La Gestion Du Risque Credit Bancaire Au Senegal

……………………………………………..…………3 3. Objectif d’un stage pour l’étudiant……………………….….……...3 4. Avantages d’un stage pour l’étudiant……..………………………..4 5. Avantages d’un stage pour l’employeur……………………..….…4 * II) Le secteur bancaire……………………………………………………………………..5 1. Définition du secteur bancaire……………………………………………5 2. Origine de banque…………………………………………………………….5 3. Le rôle de la banque…………………………………………………………6 4. Les différents types de la banque………………………………………7 * III) ATTIJARIWAFA BANK………………………………………………………………

developpement en afrique SECTION2 :Activité et organisation CHAPITRE2 :Typologies de crédits SECTION1 :Prêts personnels (retail) SECTION 2 :Prets aux entreprises (commercial) DEUXIEME PARTIE :LA gestion du risque crédit par UBA :role des conventions d’assurances CHAPITRE3 :Gestion du risque et le role de l’assureur Section 1 :Gestion du risque de crédit Section 2 :L’assurance et la gestion du risque de crédit CHAPITRE 4 : L’assurance et l’enjeux du recouvrement Section 1 :L’apport de l’assurance

BIDOUNGA Guychel Institut Professionnel de l’Entreprise (IPE) Dakar Sénégal Objet : Mémoire de fin de formation Messieurs, Dans le cadre de mon examen de fin de formation BTS option Comptabilité-Gestion, je viens soumettre à votre bienveillance ce mémoire, et dont le thème est : « La microfinance à l’ère de l’Internet : Kiva». Vous souhaitant bonne réception du présent document, je vous prie d’agréer, Messieurs le Président et membres du jury, l’expression de

Technologie ECOBANK:ECOnomic BANKEDM : Energie Du MaliFAFPA : Le Fonds d'Appui à la Formation Professionnelle et l'Apprentissage FAGACE : Fonds Africain de Garantie et de Coopération EconomiqueFAMAB : FAbrique Malienne d'Aliments BétailsFCPR : Fonds Commun de Placement à Risque FFS-PME : Fonds Francophone de Soutien à la PME FITIMA : filature textile industrie du maliFRAC : Fonds Régional d'Aide au ConseilFRATT : Fonds Régional d'Aide au Transfert Technologique FRT : Fonds de Recherche et de la TechnologieGAD: Groupe-Action-DéveloppementGIE

s’accélère, les préoccupations se diversifient, le système financier vit d’importantes mutations par rapport aux fluctuations des marchés des capitaux. Cependant, l’ouverture de notre royaume sur le marché international, la libéralisation des opérations bancaires et la mise à niveau des entreprises marocaines,… sont tous des facteurs qui rendent l’utilisation des techniques de financement des opérations à l’international une action habituelle et réelle. Toute théorie doit se tisser avec une pratique, pour

s’accélère, les préoccupations se diversifient, le système financier vit d’importantes mutations par rapport aux fluctuations des marchés des capitaux. Cependant, l’ouverture de notre royaume sur le marché international, la libéralisation des opérations bancaires et la mise à niveau des entreprises marocaines,… sont tous des facteurs qui rendent l’utilisation des techniques de financement des opérations à l’international une action habituelle et réelle. Toute théorie doit se tisser avec une pratique, pour

la Zone Franc qui est constitué des quinze états africains et des territoires du Pacifique repartis en quatre groupes : * Huit États d’Afrique de l’Ouest : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo formant l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), dont l'institut d'émission est la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) ; pour ce groupe, franc CFA est désormais désigné par franc de la communauté financière

prises de risques inconsidérées des intermédiaires financiers américains, recherchant des rendements déraisonnables dans un contexte de déréglementation et d’innovations financières à risque. Cette crise est aussi une crise de la finance globale. La titrisation(2) des risques s’est très vite étendue au système financier international, nombre d’investisseurs, en Asie, en Europe, au Moyen-Orient, ayant massivement acquis tout un ensemble de produits structurés ou de dérivés de crédits qui offraient

toutes les parties prenantes : actionnaires, clients, collaborateurs, et société civile. Le choix du développement durable s’est imposé au groupe qui a adapté les méthodes bancaires classiques sur les marchés africains où il développait son activité, sous peine de s’aliéner 90% des opérateurs économiques exclus du système bancaire. De plus, en qualité d’intermédiaire financier auprès des opérateurs économiques, le Groupe ORABANK est un acteur de diffusion des bonnes pratiques en matière de développement

INTRODUCTION Chapitre I: Le rôle de la banque centrale A) Politique monétaire B) L’organisation de l’activité bancaire Chapitre II : Le rôle des banques ordinaires A) La gestion des dépôts B) Financer l’économie CONCLUSION INTRODUCTION : La crise a remis sur le devant de la scène le rôle des banques dans l’économie. Si des établissements profitables sont nécessaires, ceux-ci doivent avant tout être au service de l’économie et ne pas tourner «