La Laideur Dans Une Charogne

d’Aubigné………………………………..…...7 6- Sur la mort d’une dame-G de Scudéry…..............9 7- La mort et le malheureux-J de La Fontaine…......10 8- La fontaine du cimetière- T.Gauthier………...…11 9-Les morts du 4 décembre-V.Hugo…………….......13 10-Une charogne-C.Baudelaire………………….......15 11-Aux Modernes-L de Lisle………………………...17 12-Le dormeur du val-A.Rimbaud………………….18 13-Tristesse-A de Musset……………………….……19 14-Lamento-P.Verlaine………………………………20 15-Sur la mort d’une rose-R.Radiguet………..……..22 16-Je

par le peintre devant la destruction de Guernica...) L'art peut transformer le laid en beau (Baudelaire, La charogne)- signification pour le sujet. Dans le deuxième cas: peut-il y avoir une idée, un critère de la beauté si l'art est sans concept? -A quelle condition le laid peut-il devenir esthétique? Qu'en serait-il du laid qui serait organisé pour produire une impression de laideur? L'œuvre d'art ne serait-elle pas oeuvre d'art puisqu'elle rendrait sensible le regard de l'artiste par un

il le rague » « il le pratèle », avec l’allitération en [r] évoque le glissement, la vibration et le grondement relatif au combat. Enfin, Baudelaire dans Une charogne dans Les fleurs du Mal montre par l’exemple de cette description de la charogne la technique qui est la sienne pour recréer la beauté à partir de la décomposition, la laideur : « tu m’as donné ta boue, j’en ai fait de l’or ». Ses poèmes sont autotéliques, ils renvoient plus ou moins implicitement à leur propre création.

 Ce corpus est composé de 3 textes qui ont comme thématique commune, une vision poétique de ce qui nous semble habituellement laid. Le texte A « Une charogne » est extrait du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire (1861) ce poème est un quatrain tout comme le texte C « J'aime l'araignée ». Ce poème est tiré du live Les Contemplations de Victor Hugo écrit en 1856. Le texte B est un sonnet « Le Crapaud » (1873) du recueil Les Amours jaunes de Tristan Corbière. A la lecture de ces poèmes nous

déchéance humaines. La jeunesse se dissipe, elle obéit au principe d'entropie. La vieillesse concentre, cristallise, elle préside au principe de la néguentropie. Nous sommes la mémoire vivante du monde et de l'espèce. De notre poussière, de notre charogne pourrissante, de notre carcasse effritée, naîtront après notre mort, les générations futures d'autant plus fortes et plus belles que le compost issu de notre désagrégation, sera plus riche d'énergie concentrée. Matérielle et immatérielle. Immortelle

puis focalisation sur le corps. -Vocabulaire médical, scientifique, détails, comme un relevé médical/autopsie. II) Expression d'horreur: -Cherche à inspirer l'horreur: détails poussés à l'extrême, dégout, figures hyperboliques/gradation, -Sa laideur comme une vengeance du fait qu'elle était prostituée La mort de Manon: I) Analyse de la structure du texte: -1 paragraphe: Avertissement aux lecteurs, direct, s'adresse au lecteur, utilisation de l'Apostrophe. -2 paragraphe: Avant la mort de Manon

âme est fêlée", "la Cloche fêlée". La laideur est également une source d'inspiration, en effet dans "L'araignée" de Victor Hugo, celui-ci parle d'une araignée, un animal souvent détesté. Charles Baudelaire l'utilisera aussi dans son poème "Une charogne". Pour Serge Gainsbourg aussi la laideur est importante voire plus que la beaué: "La différence entre la beauté et la laideur, c'est que la laideur, elle, au moins elle dure ». Au même titre que la laideur, la beauté est elle aussi une source d'inspiration

la mort est très marquée dans Les Fleurs du Mal où ce thème revient constamment sous des visages variés et contrastés, tantôt effrayants et horribles, tantôt consolateurs et porteurs d'espoir, reflétant à la fois la peur face à la pourriture de la charogne et l'exaltation mystique face à un au-delà plein de promesses. Nous allons examiner les sentiments de Baudelaire à l'égard de la mort, exprimés à travers de multiples allégories, parfois positives, parfois négatives, souvent ambiguës. "Plus encor

Salvador Dali : Un chien andalou. Louis Bunuel et Dali s’intéressent à la façon dont on s’intéresse à l’image. Ce désir est très contemporain et est dans la volonté de rompre dans une esthétique classique. On va s’intéresser à ce que comment la laideur peut être source de plaisir. Histoire du bon goût : La notion de goût au 17è-18ème Le goût est la capacité de juger de la beauté d’une œuvre d’art. Avoir du goût c’est avoir la qualité de juger l’esthétique. Avant cette capacité tenait à des

commence une quête de transmutation du mal en beau en contradiction avec la poésie courante car pour Baudelaire « le beau est toujours bizarre ».Extraire la beauté du mal de la laideur, prendre la « boue » et en faire de « l’or » c’est donner a la poésie et donc au poète le pouvoir d’améliorer la réalité. « une charogne » est un parfait exemple de cette embellissement quise traduit ici par la transformation de la fatalité de la décomposition, de la souffrance suivi de la mort de l’homme en quelque