La Loi Est Elle Un Obstacle Au Bonheur

doctrine de l'école du philosophe grec Zénon où la vertu doit être la seule source du bonheur et non le plaisir La pensée des Lumières, en partie influencée par le christianisme pour qui tous les hommes sont créés à l'image et à la ressemblance de Dieu, s'oriente vers une revendication de l'égalité devant la loi : quelles que soient les circonstances sociales, familiales, etc., tous les citoyens ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. « Nul n'est au-dessus de la loi » : à cette condition, la loi vaut pour tous sans exception. Rousseau

conséquences. L’ordre du monde évolue de jours en jours, il est de plus en plus difficile de le changer mais une poignée de personnes y arrivent. Si on a la chance de pouvoir changer cet ordre du monde, et j’entends par là avoir le pouvoir de changer une loi, un décret ou même une règle tout en étant contraint par le monde social et naturel, alors on peut changer l’ordre du monde. Et pour changer l’ordre du monde, il faut se contenter d’accomplir ses désirs, parfois en créant, ou travaillant d’arrache-pied

et cherche à la montrer aux hommes. La révélation, la loi naturelle, les contraventions factices de la société : telles sont les trois sources d'où dérivent tous les principes moraux et politiques qui gouvernent les humains. On ne saurait, sans doute, comparer la révélation avec la loi naturelle, ou les institutions sociales, dans le but sublime qu'elle se propose principalement ; mais on la voit concourir avec elles pour assurer le bonheur des mortels dans cette vie passagère. Étudier les divers

VIE DE CAMPAGNE La plupart des romans de Balzac sont des romans d’apprentissage dans lesquels le héros se lance à la conquête du monde, guidé par l’espoir de réussir. Mais ses romans mettent en évidence la contradiction entre ce désir et les obstacles qu’oppose la réalité. La société française de 1800 à 1840 est en pleine évolution et riche en bouleversements, c’est une société sans cœur, c’est une jungle qui consacre le triomphe de l’égoïsme et l’élimination des plus purs. La solution pour

Sujet 2 : Les devoirs sont-ils des contraintes ? Parce que l'Homme dispose d'une conscience, il peut avoir le sentiment que les règles du devoir s'opposent à ses envies mais aussi à son bonheur ou à sa liberté et donc être amené à penser que les devoirs sont des contraintes. Pour autant, les devoirs sont-ils seulement des contraintes ? Autrement dit, il s'agit de déterminer si tous les devoirs sont des contraintes. Ces deux termes, devoir et contrainte, peuvent au premier abord paraître

essentiellement comme obstacle au bonheur et attribut du malheur : ≪ il y avait dans le malheur une part d’abstraction et d’irrealite. ≫ (p.1291) En effet, Rieux definit la periode de la peste comme ≪ cette espece de lutte morne entre le bonheur de chaque homme et les abstractions de la peste ≫ (p.1293). En particulier, c’est dans la quete du bonheur chez Rambert que se montre l’opposition entre le bonheur et l’abstraction : ≪ L’abstraction pour Rambert etait tout ce qui s’opposait a son bonheur. ≫ (p.1293)

Nous allons d’abord voir si la société est un artifice qui dénature l’homme. La société est souvent considérée comme un obstacle à la nature humaine. En effet, la culture, qui est un phénomène social est artificielle, illusoire et nocive,  donc ce qui dénature. Rousseau dit que toute intervention extérieure sur le déploiement d’un être naturellement bon est tenue pour une corruption. On assiste donc ici à une indéniable destruction de la nature humaine : la culture, c’est ce qui s’ajoute à l’homme

comprennent par la diversité des coutumes que la vérité est relative et non universel et absolue. Les Sciences vont également un facteur essentiel des Lumières. L’astronomie se développe, les instruments de recherches progressent, la découverte de la loi de gravitation en 1687 par Newton remettent en cause un certain nombre de certitudes. Aux explications théologiques de l’univers, on oppose des théories scientifiques. Les progrès scientifiques instaurent et développent un mode de raisonnement, qui

tendance de l'homme à penser que tout chose qui l'empêche d'assouvir ses désirs va à l'encontre de sa liberté, alors que les sages pensent que les aléas de l'existence (et donc les contraintes) ne doivent pas détourner l'homme de son objectif, le bonheur. Quoique puissent-être les contraintes, l'homme serait donc à même de par sa volonté et sa liberté de réussir sa vie. La liberté serait donc pour lui un moyen de réussir sa vie et non pas de se soumettre à chacun de ses désirs. Le sentiment de liberté

non permis. Elle est donc le moment négatif, parce que nous sommes soumis à des règles. Pourtant moment nécessaire pour accéder à l'humanité. La discipline pour se donner un plan de conduite. Le but est d'apprendre à se soumettre à la loi de la raison. L'homme possède la Liberté et la Raison. Il doit apprendre à bon escient → idée de progression vers la Véritable Liberté (cf : cours Liberté) Au départ chez Kant, l'Homme est « mauvais » car l'homme naturel agit selon sa Liberté vécue