La Lecture Inutile

de l’esprit – ce serait, si elle ne faisait que cela, une science très superflue et très ennuyeuse, alors même qu’on invoquerait la multiple utilité à retirer d’une si grande animation de l’esprit et d’une si grande érudition. Qu’y a-t-il de plus inutile, de plus ennuyeux qu’une suite de simples opinions ? On n’a qu’à considérer des écrits qui sont des histoires de la philosophie, en ce sens qu’ils présentent et traitent les idées philosophiques comme des opinions, pour se rendre compte à quel point

l’élève apprend tout d’abord les rudiments du latin avant de se plonger dans le monde grec comme l’indique la ligne 4 « on y joint vers la fin quelque connoissance très-superficielle du grec », la plus grande partie de la journée est consacrée à la lecture, à l’explication ou traduction des auteurs de l’Antiquité comme on peut le voir à la ligne 5 « les auteurs les plus faciles à entendre ». Ces auteurs sont soit de langue latine comme Virgile, Cicéron, Horace, Tite Live et Tacite, ou de langue grecque

16/6/2015 Philosophie et science Retour à l'accueil  ­  Textes et articles  ­  Le don  ­  Sentences, aphorismes et brèves remarques  ­  Lectures  ­  Cours et conférences  ­  Visages de la pensée  ­  Liens et contacts Retour à la liste des textes   Philosophie et science       Pour  nous  autres,  hommes  modernes,  science  et  philosophie  étaient  rivales  : cette  rivalité  s’est  dissoute  pour  disparaître  dans  la  victoire  de  la  science  sur  la philosophie.  Seuls  quelques  attardés 

0La perle de John SteinbeckLe livre auquel je vais faire allusion durant cette fiche de lecture est « La perle » de John Steinbeck. Cette œuvre est un roman paru en 1945. Elle nous raconte l'histoire d'un pauvre pêcheur indien surnommé Kino, accompagné de sa femme Juana et de leur enfant Coyotito. Cette histoire se passe au début du 19ème siècle.John Steinbeck est un écrivain Américain né en 1902 et décédé en 1968 à New York. Il est considéré comme « un géant des lettres américaines », plusieurs

la trilogie inaugurée par le Barbier de Séville ou la Précaution inutile. Écrite en 1778 dans sa première version, la pièce ne sera jouée avec l’accord du roi Louis XVI que le 27 avril 1784 au tout nouveau Théâtre-Français, situé place de l’Odéon. Pièce majeure, le Mariage de Figaro met en scène l’élan de cette plèbe qui sent pointer le droit à la liberté et qui entend le conquérir et le faire respecter. Le roi, après une lecture privée de cette œuvre, aura ce mot : « Cela ne sera jamais joué ;

VOCABULAIRE ? Il s’agit de connaître plus de mots français. Progresser en français, c’est d’abord et surtout utiliser et comprendre de plus en plus de mots. Où et quand rencontres-tu des mots nouveaux ? - dans les textes étudiés en classe, dans tes lectures (livres, magazines, journaux), dans les films et les chansons en français, en classe, quand le professeur ou tes camarades s’expriment. Comment choisir les mots intéressants ? Tu dois t’habituer à ouvrir ton dictionnaire pour y chercher le sens

les objectifs  Formuler les hypothèses  Définir les contenus (concepts, notions, indicateurs mesurables La conquête de l’objet de recherche  La question de départ  L’exploration  Les lectures  Les entretiens exploratoires  La problématique L’exploration Questions de départ Lectures Entretiens exploratoires L’exploration :la question de départ (1) réponses, c’est celui qui pose les bonnes questions”  Claude Lévi-Strauss  “Le savant n’est pas celui qui fournit

du ciel, « Le corbeau honteux et confus » — Jean de La Fontaine, Le Corbeau et le Renard Pour Pierre Fontanier, « c'est une figure par laquelle on ajoute à l'expression de la pensée, pour en augmenter la clarté ou l'énergie, des mots d'ailleurs inutiles pour l'intégrité grammaticale. Tous les jours nous entendons dire, ou nous disons nous-mêmes : Je l'ai vu de mes yeux, de mes propres yeux. » De façon semblable, on peut introduire au besoin de la redondance sémantique en ayant recours à des procédés

tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s’en émeut, l’air en est infecté ; Le flot qui l’apporta recule épouvanté. Tout fuit ; et sans s’armer d’un courage inutile, Dans le temple voisin chacun cherche un asile. Hippolyte lui seul, digne fils d’un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessure

la fois » Le Roi-Soleil se lève aussi. Le critique qui a qualifié cette oeuvre ainsi, ajoutera même qu'il « enrichit et distrait à la fois ». Il paraît donc sensé de nous demander comment la lecture de ce texte justifie-t-elle ces propos ? Nous allons donc dans un premier temps montrer qu'à la première lecture la narration peut avoir un coté étouffant, de trop de détails et peut nous induire sur une impression erronée sur la vie de notre Roi Soleil. Puis nous accentuerons le développement sur le