La Géante Charles Baudelaire

un titre déjà donné en poésie ; on compte en effet un poème de Victor Hugo dans Les orientales (1829), d’Émile Verhaeren dans Les vignes de ma muraille (1899), et également « Il fait novembre en mon âme » dans Les Bords de la Route (1895), de Charles Cros dans Le collier de griffes (1908, posthume), en revanche « Hypermarché » n’a rien de poétique. Dans Le sens du combat, Houellebecq reprendra l’image du supermarché avec le poème en prose « l’instant d’une renonciation ». Le je lyrique se trouve

plus large. Rabelais recourt à la forme de l’apologue dans Gargantua : un des chapitres de ce livre est consacré à l’éducation du héros : il y défend une éducation à la fois physique et spirituelle et dénonce la pédanterie des premiers éducateurs du géant. La vocation d’un savoir universel a été reprise également par les philosophes des Lumières comme en témoigne le projet monumental de Diderot et d’Alembert : L’Encyclopédie. D’autres ont cherché à améliorer la société en faisant une satire des mœurs

tous ceux-là pour me croire le droit   De ressusciter les autres    Un jour je m'attendais moi-même    Je me disais Guillaume il est temps que tu viennes    Et d'un lyrique pas s'avançaient ceux que j'aime    Parmi lesquels je n'étais pas    Les géants couverts d'algues passaient dans leurs villes    Sous-marines où les tours seules étaient des îles    Et cette mer avec les clartés de ses profondeurs    Coulait sang de mes veines et fait battre mon cœur    Puis sur terre il venait mille peuplades

Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons, Toute pleine du bruit furieux des clairons, Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie, Hideuse, entraîne l’homme en cette ivrognerie... Folle immense, de vent et de foudre armée, A quoi sers-tu, géante, à quoi sers-tu fumée, Si tes écroulements reconstruisent le mal, Si pour le bestial tu chasses l’animal, Si tu ne sais, dans l’ombre où ton hasard se vautre, Défaire un empereur que pour en faire un autre. LES DÉPORTÉS: "Le chant

s'engage contredit la règle. Les poètes ne sont pas épargnés. Certains de leurs poèmes sont même censurés. Au XIXème siècle apparait une classe de poètes en marge de la société : les poètes maudits (therme inventé par Verlaine). Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire en font aussi parti mais ne sont pas les seuls. Les Poètes maudits désignent des poètes qui rejettent les valeurs de la société et se conduisent de manière provocante et dangereuse. De plus un nouveau genre de poème fait son apparition : le

philosophe (Zadig) 4ème Objet d’étude : La poésie Deux poètes entre tradition et modernité : Charles BAUDELAIRE et Guillaume APOLLINAIRE Texte n°1 : L’albatros (BAUDELAIRE) Texte n°2 : A une passante (BAUDELAIRE) Texte n°3 : Zone (BAUDELAIRE) Texte n°4 : Le pont Mirabeau (APOLLINAIRE) Texte n°5 : La chanson du Mal-aimé (APOLLINAIRE) Conclusion/Synthèse sur les Fleurs du Mal de BAUDELAIRE et Alcools de Guillaume APOLLINAIRE Objet d’étude : le Roman Séquence 1 : Du héros à la

l’admiration vous submerge, même si la langue a vieilli et qu’elle demande un effort. Le curieux est que les auteurs eux-mêmes ont du mal à faire le tri dans ce qu’ils produisent. Voltaire, qui était fier de ses tragédies, de son histoire de Louis XIV ou de Charles XII, de ses traités de philosophie, aurait été très surpris, et sans doute peiné, de savoir qu’il survivrait par ses contes, Candide, L’Ingénu, Zadig et Micromégas qu’il appelait « mes coÿonnades ». La nouvelle collection s’ouvre avec Maupassant

poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Lors de sa carrière de diplomate, Il est page auprès du dauphin, François, puis de son frère Charles, duc d’Orléans. Quand Madeleine de France épousa le roi Jacques V d'Écosse, en 1537, Ronsard fut attaché au service du roi et passa trois années en Grande-Bretagne. En 1539, il retourna en France et entra à l’Écurie royale. Il est dans la compagnie

son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles baudelaire, les fleurs du mal (1857)   LES  DERNIERES PAROLES  DU POETE D'un fruit qu'on laisse pourrir à terre, il peut encore sortir un nouvel arbre. De cet arbre, des fruits nouveaux

Les Fleurs du mal, Baudelaire, 1857 (2ème section : Tableaux parisiens) LXXXIX - Le Cygne A Victor Hugo ←poème dédié à l’exilé volontaire I 1 2 3 4 Andromaque1, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs2 menteur qui par vos pleurs grandit, 5 6 7 8 A fécondé soudain ma mémoire fertile, Comme je traversais le nouveau Carrousel. Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville ←les grands travaux d’Haussmann