La Honte de la famille

Grant Fox Composition 4 : une conversation entre Annie et Franck La situation: Annie Ernaux et Franck se rencontrent à l’ancienne épicerie de la famille d’Annie. Franck est le PDG de EDF, l’entreprise la plus grande de France. Il raconte son histoire à Annie parce qu’elle veut écrire un roman inspiré par sa vie. Annie : Où est-ce que vous voudriez commencer ? Franck : Quand j’avais 22 ans, j’étais un élève dans une école de commerce à Paris. L’été après ma deuxième année, j’étais un stagiaire

l’autrice utilise plus le sentiment de la honte plutôt que de la joie pour raconter l’histoire. D’abord, le père de l’écrivaine souffrait de l’enissophbie ainsi qu'éprouvait du malaise en raison de leur classe sociale.Tout d'abord, en racontant l'histoire de son père, Annie Erneaux décrivaient subtilement la honte ressentie par son père.En faite, le père de l'écrivaine souffrait de l'enissophobie. Elle le mène à avoir peur d'être jugé sur son éducation et à avoir honte à ne pas savoir « bien » parler. Il

leur origine. Le désir de changer de classe peut provenir de la honte de parler un langue différente, de ne pas avoir les mêmes coutumes, de venir d'un milieu pauvre ou simple : honte d'avoir des parents immigrés, venant d'un pays pauvre ou à la culture différente, honte de la profession de ses parents (artisans, ouvriers), honte de son prénom. Les transclasses viennent souvent de familles pauvres et portent un sentiment de honte sociale (ils n’assument pas d'être pauvres). Ils ont également

L’être humain naît dans une famille qui lui transmet un héritage composé de traditions, de missions, de mandats, et de loyautés familiales visibles ou invisibles. Qu’il le veuille ou non, qu’il le sache ou non, tout individu est imprégné de ces liens et habitus de loyauté, des traumatismes et deuils non faits de cette famille : une empreinte se crée, de façon très précoce, qui restera en mémoire et en mémoire physique. (ANCELIN SCHÜTZENBERGER). La famille est un système qui se bat pour

 1/ La Place, Ernaux: Parler dans une interview Annie Ernaux a dit que « la plus grande honte, c’est d’avoir eu honte de mes parents ».1 Donc, suivante la mort de son père c’est à La Place que Ernaux confronte cette honte et ses origines. Comme dans ses autres livres autobiographiques, son écriture n’est nullement romantique ou nostalgique; mais par son style simple de « l’écriture plate » Ernaux dépeint la réalité de la vie pour ses parents avec clarté.2 En général, La Place est comme une « mosaïque

La Honte Entre littérature et sociologie Marie-Hélène Bernadet Institutionen för franska, italienska och klassiska språk Kandidatuppsats, 15 p Höst 2012 Directeur de mémoire: Hans Färnlöf Rapporteurs : Förnamn Efternamn, Förnamn Efternamn 2 Analyse de l’écriture d’Annie Ernaux dans La Place et La Honte Entre littérature et sociologie Marie-Hélène Bernadet Abstract The purpose of this study is to analyze the writing of Annie Ernaux in two early texts La Place and La Honte. We

Decouard Emilie UF8 Unité de Spécialisation Le Secret de famille IRFASE Dossier en vue de l’obtention du EVRY 91 diplôme d’état d’éducateur spécialisé Session juin 2007 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 1. APPROCHE CLINIQUE : ETUDE DE CAS 4 1.1. Situation de Mathilde 4 1.1.1. Eléments biographiques 4 1.1.2. Parcours 4 1.1.3. Evolution de la situation 5 1.1.4. Conclusion 6 1.2. Situation de Christelle. 6 1.2.1. Eléments biographiques 6 1.2.2. Parcours 7

sa famille et son milieu d’origine. La honte est un autre thème très présent dans La Place,. La fille a honte de ses origines sociales et par la suite, elle a honte de sa trahison. Par ce texte, elle tente de rendre justice à sa honte de son père . 5) La famille Le thème de la famille est très présent et c’est le fil conducteur de l’histoire. On y retrouve une famille nucléaire, composée d’un père, d’une mère et de sa fille. Au fur et à mesure du roman, on peut voir cette famille gravir

1. A travers ces différents vers du Cid, dans lesquels le mot « honneur » est employé, trouve les différent sens que ce mot peut revêtir Don Diègue Ce haut rang n’admet point un homme sans honneur (I, 4…) Il m’a rendu l’honneur, il a lavé ma honte (II, 8)… Nous n’avons qu’un honneur, il est tant de maîtresses ! / L’amour n’est qu’un plaisir, l’honneur est un devoir. (III, 6)… Le Comte Et par là cet honneur n’était dû qu’à mon bras (I, 3)… Et croyant voir en toi l’honneur de la Castille

nécessaire d’expliquer ici, en quelques lignes, mes intentions d’écrivain ? J’ai voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l’ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l’oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement la honte et la mort. C’est la morale en action, simplement. L’Assommoir est à coup sûr le plus chaste de mes livres. Souvent