La Lecture Enrichit L Esprit

l’âme : il ne permet plus de penser » Thème : Les écrans Propos : Regarder des écrans réduit la capacité de discernement ou de raisonnement Problématique : Regarder des écrans réduit-il la capacité de discernement ou de résonnement ou cela les enrichit-ils ? Domaines : les écrans, les réaction face aux écrans, l’art de penser Thème : l’abus de la technologie nouvelle Propos : Assèchement de l’âme est la perte, dégradation de nos qualités Problématique : L’excès d’utilisation des nouvelles technologies

2.3.1
LA DISSERTATION DE FRANÇAIS Sujet : On dit souvent que la lecture enrichit la culture personnelle. Mais que peut-on attendre d’auteurs qui nous "racontent des histoires" ? N.B. Tous les extraits qui suivent sont empruntés à des copies d’élèves de seconde. N.B. Bien évidemment, les différentes étapes du devoir, ici répertoriées, n’ont pas à être mentionnées dans un devoir entièrement rédigé.
Exemple d’introduction rédigée : De 1965 à 1969 s'est déroulée en Chine la Révolution culturelle

srythrsth wrth Réponses 34 réponses 5815 todisoa La lecture te permet de t'évader tout en te familiarisant avec des nouveaux mots de vocabulaire ainsi qu'avec l'orthographe de ces mots. La lecture développe l'imaginaire , enrichit tes connaissances , te donne après la possibilité d'argumenter. Bref la lecture est un élément essentiel si tu veux être cultivé. par anonyme 2011-10-12 05:48 AM Signaler un abus 32 21 todisoa y a pas des inconvénients de lecture y a que des avantages comme par example: -enrichir

Le chêne et le roseau.   Sujet : Selon vous, à quoi tient davantage le pouvoir des fables : au récit ou à la morale? Vous appuierez votre réflexion sur des exemples précis tirés du corpus ou de vos lectures personnelles.                 Au XVIIème siècle, Jean de la Fontaine renouvelle, enrichit la fable en créant une véritable art littéraire. La Fontaine fait de la fable un oeuvre poétique alors qu'auparavant on ne la voyait que comme un travail de rhétorique. Le récit, le "corps" de la fable

des théologiens, du clergé catholique, on critique leurs dogmes et leurs excès (indulgences, corruption…). Les humanistes sont anticléricaux mais pas antireligieux, ils restent catholiques mais veulent une réforme de l’Église. Ils privilégient une lecture personnelle et directe des textes, une foi personnelle. Lefèvre d’Étaples traduit en français la Bible en 1530. Luther traduit en allemand la Bible en 1534. Cela permet aux fidèles de développer leur libre examen, libre arbitre. Ce qui est un risque

compte les différents rôles de la poésie, on distingue la poésie utile a la société pour défendre une cause, comme le fait Victor Hugo dans Melancholia extrait des Contemplations, il dénonce le travail des enfants. Dans un second temps, la poésie qui enrichit le regard du lecteur sur un sujet, lieu ou objet, qui reste malgré tout superflu ; Supervielle par exemple nous montre sa perception de Marseille dans Marseille extrait de Débarcadères. Ces deux rôles de la poésie, seront l’objet de nos deux différentes

- Cela forge notre esprit d'analyse - Cela permet de former un public averti - Grâce à l'éclairage qu'on nous donne sur la société, les mentalités, les lois de l'époque de création, on peut savoir si c'est une œuvre d'avant-garde, si l'auteur a pris des risques en l'écrivant - Il est nécessaire d'avoir des "clés" pour entrer dans une œuvre, dans un art - Il est parfois nécessaire de souligner l'ironie de tel ou tel passage - Il n'y a plus d'effet de surprise, nos jugements sont guidés,

romantiques (À quoi rêvent les jeunes filles, 1832 ; la Coupe et les Lèvres, 1832 ; les Caprices de Marianne, 1833 ; Fantasio, 1834 ; On ne badine pas avec l'amour, 1834), que Musset destinait à la lecture depuis ses déboires à la scène, virent le jour sous la forme de livrets. À la fin de l'année 1834, il enrichit son théâtre du drame historique Lorenzaccio, puis du Chandelier l'année suivante. Dramaturge incompris, il avait en revanche obtenu un immense succès, en 1833, avec son poème romantique Rolla

pour ne prendre que l’exemple de la littérature, voit aussi dans l’art un espace de liberté, de plaisir, une trêve, grâce à l’imagination. Mais quand il lit, c’est aussi pour se consoler. « Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie » disait Montesquieu. La lecture, par exemple, est, dans ce cas, un acte délibéré de refus de la réalité, c’est une sorte de catharsis. Ce détour par l’imaginaire, pour échapper à une réalité trop pesante se fait consciemment comme inconsciemment

consacrer entièrement à la littérature et à en faire son métier. Auteur doué et sûr de son talent, il fut cependant blessé par l’échec de « la Nuit vénitienne » il décida alors que les pièces qu’il écrirait seraient désormais destinées à la lecture, et plus à la représentation, ce qui est un fait original et presque unique dans la littérature française. Parmi les comédies de mœurs romantiques qu’il publia entre 1932 et 1934, « À quoi rêvent les jeunes filles », « la Coupe et les Lèvres » et