retirez-vous, laissez faire Hermione » (vers 1641-1642). L’antithèse, qui a pour but de rapprocher deux termes de signification opposé, contredit « venez » à « retirez ». On remarque qu’Oreste ne sait plus où donner

fois de plus victime des sentiments de sa belle mère. Cette lacheté omniprésente chez Phèdre s'accompagne également d'un égoisme sans limite puisque plutot que de se taire et de laisser Hippolyte vivre sa vie paisiblement avec celle qu'il aime , Aricie, elle est prête à laisser Thésée déchainer la fureur des dieux sur Hippolyte. Ce qui est marquant dans cet ouvrage, c'est la façon dont Phèdre se victimise, le destin l'a frappée, elle est maudite de par son amour pour Hippolyte et a l'intention de

homicides (v 1271), sang» (v. 1272). Phèdre ressent le désir de tuer. Cela reflète bien son sentiment de jalousie. Au vers 1273, elle commence à aborder le thème du suicide en se disant : «Misérable ! Et je vis !». Elle ne se donne plus le droit de vivre et a honte d’elle-même. Transition : La jalousie de Phèdre l’égare. Cette dernière désire mourir. II. Une envie de descente aux enfers vers 1275 à 1290 De partout on peut la voir car la plupart de ses aïeux sont dans «le ciel» (v. 1276) et

moi se remplissent de pleurs. ŒNONE Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. 13 Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous, sans pitié, laisser finir vos jours ? Quelle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre