La Féodalité

siècle - début du IV siècle (des aristocrates romains aidaient des « pauvres » en échange de services), et des relations entre chef barbare et son entourage guerrier dans la civilisation germanique, le système connu aujourd’hui sous le nom de « féodalité » s’est amplifié lors de la période carolingienne. Avec l’éclatement de l’autorité royale au IXe - Xe siècles, l’Europe médiévale connaît une restructuration des pouvoirs, qui donne naissance à un nouvel ordre social, ainsi qu’à de nouvelles structures

d’Eglise qui priaient. Il en fut ainsi jusque vers l’an mille. Peu à peu vint s’ajouter un quatrième groupe, constitué par les gens des villes : marchands, artisans, ouvriers. Cette société fonctionnait selon un système politique et social : la féodalité. Celle-ci reposait sur un lien qui unissait deux hommes libres, le vassal et le seigneur ou suzerain. Le vassal qui devait aide et obéissance à son suzerain, recevait en échange une terre ou un fief, dont les revenus lui appartenait toute sa vie

le langage courant, la plèbe désigne la population. -Héritière de la recommandation du Haut Moyen Âge, la vassalité est la situation de dépendance d’un homme libre (vassal, du latin vassus) envers son seigneur par la cérémonie de l’hommage. La féodalité (du latin feudum, « fief ») est un système politique où l'autorité centrale a été affaiblie; le pouvoir souverain est attribué à des principautés, des fiefs ou des fédérations gouvernés par des seigneurs et destinés à stabiliser la région et/ou le

publique par des personnes privées, les seigneurs, qui tiennent en partie la justice , disposent des prérogatives qui le différencient. Ils sont ressentis par les français comme une source d'humiliation permanente. 2.La pesanteur féodale La féodalité est perçue comme une ponction fiscale insupportable qui va exciter le désir de revanche de la population. On retrouve un Etat royal qui a finalement abandonné ses responsabilités dans les mains des ultra privilégiés et qui a oublié le reste de

l’homme de son seigneur en lui promettant fidélité et dévouement. | Théocratie | Mode de gouvernement dans lequel le pouvoir religieux est supérieur au pouvoir des rois. | Basileus | Du grec « roi » est le titre porté par les empereurs byzantins. | Féodalité | Ensemble des relations de dépendances entre seigneurs et vassaux. | Césaro-papisme | Système dans lequel le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel sont détenus par une même personne (par exemple l’empereur byzantin a le double pouvoir temporel

revenir à l’ancien régime. Les paysans vont s’attaquer au symbole de « l’oppression féodale «, plus particulièrement au châteaux et domaines des nobles. Ce mouvement va être suivie d’une revendication : le peuple va réclamer l’abolition de la féodalité. La féodalité est une organisation sociale et politique très ancienne, on parle d’époque féodale du 10 au 12ème siècle. Elle repose sur la puissance d’un seigneur, ce dernier qui exerce son pouvoir sur un territoire donné qu’on appelle « la seigneurie »

grandissant de mouvements d’insurrections du Tiers-État. En effet, celui-ci marque, par sa révolte, sa volonté de passer d’une monarchie absolue à une monarchie constitutionnelle. Ses revendications étant : l’allègement des impôts ; la fin de la féodalité ; l’instauration d’une justice plus humaine ; la suppression des privilèges des nobles ; la scolarisation ; ainsi que la présence de soins médicaux améliorés. Pour déterminer si cette révolte a eu les effets escomptés, il est important de comparer

conduite des individus (par des interdits notamment) au sein de chaque castes. C’est notamment cette dynastie qui, par des lois isolant le Japon en interdisant à la caste marchande de pouvoir commercer avec l’extérieur, a maintenu le ce pays dans la féodalité jusqu’au XIXe siècle. Les castes établissent donc, par leur caractère héréditaire, une hiérarchie stricte (l’empereur étant au sommet suivit successivement des shôgun, des nobles (daimyô), des samouraï et enfin de la base ou l’on trouve les agriculteur

comme de simples agents du pouvoir royal. Comme Alexis de Tocqueville le premier le mettra en évidence dans L’Ancien Régime et la Révolution, considérée sur la longue durée, la Révolution française ne fait qu’achever l’œuvre de liquidation de la féodalité que la monarchie avait depuis longtemps entreprise mais qu’elle n’avait plus la force de mener à son terme, parce que cela aboutissait finalement à remettre en cause ses propres fondements. La Révolution est ainsi l’occasion non seulement d’une refondation

des historiens d’outre-Manche – une expression que l’on pourrait traduire par néo- ou post-féodalité. Partons ici de la remarque de K.B. McFarlane : « Durant les deux siècles qui suivirent la mort d’Édouard Ier [1307], le nouvel ordre défini par le patronage, les livrées et les affinités occupèrent le devant de la scène (…) avec un épilogue dépassant de beaucoup l’époque médiévale ». Pour lui, la néo-féodalité commença quand le « lien féodal entre un seigneur et un vassal se trouva supplanté en tant