La Machine Infernale Personnages

quel mouvement littéraire appartient cet auteur ? Définissez-le. Et expliquez si cette nouvelle en fait partie. Zola appartient tout d’abord au réalisme : une littérature objective, soucieuse d’inscrire des personnages et des faits dans un contexte réel de manière vraisemblable en décrivant la société de l’époque. Mais il va plus loin dans l’analyse du réel, il cherche à présenter l’homme de manière scientifique, travaillant à partir de recherches documentaires

l’Assommoir, Gervaise songeait. Si elle avait eu deux sous, elle serait entrée boire la goutte. Peut-être qu’une goutte lui aurait coupé la faim. Ah ! Elle en avait bu des gouttes ! Ça lui semblait bien bon tout de même. Et, de loin, elle contemplait la machine à soûler, en sentant que son malheur venait de là, et en faisant le rêve de s’achever avec de l’eau-de-vie, le jour où elle aurait de quoi. Mais un frisson lui passa dans les cheveux, elle vit que la nuit était noire. Allons, la bonne heure arrivait

l’interprétation du terme « beau » se trouvera ici sur l’appréciation du livre qui peut contenir de l’humour, des émotions multiples, qui permet de s’ouvrir à de nouvelles connaissances telles que d’autres cultures où vivre l’histoire en s’identifiant aux personnages. Mais tout cela ne suffit pas pour simplement qualifier un livre de cette façon. Ici nous nous penchons sur la définition d’un beau livre selon Cocteau : « Un beau livre doit soulever des questions » Selon lui, ce n’est ni l’esthétique ou

l’avarice, la malice et le goût pour l’argent, Racine, dans Britannicus dénonce la quête du pouvoir, la jalousie amoureuse poussant aux pires crimes, dans Bérénice une société corrompue et peu sincère. Le théâtre est avant tout un dialogue entre les personnages, ce qui facilite l’échange de points de vues et d’idées : l’auteur va alors utiliser l’antithèse. Paul Claudel dans l’Echange explique que le spectateur vient au théâtre pour voir « Comment cela commence ou finit ». Cette thèse est appuyée par

soulignent notamment les prénoms des personnages que sont: « Jason », « Médée », « Creuse» (texte A), « Mithridate », « Xiphares» (texte C), « Néron », « Britannicus» et « Agrippine» (texte D). En effet, ces prénoms rappellent tous l'antiquité gréco-latine que ce soit d'un point de vue historique ou mythologique. De plus, les spectateurs doivent être capables de se repérer géographiquement, connaître l'emplacement exact de l'action. Or, dans chacun des textes, les personnages citent la ville dans laquelle

qu'il y avait un espoir d'un destin heureux au début de la pièce et cela contribue à un retournement de situation. . . En outre, l’évolution des personnages renforcent l’idée d’un retournement de situation. Oreste était au début confiant et sûr de lui, il voulait enlever Hermione. Mais esclave de son amour, il s’est rendu faible et s’est résigné de faire tuer Pyrhus par amour pour elle. Il n’a même

étaient parfois bien trop miséreux. On observe une régénérescence morale due au recul de la pauvreté. III/ Le personnage de M. Madeleine A/ La figure du bon patron M. Madeleine, qu’on suppose être un ouvrier, représente l’élévation par le travail. Il est l’emblème de la figure du bon patron ; il est la preuve qu’on peut sortir de sa condition. Il n’y a pas de fatalité sociale. Ce personnage est un mélange de stéréotypes littéraires et psychologiques. Jean Valjean est un petit paysan savoyard envoyé

Grâce à la mise en scène on peut s’éloigner du but d’origine de l’auteur de la pièce. Le jeu des acteurs permet aussi de matérialiser les émotions des personnages ainsi que de les transmettre au public. Les acteurs peuvent faire rire, pleurer, éprouver de la pitié au spectateur. Le jeu des acteurs permet de matérialiser les émotions des personnages ainsi que de les transmettre au public. La gestuelle des acteurs permet par exemple de faire rire le public en montrant leurs énervements on a par

sensations. L’usage de la forme personnel « se sentir » nous fait demander : qui sent ? quoi donc se sent ? ; On ne sait pas par qui : pas de « je », pas de première personne, on ne sait pas non plus qui regarde et qui décrit. Le passant est un personnage anonyme et consistant = « Un buisson gifle l’œil au passant » = ne gifle en fait qu’un seul œil car le passant n’a pas de visage.

les chansons de gestes : Roland se bat pour repousser les Sarrasins à Ronceveaux Les procédés de l’écriture épique : on retrouve dans les textes épiques : les grandissements et amplifications : hyperboles, exagérations, comparaisons avec des personnages divins, effets de gradation phrases au rythme ternaire : phrases longues avec beaucoup de rythme pour traduire la bravoure du héros champ lexical du combat, des armes : avec des phrases nominales, parfois exclamatives l’emploi des pluriels et des