La Jurisprudence Sous Lancien Régime

sur le postulat  « nul ne peut ce faire justice a soit meme » les juges ont donc la mission de respudre les conflits en appliquant les lois,qui sont faite par le legislateurs et en rendant des decisions . Lensemble de ces decision constitue la jurisprudence ( decision au sesn qualicatif ) le pouvoir du juge est donc important et il s'explique et en est meme renforcé par le principe de ma separation des pouvoirs principe decrit par monstesquieu dans son ouvrage de lesprit … en 1748 ce principe offre

fondement de celle-ci . alors , l’dee que la France serait la patrie des droits de l’homme apparaît erronnee et ce dans la mesure ou de tels droits positifs ont été reconnu longtemps avant la revolution française en dehors des frontieres de l’exagone . sous l’antiquite romaine et greque , pas veritablement de reconnaissance positive des droits de l’homme même si certains droits sont reconnus a certaines personnes , qui en ce sens peuvent être consideres comme des hommes au sens de la loi. L’antiquite

religieuse, le Droit et la religion ne se distingue pas, les préceptes religieux tiennent lieu de lois civils et les lois adoptés par les pouvoirs législatifs sont conforme aux principes de la religion dominante. Ex : avant la révolution française, sous l’ancien régime on avait à faire à une religion d’Etat, c’était le catholicisme, ce qui fait que Droit et religion était fortement mêlés. Ex : aujourd’hui dans certains pays, par exemple lorsque l’islam est religion d’Etat le Coran imprègne le Droit. Ces

dispositions inscrites dans le texte constitutionnel ont une nature de rgle constitutionnelle La succession de texte aprs 1789 va faire merger cette nouvelle discipline juridique quest le droit constit III-Lenseignement du droit constitutionnel Sous lancien rgime le droit public nest enseign que de manire marginale, mais aprs la rvolution le droit public il va apparatre une sorte dengouement du droit public et notamment droit constit aprs la rvolution. En 1791 lassemble nationale dclare que les principes

celle de la géographie historique. Une bibliographie aussi élaborée que celle de la Revue historique ne sait trop que faire des recherches onomastiques et place une chronique de toponymie sous la rubrique : Histoire générale et instruments de travail ; et une Etude sur l'origine des surnoms de Philippe le Bon sous la rubrique : Moyen Age. Au regard des autres disciplines elle ne parvient pas à accorder à l'onomastique une existence propre. Et non sans cause. L'examen des noms propres est un travail