La Lanterne

faisant pas rire, car d'après cette description, faire rire est la seule chose à la portée de Pons mais en fait il ne suscite que l'effroi. Balzac compare le visage de Pons à un potiron dans la première partie comme si le visage de Pons était une lanterne de Halloween. Même ses yeux inspirent la pitié. Ils sont « pâles » et renvoient à « falatique », présent dans la première partie, qui décrivait le visage en lui-même. Pons apparaît comme quelqu'un de transparent, dont on peut se passer. Les yeux

Trois parties composent ces tours. Le corps, formé d’une fenêtre à trois baies et surplombé d’un ange brandissant une trompette. Le dôme, quant à lui, ouvert par six fenêtres, est décoré d’aigles sculptés, symboles de force et de prestige. Enfin la lanterne prototype du phare « LU » présenté à l’exposition universelle, est coiffé d’une flèche de métal qui culmine à 38 mètres de haut. LE DOME DE « LU » : La Tour « LU » est, avec la salle du Lieu Unique, le seul vestige de l’imposante biscuiterie

central : un martyr à l'image du Christ en croix. La position des bras, l'attitude face à la mort et la chemise blanche de l'innocence éclairent le tableau. Il symbolise la résistance espagnole. 4. La lumière : éclaire les condamnés et provient d'une lanterne posée au sol. Arrière-plan : 5. le palais Liria (banlieue de Madrid) et la nuit qui représente celle dans laquelle l'Espagne réprimée est plongée. Portée de l'oeuvre : Ce tableau est une RUPTURE avec le néo-classicisme. Les héros ne sont ni tirés

bal + oxymore "les dix fenêtres flambantes éclairaient d'une nappe d'incendie la coulée noire des boulevards extérieurs " : le bal seul lieu de lumière dans la noirceur de la misère Opposition lumière / nuit : "clarté crue des globes" (l 10), "lanterne aux vitres étoilées" (l 35), "belle chambre" (l 24) = belle aux yeux de Gervaise, subjectivité. . Introduction Emile Zola est un auteur du 19e siècle du mouvement naturaliste. Il écrit l'Assommoir en 1877.il raconte les mœurs des ouvriers, tout

yeux exorbités, se mordant les doigts. Au centre, l'homme à la peau sombre et à la chemise éclatante, à genoux, bras écartés comme le Christ sur la croix s'offre en sacrifice. On remarque une entaille sur la paume de sa main droite. Éclairé par la lanterne, le blanc éclatant marque la pureté et l'innocence. Les bâtiments officiels : rappel de l'autorité. Il fait nuit ce qui accentue l'inquiétude. En réalité, la scène s'est déroulée de jour pour servir d'exemple à l'ensemble de la population. • •

propos sociologique cède parfois au mouvement pictural de l’impressionnisme. On remarque des procédés qui mettent en avant la luminosité de la scène : comme la comparaison l.8 « les kiosques des journaux (…) s’allumaient, pareils à de grandes lanternes vénitiennes » suivis de l’hyperbole l.10 « hautes et bizarrement bariolés, posées régulièrement à terre, pour quelque illumination colossale » ou encore la métaphore l.13-14 « les trottoirs s’allongeaient sans une raie d’ombre, sous une pluie de

Séraphin : Ange à trois ailes  Philtre  :  ​ Un  philtre  est  une  ​ boisson  à  laquelle  sont  attribuées  des  propriétés  miraculeuses​  de nature ​ aphrodisiaque​ .  Archet : ​ Utilisé pour jouer de certains instruments de musique à cordes  II.  Fanaux : grosse lanterne    Versification (rejets, rythmes et rimes)  Rimes  :  ABBA  rimes embrassées → enfermement  du chat  dans la  cervelle  de  l’auteur  (“​ Dans ma cervelle​ ” L­1)  Vers​  : Octosyllabe  Strophe​  : Dix quatrains    Musicalité (allitérations, assonances

grands-parents maternels, Sainte Anne et Saint Joachim. Tout autour on peut voir de nombreux rosaires, prière alors très populaire en Catalogne. Saint Joseph apparaît au niveau suivant, assis dans une barque avec une lanterne de grande taille. Cette barque rentre dans une grotte. La lanterne ouvrirait la route à l’Eglise dans la nuit des temps et saint Joseph guiderait la barque pour rappeler qu’il vient d’être nommé patron de l’Eglise catholique. La ressemblance entre Gaudí et cette statue de Saint Joseph

de façon rigide. Bourreaux et victimes se font face et, selon Kenneth Clark, « dans un éclair de génie Goya a fait se contraster l'attitude féroce des soldats et les lignes d'acier de leurs fusils avec la masse s'écroulant de leurs cibles ». Une lanterne carrée située entre les deux groupes projette une lumière dramatique sur la scène. La zone la mieux éclairée est celle des victimes sur la gauche, où l'on peut voir un moine en train de prier, ce qui est consistant avec le désir de Joachim Murat

LE NUMERIQUE ET LA 3D B) LA SONORISATION C) LE CINEMA 1ERE CATEGORIE: EUROPACORP CINEMAS 3. LE SPECTATEUR MULTI-ECRANS 13 14 15 15 15 16 CONCLUSION: 18 BIBLIOGRAPHIE: 19 $ $ 2 120$ANS$DE$SEANCE$DE$CINEMA$EN$FRANCE.$ ! INTRODUCTION: Les lanternes magiques, apparues dès le milieu du XVIIème siècle, permettent des jeux d'ombres et de lumières qui ont toujours fasciné les hommes. Leurs séances constituent les premières expériences publiques de vues nocturnes projetées aux spectateurs de l'époque