La Gazette de l'Hôtel Drouot

demandait Anatole France. « Une suite de petits caractères. Rien de plus. C'est au lecteur à tirer lui-même les formes, les couleurs et les sentiments auxquels ces signes correspondent ». Ce guide du chroniqueur du Figaro littéraire et de la Gazette de l'hôtel Drouot, raconte le livre. Un portrait en somme. Nous approchons d'abord son aspect extérieur, puis lorsque sa silhouette est apparue, nous ouvrons la couverture ou la reliure et voyons les papiers de garde et marbrés, l'ex-libris puis touchons le

russojaponaise (1904-1905) » in La Gazette de l'Hôtel Drouot, sept. 1984, p. 86-98. « Les Cartes postales gravées et lithographiées sur la première révolution russe (1905) » in La Gazette de l'Hôtel Drouot, août 1987, p. 37-48. « Les Estampes politiques sur cartes postales au début du XXe siècle. Orens Denizard » in Les Nouvelles de l'estampe, n° 110, mai-juin 1990, p. 14-25. « L'Affaire Dreyfus. Estampes politiques sur cartes postales » in La Gazette de l'Hôtel Drouot, n° 33, 18/9/1992, p. 66-67. «

diffusion des œuvres : les Expositions universelles de 1855 et 1867, le célèbre Salon des Refusés de 1863, les expositions particulières, celles de quelques galeries privées organisées autour d’un thème, d’une école, et enfin les ventes publiques : l’hôtel Drouot fait désormais partie de la vie artistique et certains catalogues de vente sont préfacés par des écrivains. Viennent ensuite des futurs acheteurs, dont l’Etat bien sur, qui fait son choix plus ou moins selon les critères établis, et désigne

Malesherbes qu’il riait encore. La calèche entra et vint s’arrêter devant le perron. Ce perron, aux marches larges et basses, était abrité par une vaste marquise vitrée, bordée d’un lambrequin à franges et à glands d’or. Les deux étages de l’hôtel s’élevaient sur des offices, dont on apercevait, presque au ras du sol, les soupiraux carrés garnis de vitres dépolies. En haut du perron, la porte du vestibule avançait, flanquée de maigres colonnes prises dans le mur, formant ainsi une sorte d’avant-corps

boulevard Malesherbes qu'il riait encore. La calèche entra et vint s'arrêter devant le perron. Ce perron, aux marches larges et basses, était abrité par une vaste marquise vitrée, bordée d'un lambrequin à franges et à glands d'or. Les deux étages de l'hôtel s'élevaient sur des offices, dont on apercevait, presque au ras du sol, les soupiraux carrés garnis de vitres dépolies. En haut du perron, la porte du vestibule avançait, flanquée de maigres colonnes prises dans le mur, formant ainsi une sorte d'avant-corps

dans la tête et au bout de ma plume une reine de France au quinzième siècle, je serais totalement dégoûté de la vie et il y aurait longtemps qu’une balle m’aurait délivré de cette plaisanterie bouffonne qu’on appelle la vie ». Incident burlesque à l’Hôtel-Dieu de Rouen : une sœur s’enfuit avec un infirmier. Flaubert lit dans L’Indiscret un compte-rendu qu’il trouve mensonger. Flaubert demande en vain à son père de pouvoir aller aux Andelys voir Ernest Chevalier. Il écrit : « J’ai quelques sujets pas

Publihebdos Vice-président du conseil de surveillance d’Edilarge (Editions Ouest-France) Président de la division Europe de l’INMA (International Newsmedia Marketing Association - Association internationale de marketing de journaux) Gérant de "La Gazette de la Manche" Cogérant de la Société normande de participations (SNP) Administrateur de "La Chronique Républicaine" Président de la Commission de la vente du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR) Membre du pôle "Processus industriel de

Sigismond, élevé dans les universités allemandes, qui, outre le français, sa langue maternelle, par– 36 – lait l’allemand, l’anglais et le russe. En 1849, à Cologne, il avait connu Karl Marx, était devenu le rédacteur le plus aimé de sa Nouvelle Gazette rhénane ; et, dès ce moment, sa religion s’était fixée, il professait le socialisme avec une foi ardente, ayant fait le don de sa personne entière à l’idée d’une prochaine rénovation sociale, qui devait assurer le bonheur des pauvres et des humbles

intelligence, ce Sigismond, élevé dans les universités allemandes, qui, outre le français, sa langue maternelle, parlait l'allemand, l'anglais et le russe. En 1849, à Cologne, il avait connu Karl Marx, était devenu le rédacteur le plus aimé de sa Nouvelle Gazette rhénane ; et, dès ce moment, sa religion s'était fixée, il professait le socialisme avec une foi ardente, ayant fait le don de sa personne entière à l'idée d'une prochaine rénovation sociale, qui devait assurer le bonheur des pauvres et des humbles

intelligence, ce Sigismond, élevé dans les universités allemandes, qui, outre le français, sa langue maternelle, parlait l’allemand, l’anglais et le russe. En 1849, à Cologne, il avait connu Karl Marx, était devenu le rédacteur le plus aimé de sa Nouvelle Gazette rhénane ; et, dès ce moment, sa religion s’était fixée, il professait le socialisme avec une foi ardente, ayant fait le don de sa personne entière à l’idée d’une prochaine rénovation sociale, qui devait 70 assurer le bonheur des pauvres et des humbles