La Manie Du Secret

…………………………………………………….. Les échos de la presse……………………………………………………..13 3 LES FAUSSES CONFIDENCES Présenté par son oncle Monsieur Rémi, Dorante, jeune homme désargenté, vient comme intendant chez Araminte, une jeune et jolie veuve qu'il aime en secret. Toute l’action est menée par Dubois, ancien valet de Dorante, qui est déjà dans la place et a organisé un stratagème redoutable pour rendre Araminte amoureuse de Dorante. Araminte, qui est sur le point d'entamer un procès pour une affaire de terre

trésors dont il est le seul à pouvoir sonder les secrets. Il leur parle, les caresses et les protège. Ce sont ses vrais amis ; ils lui permettent de vivre dans le rêve ce qu’il ne peut pas vivre dans la réalité : - Je sortis ma boîte, la vidai sur un coin du matelas, regardai un à un mes objets (…) Ce soir, ils ne me parlaient pas. Ils gisaient inertes, maussades, un peu hostiles. Ils avaient perdu leur pouvoir magique et devenaient méfiants, secrets (…) - Ils se réveillèrent dans le noir pour se livrer

bourgeois, de soldats, de voleurs et de petits marquis va assister à une représentation de _La _Clorise, une pastorale de Balthazar Baro. Nous découvrons Roxane, une jeune femme belle et distinguée, Christian de Neuvillette, un jeune noble qui l’aime en secret et le comte De Guiche qui veut marier Roxane au vicomte de Valvert, ce à quoi la jeune femme ne souscrit pas. C’est alors qu’intervient Cyrano de Bergerac, le cousin de Roxane, au moment où Montfleury, l’un des acteurs, déclame sa première tirade

d’administrer pour l’ensemble des citoyens. Ces citoyens règlent les questions constitutionnelles, discutent, et votent les lois. En fait, la démocratie réelle ici existe, mais la session est brève et les votes se font à main levée, ce qui indique que le secret du vote bien sûr n’est pas respecté. En outre, les organes qui sont élus ont un rôle important en matière de préparation, de la décision. Et l’on verra tout au long de nos rencontres, dans l’histoire ou dans d’autres pays, que celui qui prépare la

là ? Ce lieu sordide, comment j’y étais aboutit ? D’où venais-je ? Ces questions que je posais inlassablement à Amitaf quand ma langue tournait encore correctement, retrouvaient chez elle quelque chose de répugnant, de contagieux comme la gale ou la manie et devant lesquelles il était sensé de se prémunir, de s’effacer même, afin de demeurer hors de leur portée, et les réponses dont j’avais besoin en vue d’abreuver ma curiosité en pleine épanouissement restaient suspendues et inabordables tel un assoiffé

chaque année, Félix Grandet demande à sa fille de lui montrer tout l’or qu’il lui a offert. Lorsqu’elle lui annonce « Je n’ai plus mon or. », il devient fou de rage. Mais, malgré ses menaces elle ne lui en donne pas la raison, bien décidée à garder son secret. Il prend alors la décision d’enfermer Eugénie dans sa chambre. La mère d’Eugénie ne s’en remettra pas. Elle tombe malade, s’affaiblit progressivement et mourra deux ans plus tard. Le père Grandet tente alors de se réconcilier avec sa fille, cette

son élégance et ses prestations. Nous pouvons opposer les journalistes tels que Norbert de Varenne et Boisrenard, tous deux secrétaires de la rédaction : << ils ne possèdent pas cette rouerie native qu’il fallait pour pressentir les pensées secrètes du patron >> car ils sont trop honnêtes. Le plus doué est Saint-Potin, l’impudent journaliste qui a l’art de resservir toujours les mêmes articles sous des titres différents et de s’approvisionner aux sources proches des concierges de l’Hôtel

dot). Sachant que son père a l’intention de l’envoyer dans un couvent plus strict, Olympe décide de s’enfuir. Au préalable, elle récupère les bijoux de sa mère qui se trouvent dans la chambre de sa belle-mère. Elle s’y rend en empruntant un passage secret qu’elle a découvert alors qu’elle était encore une enfant, un passage dont tout le monde a oublié l’existence. Dans le coffre à bijoux d’Emilie, elle trouve un billet adressé à sa belle-mère. Elle comprend que son père est la dupe de sa femme. Le

plage. Le trouble de sa mère à propos du portrait, ajouté à la ressemblance, transforme le doute en «intolérable certitude». Elle perd à ses yeux tout son charme serein de femme aux pures affections. (chapitre V). Malheureux, torturé par «l’infâme secret» et par le remords qui le rend honteux de lui-même, il persécute sa mère. À l’occasion d’une sortie sur la plage de Saint-Jouin, Jean se déclare à Mme Rosémilly, adroite en amour comme à la pêche, et, avec le prestige de sa récente richesse, il obtient

Préface : Amis lecteurs, la plume est-elle une arme maniée par des poètes sensibles aux douleurs de ton monde ? Est- ce une lame étincelante coupant la Misère, embrochant l’Injustice, découpant la Guerre, torturant la Douleur ? Sa vocation est-elle de rendre notre monde meilleur ? Je vous pose la question. Cette anthologie éclaire une facette de ce prisme, en exposant à la lumière ces poésies engagées qui, par le vers et le rythme, dénonce les malheurs innombrables de l’Homme. Ainsi, la poésie