La Honte de la famille

les ors des baguettes et des corniches… ». Les paragraphes qui suivent (l.24 à l.37) narrent l’arrivée de trois personnages misérables devant la vitrine du café. Le poète a alors recours à une série de figures de style pour décrire la misère de la famille. À la ligne 32, il utilise une anaphore qui a pour but de renforcer l’idée « d’admiration égale » qu’il évoquait à la ligne 30 : « Les yeux du père […] que c’est beau ! Que c’est beau ! […] Les yeux du petit garçon […] que c’est beau ! Que c’est beau 

chose d’aussi malsain. C’est niais, long et ennuyeux, comme ses personnages : sans aucune personnalité. Le personnage de l’ado rebel totalement muet (on aurait d’ailleurs préféré que ce soit le cas pour la gamine) et ayant apparemment renié toute sa famille sur 7 générations pour on ne sait quelle raison est une belle blague tellement il surpasse l’inutilité pour, au final, se décrédibiliser totalement. On pourrait encore parler du schéma classique du paternel qui ne jure que par la victoire suprême

puis celui des pleurs : « larmes » (vers 1245, 1250), « Mes pleurs » (vers 1247). L’opposition Ombre et Lumière dans ce milieu de tirade, renforce encore plus le contraste entre le malheur de Phèdre et le bonheur d’Hippolyte et d’Aricie. b) La honte de sa lignée Vers la fin de l’extrait, au milieu de la deuxième tirade, Phèdre se rend compte de la situation honteuse qu’elle est train de vivre. Elle ne se sent pas digne de sa lignée aux vers 1273 et 1274 « et je soutiens la vue de ce sacré

l'homosexualité au seins de la famille Être père et mère résulte a fondés une famille, un enfant quête de soutien morale et physique réclamera l'aide de sa famille. « L'idée » de famille est ancrée dans notre société ce pendant le termes de famille a bien évoluer durant les périodes on parle maintenant de famille recomposée, de famille monoparentale, de famille homoparentale . Un enfant a du mal a évoluer dans la vie sans ces parents qui l’entoure. L’homosexualité d'un enfant peut troublé la

demande revêt en fait un caractère jussif (mode impératif : « viens, mon fils, viens […] », « va », « meurs ou tue », « venge-moi, venge-toi », etc.) et la récurrence des termes propres à la vengeance (« venger », « vengeance », « viens réparer ma honte », « punir », « va […] éprouver ton courage », etc.) en dit long sur le rôle futur de Rodrigue. Le code de l’honneur et les liens du sang : dès le premier vers de notre scène (« Rodrigue, as-tu du cœur ? »), don Diègue fait appel à la moralité héroïque

couvrir de honte toute la famille? Sur le chemin du retour, Thérèse se remémore tous les faits, ce qu'elle fut, pour mieux préparer ce qu'elle devra expliquer à Bernard. L'angoisse lui prend à la gorge à chaque fois qu'elle revient à la réalité, elle l'étouffe. Elle revient sur toutes les relations qu'elle entretenait avec Anne de la Tarve, et aussi avec son mari. Dans ses souvenirs, elle retrace le vécu d'Anne et se rappelle son bonheur avec Jean Azévédo. Elle se souvient aussi que la famille lui

b) Le narrateur décrit très peu le monde de la pauvreté, qui est objet de honte pour Mathilde Loisel, alors qu’il s’attarde à dépeindre le monde associé à la richesse qui lui fait envie. 4. a) |Thèmes majeurs | |L’apparence |L’envie |La honte | |Parure

présente fréquemment. La relation n’est pas toujours parfaite avec le défunt, les pensées qu’on a eues envers la personne décédée peuvent être sombres, puis face à cela se forme cette émotion. La Honte fait partie des émotions qui se présentent. La personne peut avoir honte de ses émotions, par exemple honte d’être triste. Il y a aussi la dépression et le désespoir qui se présentent plus fréquemment quand la personne ne parle pas de ce qu’elle vit. Une chose qui caractérise bien la personne en deuil

l’objet de toutes les convoitises à une réelle obsession. L’évènement semble donc être capital pour la famille comme en témoigne « C’était la première fois de sa vie » où l’utilisation de la forme emphatique marque d’autant plus l’aspect insolite de cette bague. De plus, l’auteur insiste sur cette facette de l’évènement notamment avec la citation « de sa vie » qui illustre bien la pauvreté de la famille. D’ailleurs, l’anaphore de la valeur de la bague « vingt mille francs » tout au long du texte, dénote

on a tout ce qu'on veut, on n'est plus motivé ......... voilà le résultat ! Vous iriez encore au boulot vous, si vous aviez des millions d'euros sur vos comptes en banque ? Vous y allez parce que 1) il faut vous nourrie vous et votre famille .... j'aurai honte moi de m'afficher ainsi!!!! gagner des milions et ne rien foutre sur le terrain!!!! le foot maintenant ce n'est qu'une histoire de zéro sur un chéque, il n' y a plus le plaisir du sport!!!! ça devient du grand n'importe quoi!!!!! ils nous