La Jeune Veuve Thèse

bétail de l'armée grecque. Revenu à la raison, il se transperce de son épée. 2) Antigone (Vers 442) => Antigone rend les honneurs funèbres à son frère Polynice, malgré l'interdiction de Créon, maître de Thèbes. Pour n'avoir pas respecté la loi, la jeune fille est murée vivante. Troublé par les avertissements du devin Tirésias, Créon revient trop tard sur sa décision et est puni par la mort de son fils Hémon, fiancé d'Antigone, et par celle de son épouse, Eurydice. (Jean Anouilh ayant lu et relu

Pierre Corneille apparaissent, eux, comme les plus grands tragédiens de son époque. Composées en vers, leurs pièces parlent amour et politique, passions humaines et actes héroïques. Les personnages principaux : Andromaque : princesse troyenne, veuve d'Hector et mère d'Astyanax. Pour sauver son fils de la mort, elle lui substitue un autre enfant qui est tué à sa place, lors de la prise de Troie. Elle est ensuite donnée comme part du butin à Pyrrhus qui tombe amoureux d'elle. Mais elle refuse ses

Montigny avec son père, homme distrait, plus préoccupé par les mollusques que par l’éducation de sa fille. Celle-ci fréquente la petite école du village, cadre principal des aventures décrites dans ce livre, présenté comme le journal intime de la jeune fille. Son quotidien est rythmé par les promenades avec sa sœur de lait Claire, qui lui raconte sa vie amoureuse, les apparitions du docteur Dutertre, le médecin scolaire qui entretient Mlle Sergent et qui lorgne d’un peu trop près les grandes, et

de les achever. La Rome Antique Les poisons connaissent une augmentation importante durant l'antiquité, ils était un moyen de régulateur politique et conjugal.Les principaux poisons était le cyanure, la ciguë et les champignons. Pline le jeune référence jusqu'à 7000 poisons ce qui prouve les incroyables avancées en toxicologie. De plus de premières affaires vont éclore. Neron assassina des membres indésirable de sa famille et de la haute société, Agrippine sa mère qui assassina son mari

dans cet article s’inscrit dans le cadre de la diégèse qui se réserve exclusivement de relater l’histoire du personnage de Nana, comme le montre l’omniprésence du pronom personnel « elle » partout dans le texte, les appellations «mouche d’or », « jeune fille », « mouche », ou encore les adjectifs « grande.. belle.. superbe.. née.. envolée.. bourdonnante.. dansante, etc», et enfin les participes présent « lâchant.. attendant.. corrompant.. désorganisant, etc». Toute cette panoplie de pronoms, noms

énigmatique de Chrétien de Troyes. À l´ouverture du récit, Perceval vit dans l´ignorance du monde chevaleresque et courtois. Sa mère, la veuve de la gaste fôret, l´a isolé. Selon sa mère, la chevalerie serait responsable de la mort du père de Perceval et de celle de ses deux frères et décidée à cacher à son fils les tentations mortelles de la chevalerie, la veuve lui a donné une éducation qui s´enracine exclusivement dans la Bible. Lorsque cinq chevaliers, perturbant le décor naturel, font irruption

Partie I.    Chapitre 1    Charles  Bovary,   jeune  homme  d’une  quinzaine  d’années  entre  au  Collège  de  Rouen  en  classe  de  5ème.  Ce  garçon  à  l’allure  ridicule  et  maladroite  est  décrit  comme un  « gars  de  la  campagne  ». Son  père,  quant  à  lui,  est  un  incapable  qui  accumule les échecs, tandis  que  sa  mère  cherche   à  compenser  ses  déceptions  amoureuses  par  son  amour  pour  son  fils, avant  de  devenir  plus  acariâtre  au  fil  des  années.  Charles   Bovary 

Lorsque la jeune femme vient trouver son époux sur le champ de bataille et lui avoue ne plus prêter d’importance à son physique tant elle aime son âme, le bel homme comprend alors qu’elle n’éprouve de sentiments que pour

n’aime que son argent ; il ne voit que des voleurs autour de lui, il soupçonne tout le monde de vouloir lui voler son argent. L’Avare songe à établir ses deux enfants sans s’inquiéter le moins du monde de leurs goûts, il a fait choix d’une riche veuve pour son fils Cléante, et pour sa fille, Élise, du seigneur Anselme, un homme mûr qui n’a pas plus de cinquante ans, mais noble, doux, posé, sage et fort riche. Son intendant, Valère, qui aspire secrètement à la main d’Élise, lui fait quelques objections

Calas, son fils Pierre ainsi que Gaubert de Lavaisse, invité le soir du drame. Ces derniers donnent des indications vagues sur les circonstances dans lesquelles le corps a été découvert : ils soutiennent d'abord la thèse d'un meurtre commis par un inconnu avant d'avouer avoir retrouvé le jeune homme pendu. Ils auraient maquillé le suicide en meurtre afin d'épargner au défunt les obsèques infâmantes prévues en cas de crime contre soi-même. Mais les Calas sont protestants et la rumeur attribue le meurtre