La Jeune Mère Le Parti Pris Des Choses

on l’accuse de critiquer l’aristocratie. Il participe à un débat sur l’éducation des femmes. Ces idées sont plutôt novatrices car il défend leur droit à une éducation. Les personnages : Cécile de Volanges : fille de madame de Volanges, c’est une jeune fille gauche et stupide. Elle est l’amante de Danceny, puis de Valmont. Elle doit épouser Monsieur de Gercourt. La marquise de Merteuil : femme libertine et terriblement manipulatrice. Elle entraîne Cécile sur la voie de l’immoralité, corrompt Danceny

soit insensible au monde et aux gens qui l’entourent. D’abord, il s’excuse plusiers des fois avec les gens qui l’entourent pour le décès de sa mère. Si bien qu’il ne soit pas insensible au monde, pendant la première partie du roman, il me semble quelques fois qu’il trouve la vie absurde et ennuyeuse. Mais il change d’opinion au long de la deuxième parti du roman, quand il est dans la prison. Là, il perdre sa liberté et d’ailleurs il est condamné à mort pour le meurtre de l’arabe. Dans sa cellule

de futur pour notre peuple s’il doit dépendre de la frivole jeunesse actuelle car il ne fait aucun doute qu’elle est insouciante au-delà de toute expression et imbue de ses opinions malgré sa jeunesse et son manque d’expérience. Lorsque j’étais jeune on nous apprenait à être discrets et respectueux envers les personnes âgées. Il est loin d’en être ainsi de notre jeunesse, au contraire, elle se croit exagérément sage et exempte de quelque contrainte que ce soit.” (Hésiode : La Théologie)

William SHAKESPEAR 1. Tory se réveilla dans le corps de son amie morte. À huit ans, elle était grande pour son âge, avec une ossature fragile et des traits délicats. Ses cheveux soyeux couleur de blé tombaient avec grâce sur son dos étroit. Sa mère aimait les brosser, cent coups chaque soir d'une brosse souple et douce à dos d'argent qui reposait sur la jolie table de toilette en merisier. Le corps de l'enfant se souvenait de ces instants, percevait encore le long mouvement appuyé de la brosse

E.T.A. Hoffmann, L’Homme au sable. Présentation de l’œuvre Ce conte de E.T.A Hoffmann (1776-1822 ), qui paraît sous le titre « Le marchand de sable » ou « L’homme au sable » , fait partie d’un ensemble de huit récits qui sera successivement traduit par « Contes nocturnes » puis « Tableaux nocturnes ». « Le marchand de sable », la première et la plus célèbre des « Nocturnes » fut écrite le « 16 Novembre 1815 à 1 heure du matin », publiée à part dès 1816, puis republiée dans le recueil en 1817. Hoffmann

toutes les bonnes choses (œufs, viande, filles se demandent s’il faut pleurer. Fouroulou est impassible du galette) que sa mère mangea pour guérir. Plus tard, le petit ayant moment que ça ne le concerne pas. D’ailleurs son père est fort. Il peut symboliquement sa part de tout ce qui se partageait, on faisait mine supporter la maladie. de le lui donner et la main déviait vers Fouroulou qui recevait ainsi - Les bœufs n’auront rien pour la nuit, le sais-tu? dit la mère. Alors, tu

carton, et en suite, le grand père de Marcel devenais, on ne sait pas pourquoi tailleur de pierre. Cet homme, souffrit toute sa vie en silence pour ne pas avoir reçu une instruction complète et est pour ça que ses fils, aussi le père de Marcel, le plus jeune des cinq, reçoit une sévère instruction et finit par faire l'instituteur. Chapitre 2: A celle époque, la plupart des matières n'étaient pas enseignées comme il fallait, mais simplement selon les idées plus suivies en ce temp. Les ennemis

appui indéfectible m’ont aidée à persévérer et à achever ma thèse. À ceux qui m’ont si bien accompagnée, mes parents et mon mari. TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION GÉNÉRALE 1 PREMIÈRE PARTIE : LE CROISEMENT DE DEUX GENRES : L’AUTOBIOGRAPHIE ET LE ROMAN 9 INTRODUCTION DE LA PREMIÈRE PARTIE 10 CHAPITRE PREMIER : LE RÉCIT D’UNE VIE OU LE PACTE D’AUTHENTICITÉ 13 1 – La triade identitaire 14 2 – Les modalités d’écriture 22 3 – Le pacte référentiel 42 DEUXIÈME CHAPITRE : LE CLIVAGE

qu'on les eût jetés de la berge dans la rivière, après les avoir frappés, l'un après l'autre, avec une longue pointe de fer.     L'enquête ne faisait rien découvrir. Les mariniers interrogés ne savaient rien ; on allait abandonner l'affaire, quand un jeune menuisier d'un village voisin nommé Georges Louis, dit Le Bourgeois, vint se constituer prisonnier.     A toutes les interrogations, il ne répondait que ceci :     — Je connaissais l'homme depuis deux ans, la femme depuis six mois. Ils venaient souvent

qu'on les eût jetés de la berge dans la rivière, après les avoir frappés, l'un après l'autre, avec une longue pointe de fer.     L'enquête ne faisait rien découvrir. Les mariniers interrogés ne savaient rien ; on allait abandonner l'affaire, quand un jeune menuisier d'un village voisin nommé Georges Louis, dit Le Bourgeois, vint se constituer prisonnier.     A toutes les interrogations, il ne répondait que ceci :     — Je connaissais l'homme depuis deux ans, la femme depuis six mois. Ils venaient souvent