La Gaieté Des Fables De La Fontaine

....................... Les Deux Bonnes Soeurs................................................................................... 131 165 Les Aveugles........................................................................................ 134 La Fontaine du sang........................................................................................ 166 À une passante........................................................................................ 135 Allégorie.............................

. . . . . . . . . . . . . . . . .196 CX. Une Martyre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .197 CXI. Femmes damnées (Comme un bétail pensif…) . . .200 CXII. Les Deux Bonnes Sœurs . . . . . . . . . . . . . . . . .202 CXIII. La Fontaine de sang . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .203 CXIV. Allégorie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204 CXV. La Béatrice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .205 CXVI. Un Voyage à Cythère . . . . . .

controuvées, je n'en sentais aucun vrai repentir. Moi dont l'horreur pour la fausseté n'a rien dans mon c' ur qui la balance, moi qui braverais les supplices s'il les fallait éviter par un mensonge, par quelle bizarre inconséquence mentais-je ainsi de gaieté de c' ur sans nécessité, sans profit, et par quelle inconcevable contradiction n'en sentais-je pas le moindre regret, moi que le remords d'un mensonge n'a cessé d'affliger pendant cinquante ans ? Je ne me suis jamais endurci sur mes fautes ; l'instinct

controuvées, je n’en sentais aucun vrai repentir. Moi dont l’horreur pour la fausseté n’a rien dans mon cœur qui la balance, moi qui braverais les supplices s’il les fallait éviter par un mensonge, par quelle bizarre inconséquence mentais-je ainsi de gaieté de cœur sans nécessité, sans profit, et par quelle inconcevable contradiction n’en sentais-je pas le moindre regret, moi que le remords d’un mensonge n’a cessé d’affliger pendant cinquante ans ? Je ne me suis jamais endurci sur mes fautes ; l’instinct

le mur. - DAUTUN, 1815. - POULAIN, 1818. - JEAN MARTIN, 1821. - CASTAING, 1823. J'ai lu ces noms, et de lugubres souvenirs me sont venus : Dautun, celui qui a coupé son frère en quartiers, et qui allait la nuit dans Paris jetant la tête dans une fontaine et le tronc dans un égout ; Poulain, celui qui a assassiné sa femme ; Jean Martin, celui qui a tiré un coup de pistolet à son père au moment où le vieillard ouvrait une fenêtre ; Castaing, ce médecin qui a empoisonné son ami, et qui, le soignant

le mur. - DAUTUN, 1815. - POULAIN, 1818. JEAN MARTIN, 1821. - CASTAING, 1823. J'ai lu ces noms, et de lugubres souvenirs me sont venus : Dautun, celui qui a coupé son frère en quartiers, et qui allait la nuit dans Paris jetant la tête dans une fontaine et le tronc dans un égout ; Poulain, celui qui a assassiné sa femme ; Jean Martin, celui qui a tiré un coup de pistolet à son père au moment où le vieillard ouvrait une fenêtre; Castaing, ce médecin qui a empoisonné son ami, et qui, le soignant

mur. – DAUTUN, 1815. – POULAIN, 1818. – JEAN MARTIN, 1821. – CASTAING, 1823. J’ai lu ces noms, et de lu- gubres souvenirs me sont venus. Dautun, celui qui a coupé son frère en quartiers, et qui allait la nuit dans Paris jetant la tête dans une fontaine, et le tronc dans un égout ; Poulain, celui qui a assassiné sa femme ; Jean Martin, celui qui a tiré un coup de pistolet à son père au moment où le vieillard ouvrait une fe- nêtre ; Castaing, ce médecin qui a empoisonné son ami, et qui, le soignant

..................................................................153 CXI. – Femmes damnées .........................................................155 CXII. – Les deux bonnes sœurs .............................................. 156 CXIII. – La fontaine de sang ....................................................157 CXIV. – Allégorie..................................................................... 158 CXV. – La Béatrice .................................................................. 159 CXVI

..................................................93 CXI. – Femmes damnées...................................................................95 CXII. – Les deux bonnes sœurs ........................................................ 96 CXIII. – La fontaine de sang............................................................. 96 CXIV. – Allégorie ...............................................................................97 CXV. – La Béatrice.......................................................

..................................................................153 CXI. – Femmes damnées .........................................................155 CXII. – Les deux bonnes sœurs .............................................. 156 CXIII. – La fontaine de sang ....................................................157 CXIV. – Allégorie..................................................................... 158 CXV. – La Béatrice .................................................................. 159 CXVI