La Justice Est Elle Un Acte De Vengeance

de la sanction de la règle de droit 7 Problèmes et progression de la sanction 8 A) Les limites de la sanction 8 B) Evolution passée et future du droit à la justice 10 Conclusion 12 Annexes 13 Bibliographie 13 Sources Internet 13 Introduction La sanction représente un des pouvoirs principaux de la justice. En effet, elle est la contrepartie au dépassement du Droit. On l’appelle souvent “sanction étatique” car elle induit directement, la plupart du temps, l’intervention

dans ce duel fratricide Alors que se lèvent les gémissements rituels des Thébains, intervient Antigone. Commentaire Le personnage d'Étéocle, roi juste et en même temps meurtrier impitoyable, chez qui la nécessité de sauver la ville devient un acte coupable à cause de la haine qu'il nourrit envers son frère, est le mieux campé de la tragédie à laquelle a été donné un dénouement apocryphe, dans lequel les honneurs de la sépulture sont refusés à Polynice et qui fut sans doute dû à l'influence de

L’Avare * 1669, Monsieur de Pourceaugnac * 1670, Le Bourgeois gentilhomme * 1671, Psychè ; Les Fourberies de Scapin ; La Comtesse d’Escarbagnas * 1672, Les Femmes Savantes * 1673, Le Malade imaginaire. Résumé : Acte I Scène 1 : Don Gusman, Sganarelle. Avec une tabatière à la main, Sganarelle, valet de Don Juan, converse avec Gusman, écuyer de Done Elvire. Le spectateur apprend que Don Juan, après avoir séduit, enlevé Done Elvire du couvent et l’avoir

qu’il a fait : il semble que la société lui reproche plus de n’avoir pas fait montre de tris- tesse à un moment où elle était attendue, lui reproche plus d’être ce qu’il est que d’avoir commis un acte répréhensible. Ainsi la peine de mort apparaît-elle comme un acte de vengeance sociale, et non de justice. Conclusion L ’institution judiciaire n’est pas critiquée seulement en tant que telle, mais surtout parce qu’elle symbo- lise la société dans son ensemble, qui ne pardonne pas à Meursault son

------------------------------------------------- TABLES DES MATIERES Chapitre 1 : Les notions introductives au droit pénal 2 Section 1 : L’évolution du droit pénal 4 § 1 : Le passage de la vengeance privée à la justice privée 4 § 2 : La justice publique ou étatique 4 § 3 : La justice rationnelle (XVIII- XIXème siècle) 5 § 4 : La justice scientifique (XXème siècle) 5 § 5 : Le droit positif : le code pénal de 1992 5 Section 2 : Le droit répressif : un droit pluridisciplinaire 6 § 1 : La nature du droit

révolte de grande ampleur, et sera assassiné dans le château de Dunsinane par Macduff, dont la famille a péri sous ses ordres. La pièce se clôt sur le retour de Malcolm, fils de Duncan parti en exil à la suite du meurtre de son père. 2. Résumé acte par acte Acte I : rapide montée vers le régicide Scène 1 : trois sorcières annoncent qu'elles ont rendez-vous sur la lande avec Macbeth. Scène 2 : Duncan (roi d’Ecosse) et ses fils s'interrogent sur l'issue de la bataille (contre des nobles révoltés) → Macbeth

subisse une sentence égale, la condamnation à mort les soulageraient donc et assouvirait, leur désir de vengeance. Économiquement parlant, tuer un homme revient moins cher à l'État que la prison à perpétuité. La nourriture, la cellule, le personnel -etc- coûte très cher. De plus cela libère une cellule supplémentaire et évite la surpopulation dans les prisons en excès. La condamnation à mort est un acte de prévention : un criminel peut être libéré puis réitérer ses crimes, le tuer écarte cette possibilité

La violence est un acte destiné à faire mal à autrui ou une restriction de liberté. Aux yeux de la loi, elle est assez mal considéré mais la société et constamment en proie à celle-ci car la communication ne peut parfois pas tout résoudre. Il existe deux types de violences : physiques ( agressions, violences corporelle ) ou morales ( harcèlement, violence verbale ). Certaines violences sont illégitimes, comme celles gratuites et sans fondements ou au nom d'intérêts personnels, égoïstes ou instinctifs

démontre-t-elle le franchissement d’une nouvelle limite au-delà de laquelle la mort ne nécessite plus la moindre justification ? Christophe Soullez : D’après ce que j’ai pu lire pour l’instant, il semblerait qu’il y ait en fait un motif : la vengeance d’un honneur perçu comme blessé. Un jeune qui a refusé de s’excuser ou qui a mal supporté de devoir le faire, cela demeure opaque pour l’instant. Ce genre d’embrouilles, qui sont marginales dans la masse des infractions qu’ont à traiter les gendarmes

........................7 Problèmes et progression de la sanction...................................8 A) Les limites de la sanction................................................................8 B) Evolution passée et future du droit à la justice.............................10 Conclusion..................................................................................12 Annexes.......................................................................................13 Bibliographie.....