La Machine Infernale Personnages

cette extrait Gervaise est décrite comme fragile et effrayé par les machines qui lui sont totalement inconnus , l’auteur utilise des adjectifs et des métaphores qui fonts allusion à un univers monstrueux : exemple à la ligne 22 , « Les cisailles mécaniques mangeait des bar de fer » . L’auteur fait aussi une isotopie de l’enfer (ombre ,flamme , rouge , homme en noir ). La machine dévore des bars de fer dans un décor infernale. Zola nous montre bien la grande différance entre Gervaise et ce monstre

de rendre compte de sa dualité et de son ambiguïté. Ce volume contient : PREMIÈRE PARTIE LES SYSTÈMES STRUCTURANTS CHAPITRE I : LE SYSTÈME DES PERSONNAGES 1. Le nom 1. Symbolisme phonétique 2. Symbolisme sémantique 2. L'individu 1. L'individu-signe, la dualité et l'androgynie comme symboles 2. l'univers imaginaire des personnages, animalisation et mécanisation 3. Groupe CHAPITRE II : LE SYSTÈME DES LIEUX 1. Un espace clos : l'habitat 1. La clôture voulue : les mauvais foyers

même histoire, un même personnage ou thème peuvent donc être déclinés par différents auteurs, dans différents genres, et cela dans tous les domaines artistiques. Cependant, ces effets de récriture ne sont-ils pas lassants pour le lecteur ou le spectateur ? Celui-ci ne peut-il attendre de l'art qu'il crée des œuvres inédites ? Cherche-t-il dans une œuvre plutôt la nouveauté et l'originalité ou apprécie-t-il les œuvres qui s'inspirent de situations, de thèmes ou de personnages connus ? Nous verrons

dépasse Aristote (384-322 av J.C) Citation : « La tragédie s’efforce le plus souvent de tenir en une seule révolution du soleil » « La tragédie est l’imitation d’une action sérieuse et concrète, complexe, les évènement y sont jouées par des personnages et non raconter en un récit ; enfin elle provoques la pitié et la crainte et, par-là elle s’effectue une véritable purgation ». Texte 1 : Cinna, Corneille (Acte I, scène I) Im/pa/ti/ens dé/sirs // d’un(e) il/lus/tre/ ven/gean/c(e) • Césure 

La machine infernale La théâtralité de la pièce apparait dès le début avec le prologue qui joue le rôle de la scène d’exposition. Il prend la forme d’une voix, celle de Cocteau, que l’on retrouve en début de chaque acte (voix off). La voix introduit un mécanisme fatal et montre l’importance des événements qui vont suivre. Elle dramatise le prologue, éveille l’attention des spectateurs et fait apparaitre un système de double énonciation. L’intervention de cette voix enregistrée donne une dimension

Sommaire [masquer] 1 Résumé 1.1 Scène 1 1.2 Scène 2 1.3 Scène 3 1.4 Scène 4 2 Personnages 2.1 Inès Serrano 2.2 Joseph Garcin 2.3 Estelle Rigault 2.4 Le garçon d'étage 3 Extraits 3.1 Scène 5, page 30 4 Style 5 Thèmes 6 Philosophie 7 Distribution de la représentation de 1944, au Théâtre du Vieux-Colombier 8 Adaptation cinématographique 9 Notes et Références Résumé[modifier] Trois personnages se retrouvent à leur mort dans une même pièce. Il s'agit de Garcin, journaliste,

correspondant à une forme précise. Le spectateur, connaissant un genre donné, saura à quoi s'attendre. Selon la présentation de l'œuvre (tragédie, comédie…), il aura une vision stéréotypique de l'œuvre. Nous avons ici un extrait de l’œuvre «La Machine Infernale» de Jean Cocteau, une réécriture du mythe d’Œdipe, plus précisément le dénouement de l’acte IV. Dans cette scène on apprend le fait qu’Œdipe se soit crevé les yeux après avoir commis le parricide et l’inceste qu’un oracle lui avait prédit. On

La machine infernale, J. COCTEAU Analyse de la tâche page 101 du manuel. 1) Édition de la pièce utilisée : Jean COCTEAU, la machine infernale, 1934 Éditions Bernard Grasset, 1934. Livre de poche 1965 2) Résumé du livre : La pièce s'ouvre sur l'intervention de la Voix qui raconte l'intégralité du mythe. Sur les remparts de Thèbes, deux soldats veillent, dans une ambiance d’inquiétude. Ils sont chargés de protéger la ville contre le Sphinx. Depuis des mois, ce monstre, posté non loin

ouvrier est affecté à une tâche bien précise selon ses compétences. 1. rythme de travail soutenu L’ouvrier est lié à la machine et à ses dysfonctionnements. L’homme est privé de sa liberté, il est « machinisé »… ! En bon ouvrier conditionné et surmené, Charlot, qui n’arrive plus a suivre la cadence infernale, fini par entrer dans les rouages de la machine au péril de sa vie pour continuer à serrer ses boulons. Les conditions de travail à la chaîne, à la cadence insupportable rendent Charlot

Il collabora avec des comme avec des peintres célèbres.  Il toucha à tout de l’écriture à la peinture en passant par le cinéma, la poésie, le théâtre, la poterie.  Comme Giraudoux et Anouilh il s’inspira de la Grèce antique : Antigone, La machine Infernale, Orphée. Mais peut être que son film onirique La Belle et la Bête restera sa pièce maitresse.  Génial « touche-à-tout », passé maître dans l’art du sortilège, ce créateur que son originalité empêche d’enfermer dans telle ou telle mouvance littéraire