La Gauche Entre Réforme Et Révolution

brève de mai 1936 à avril 1938 mais gouvernement qui marque durablement les esprits. Moment particulier pour l’histoire de France. Création d’un mythe autour de cette coalition de la gauche. But : préserver la démocratie et les droits de l’homme, lutter contre la montée de l’extrême droite et mettre en œuvre des réformes sociales. Comment le Front populaire arrive t-il au pouvoir ? La coalition naît le 14 juillet 1935. Rapprochement du parti radical (Daladier), du SFIO (Léon Blum, juif) et du

politiques pour l’IIIe République. Le 6 février 1934 a lieu une manifestation antiparlementaire (menée surtout par les ligues) qui tourne à l’émeute et qui marque la vie publique française. Suie à un fléchissement de « l’isolationnisme » communiste, la gauche française commence à s’unir en 1934-1935, notamment sur la volonté de contrer le fascisme et les ligues d’extrême droite. Le « front populaire », va ainsi être crée en 1935 en vue des élections législatives de 1936. Il réunit le parti communiste,

1-Volonté de retour à la monarchie absolue de Louis 16 2-Abus de pouvoir des ultras C'est dans un contexte très agité, celui de la France au lendemain du déclenchement de la sanglante révolution qui bouleversera le vieux continent, que naît l'idée d'une monarchie constitutionnelle en France, afin de mettre fin aux abus du pouvoir absolutiste, qui néglige complètement les besoins du peuple qu'il gouverne. En effet, l'idée de monarchie constitutionnelle

difficultés de l’après-guerre à la prospérité apparemment retrouvée) ; l’autre thématique (démographie, économie et société, politique intérieure et extérieure). La présentation précise des différents gouvernements (Bloc national jusqu’en 1924, Cartel des gauches de 1924 à 1926, puis Union nationale jusqu’en 1931) peut être considérée comme secondaire. La France est l’un des pays les plus éprouvés par la guerre de 1914-1918. Les années 1920 commencent, outre le bilan démographique, par de graves difficultés

Connaissance de la France Contemporaine : Contemporain = De 1789 à nos jours (pour la France) 1852-1870 : ( Régime Bonapartiste : 2nd Empire ( Guerre entre la France et la Prusse (à l’aube de la création de l’Allemagne) 1871-1939 : ( 3ème république créée par des Monarchistes 1940-1944 : Régime de l’état français (gouvernement de Vichy) 1946-1958 : ( 4ème république 1958 à nos jours : ( 5ème république Depuis le second empire, la France a vécu majoritairement en république.

La République de Weimar, analyse d’un échec I Le suicide d’une République A/ Un accouchement difficile : la révolution de 1918-1919 B/ La question du régime : l’évolution vers le présidentialisme C/ La faiblesse des partis II L’assassinat de la République A/ La conjoncture économique B/ Influence de la politique étrangère C/ Les forces extra républicaines Bibliographie : • • • • • KLEIN Claude, La République de Weimar, Paris, Flammarion, 1968 BARIETY Jacques et DROZ Jacques, République de

après la grande fracture historique de la Révolution française en 1789, la France n'a toujours pas trouvé un régime politique stable et durable. En effet, après la chute de Napoléon sous le Second Empire un régime politique va se mettre en place : la 3ème République. Celle-ci s'étend du 4 Septembre 1870 au 10 Juillet 1940 et connaîtra des débuts fragiles, mais parviendra rapidement à s'imposer face à ses adversaires grâce à la publication de nouvelles réformes et donc durer, pour devenir le plus durable

derniers sont très divisés, de manière duale. On a deux tendances : - Légitimistes : Nostalgique absolue de l’ancien régime, la révolution FR est l’œuvre de Satan, seule la monarchie absolue peut sauver la FR. - Orléanistes : Sont favorables à une monarchie parlementaire (à l’anglaise) équilibrée. Il n’y pas de point commun entre les deux, mais il va y avoir une coalition entre les républicains modérés et les monarchistes modérés (Orléanistes). L’AN désigne THIERS Adolphe en février 1871 (chef du pouvoir

l’Université de Bordeaux. Directeur d’études à l'École des Hautes Etudes en Sciences Sociales (l’EHESS) il oriente l’essentiel de ses recherches sur les thèmes de l’inégalité, la justice sociale, la marginalité juvénile ou encore l’Ecole. Homme de gauche mais également réformiste, il n’hésite pas à repenser les institutions afin de mener celles-ci à réduire toujours plus les inégalités sociales. Dans l’ouvrage dont il est question ici « Les places et les chances », en étudiant deux modèles idéologiques

------------------------------------------------- Chapitre 13 : Socialistes et syndicalistes : Pendant la Belle Epoque, le socialisme en France croît fortement, sous deux tendances : le socialisme politique et le syndicalisme révolutionnaire. Même si l’alliance entre parti et syndicat est inconnue en France, ces deux courants achèvent leur unification : fondation de la « Grande CGT » (1902) et de la SFIO (1905). Les deux courants soutiennent les mouvements ouvriers et vont converger avant 1914 sur la question de