La Guerre Des Mondes Comparaison

respecter : moral et vertu. Au XVIIIe siècle, la France ne se remet pas du règne du Roi-Soleil. Dans son œuvre qu’est Candide, Voltaire dénigre la guerre et ses effets en attaquant les faits tels que la guerre est une réalité horrible et qu’elle est un spectacle d’épouvante. Premièrement, dans le chapitre troisième, pour nous montrer les effets de la guerre en soulevant la réalité horrible qu’est cette dernière, Voltaire use de description, de figures de style et de vocabulaire dépréciatif. Tout d’abord

2nde - SQ3 Sc2 ProfSéquence 3 : Etude d’un mouvement culturel européen : Les Lumières à travers l’analyse d’une Œuvre Intégrale : Candide, de Voltaire. Séance 2 : Commentaire chapitre 3 Sur la guerre. I. Préparation d’une introduction type de commentaire Activités : Rédigez une introduction de commentaire ⇨ Lire DOC 1 (biographie de Voltaire) et DOC 2 (extrait chapitre 3 Candide) puis répondez aux questions ⇨ Rédaction par groupe d’une introduction ⇨ Correction à l’oral et rappel du bon fonctionnement

malgré lui par des recruteurs bulgares, fait l’expérience de la guerre. C’est l’occasion, pour Voltaire, de présenter deux visions opposées de cette situation : l’une très élogieuse, idéalisée et marquée par l’optimisme de Pangloss ; l’autre, réaliste et dénonciatrice. Leur coexistence révèle des effets de décalage caractéristiques de l’ironie. Ce procédé joue un rôle essentiel dans la force de la critique que Voltaire fait de la guerre. Compte tenu de ces caractéristiques, on pourra analyser le

présentation ambiguë de la guerre 1.1 La guerre comme un spectacle → « si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné » = accumulation d’adj mélioratifs au superlatifs = valorise l’entreprise de la guerre → « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons » = énumération qui présente la guerre comme un orchestre, seul le GN canons rappelle la réalité → « une harmonie telle qu’il n’y en eu jamais en enfer » = alliance de mots, comparaison = ironie, l’harmonie

Voltaire et publié anonymement en 1759. En effet, l’auteur a été récemment bouleversé par deux événements capitaux : Le tremblement de terre de Lisbonne qui s’est déroulé le premier Novembre 1755 , violent et très meurtrier faisant 25000 morts et la guerre de Sept ans qui commence en 1756, le conduisant à une réflexion et à l’écriture du livre. Ce conte est non seulement une réponse à la lettre de Jean-Jacques Rousseaux sur le désastre de Lisbonne mais aussi un moyen de continuer la transmission des

présence de guillemets ligne 11 l’expression « comme il faut », c’est une comparaison qui renvoie au code éthique de la doxa, « il faut » est une tournure impersonnelle et indique ici une obligation. Cette comparaison est mis entre relief car se sont des paroles rapportées de la doxa. Enfin, on relève deux références intertextuelles (l.3 et l.23), Les Vacances (l.3) est une œuvre pour les petites filles, et Le Guerre des Mondes (l.23) est plus avancée. Cela montre que la jeune fille grandit mais pas

Effectivement, dans cet extrait du chapitre 3, l’écrivain montre l’absurdité de cette pensée. Alors qu’une guerre pris place entre les Bulgares et les Abares, la violence régnait, les civils étaient tués, blessés ou brulés et les armées dévastatrices : « […] ôt[èrent] du meilleur des mondes environ neuf à dix milles coquins qui en infectaient la surface. » (l. 4-5) Par cette ironie, l’auteur semble vouloir dire : la société d’aujourd’hui est la

mieux dans le meilleur des mondes possible ». L’extrait au chapitre 3 que nous étudierons en est la preuve ; le texte se caractérise par une énonciation contradictoire déconcertante qui fait deviner, sous un discours apparent, un message caché. Nous analyserons l’évocation de la guerre, présentée comme un spectacle grandiose, avant de commenter l’utilisation d’un discours contradictoire. Enfin, nous verrons que ces procédés sont au service de la dénonciation. La guerre est évoquée comme un spectacle

meilleur des mondes » pour avoir cédé aux avances de la belle et très entreprenante Cunégonde, Candide se trouve enrôlé dans l’armée (chapitre 2) et se confronte dès le chapitre 3, à un premier fléau, un premier malheur de taille, à une guerre acharnée entre les Abares et les Bulgares. Comment l’ingénu et naïf héros va-t-il traverser cette épreuve, que voit-il de la guerre ? Intérêt : Quelle image de la guerre Voltaire donne-t-il dans cet extrait ? Comment Voltaire critique-t-il la guerre ? Sa barbarie

seigneurs perses voyageant en France, Rica et Usbek, et leurs amis restés en Perse, à l'époque où Louis XIV gouvernait. Les émetteurs présentent la société apparente de la France, une occasion pour l'auteur de confronter deux modes de pensée, deux mondes opposés grâce au regard de l'étranger, source d'étonnement sur les moeurs, les coutumes et les institutions françaises. Ainsi dans cette 1ère lettre écrite de Paris en 1712 de Rica à Ibben, Montesquieu présente les mœurs parisiennes, qui laissent