La Leçon Finale Candide

Portrait dans l'action : 1er intérêt, maintenant, voyons comment composition savante assure efficacité satire II/ Efficacité portrait = dépend de finesse de l'analyse mais aussi composition savante a) Progression intérêt jusqu’à effet surprise final présentation esquissée ( l. 1 à 3 ) Contradiction apportée au personnage = renforce outrecuidance Violence et désir d'éblouir emportent sur le bon sens Discours direct l. 10 13 amplifie forfanterie Coup de théatre = achève le tableau

plusieurs détails inutiles qui n’apportent rien à la compréhension d’une idée ni à l’expression de cette idée, sinon pour l’alourdir; proche du pléonasme « Alors, tout naïvement, sans y entendre malice, dans cette salle à manger de presbytère, si candide et si calme, avec son chemin de croix en petits tableaux et ses jolis rideaux clairs empesés comme de surplis, l'abbé me commença une historiette légèrement sceptique et irrévérencieuse, à la façon d'un conte d'Erasme ou d'Assoucy » — Alphonse Daudet

marque le jeu de Sganarelle. Le burlesque est également présent à travers Sganarelle. Ajoutons à cela le rôle des machines (deus ex-machina, l’intervention divine); mais aussi les changements de décor). ʟʟ À quoi tient donc l’unité de la pièce, au final ? Car tout entière en ruptures et en ambiguïtés, elle est bien loin de ce que préconisent les règles du théâtre classique. C’est une pièce baroque. Deux éléments cependant assurent une continuité, constituent des fils directeurs : ʟʟ Le combat Dom

quelques instants d’hésitation (doit-il les rejoindre ?), Bérenger décide de résister : « Je suis le dernier homme, je le resterai jusqu’au bout ! Je ne capitule pas ! » III. ÉTUDE DES PERSONNAGES Jean C’est un personnage cultivé, sûr de lui, donneur de leçons (notamment envers son ami Bérenger), bien ordonné, ponctuel et autoritaire (par ses injures, ses critiques et l’utilisation d’impératifs). Il incarne au départ l’autorité et la raison. Peut-on le voir comme prédisposé au totalitarisme ? Car malgré

peuvent, quand elles reprennent des éléments déjà travaillés plusieurs fois, déboucher sur des interprétations simples. b) Travaux liés à l’étude de la langue : il s’agit, le plus souvent, d’exercices d’appropriation donnés à faire à la maison après une leçon conduite en classe. 2. Travaux réalisés en classe : On compte, parmi les écrits fonctionnels, des travaux très divers comme les exercices d’application et de manipulation liés aux apprentissages de la grammaire, de l’orthographe, du lexique. Il s’agit

l’ensemble de la séquence et à la progression annuelle. Les activités de type TICE ou de lectures cursives offrent des réponses fondées sur le maniement d’usuels, de textes littéraires ou de sites Internet de référence. Et les travaux en lien avec l’examen final sont traités sous forme de plans généraux ou détaillés axés sur la compétence visée. Les réponses aux questionnaires plus resserrés « D’un texte à l’autre » obéissent à la même logique qu’au corrigé de la rubrique « Analyse » des textes principaux

naïveté est toute relative car : -nous disposons, par rapport à eux, d’un recul historique d’une soixantaine d’années -ils pressentent, malgré leur jeune âge, qu’il se passe quelque chose de terrible sans pouvoir le nommer : l’horreur de la « solution finale ». Prolongement : La création littéraire : John Boyne n’a pas connu cette période historique personnellement. D’après vous, de quelles sources a-t-il pu s’inspirer pour décrire le camp de concentration d’Auschwitz ? Livres et films documentaires

défense des victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres (Calas, Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally). De son œuvre littéraire, on lit essentiellement ses contes et romans comme «  CANDIDE OU L'OPTIMISME » 1759, «ZADIG OU LA DESTINEE » 1748 , où se concentre le meilleur de l'écrivain – la fantaisie, la finesse du trait, le bonheur de l’écriture, l’esprit du philosophe –, mais aussi les « Lettres philosophiques » 1734, le « Dictionnaire

manifestation d’impuissance pédagogique (Astolfi, 1997). Pour Giordan (2005) également, la motivation apparaît plutôt en creux : « cet élève est peu motivé ». La notion de motivation est donc souvent utilisée en désespoir de cause, comme une explication finale, inévitable et rédhibitoire de l’échec (Carré, 2001). « La motivation apparaît comme une force psychologique magique. (...) C’est dire que si on lui attribue un grand pouvoir on a souvent tendance à la considérer comme un état sur lequel on ne peut

courtisé ne vit en définitive que pour ces quelques compliments et fait vivre les courtisans qui vivent à ses dépends. Le courtisé et le courtisan sont au final tous les deux dépendant l'un de l'autre, l'un pour les compliment et l'autre pour les fromages qui en découlent. La morale énoncée, le renard explique gentiment au corbeau que pour la leçon de vie qui vient de lui être enseigné contre seulement un fromage, c'est vraiment peu cher payé. 7. Madame de la